Arrêt 25 Novembre 1986

AES 2 - TD Droit Administratif – Séance 1 Arrêts CE, Ass., 13 novembre 1998, Commune de Saint-Louis, Département de la Réunion Vu 1°, sous le n° 187443, la requête enregistrée le 25 avril 1997 au secrétariat du Contentieux du Conseil d'Etat, présentée pour la commune de Saint-Louis, représentée par son maire en exercice ; la commune de Saint-Louis demande au Conseil d'Etat : 1°) l'annulation pour excès de pouvoir du décret du 27 février 1997 portant modification et création de cantons dans le

Droit originaire : * Traité de Paris 18 avril 1951 (CECA) * Traité de Rome 25 mars 1957 (CEE et CEEA) * Acte unique européen 14/28 février 1986 * Traité de Maastricht 7 février 1992 (création union européenne) * Traité d’Amsterdam juin 1997 Droit originaire : * Traité de Paris 18 avril 1951 (CECA) * Traité de Rome 25 mars 1957 (CEE et CEEA) * Acte unique européen 14/28 février 1986 * Traité de Maastricht 7 février 1992 (création union européenne) * Traité

ministre ........................ 3 Doc. 3. Décret du 20 mai 2022 relatif à la composition du Gouvernement ..................... 3 Doc. 4. Décret du 4 juillet 2022 relatif à la composition du Gouvernement .................... 5 Doc. 5. Décret du 28 novembre 2022 relatif à la composition du Gouvernement ........... 7 Doc. 6. Décret n° 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des membres du Gouvernement (JORF n°0139 du 15 juin 2017) ............. 7 Doc.

professionnel Alfred Sauvy | |FACQ Damien 1ère BAC PRO ELEEC | |Lundi 09 Novembre au Vendredi 18 Décembre | [pic] 1. Présentation de l’entreprise p.3 2. Organigramme

contentieux : CE 17 février 1995, Hardouin et Marie Tant par ses effets directs sur la liberté d'aller et venir du militaire, en dehors du service, que par ses conséquences sur l'avancement ou le renouvellement des contrats d'engagement, la punition des arrêts constitue une mesure faisant grief, susceptible d'être déférée au juge de l'excès de pouvoir. II – L'entrée en vigueur des AAU Les AAU entrent en vigueur seulement après une mesure de publicité qui les rend opposable et invocable pour les administrés

Code civil ; Attendu que n'est pas nulle comme ayant une cause contraire aux bonnes moeurs la libéralité consentie à l'occasion d'une relation adultère ; Attendu, selon l'arrêt attaqué, rendu sur renvoi après cassation (Première Chambre civile, 25 janvier 2000, pourvoi n° D 97-19.458), que Jean X... est décédé le 15 janvier 1991 après avoir institué Mme Y... légataire universelle par testament authentique du 4 octobre 1990 ; que Mme Y... ayant introduit une action en délivrance du legs, la veuve

La cour d'appel de Douai avait déclaré éteintes les poursuites pour abus de biens sociaux engagées en France sur le fondement de faits commis par le dirigeant à Roubaix au motif qu'une juridiction belge avait rendu, au profit de ce dernier, un arrêt de non-lieu en raison des mêmes faits. La décision de la Cour de cassation s'inscrit dans le fil de sa jurisprudence : l'article 692 du Code de procédure pénale est applicable lorsque les faits ont été commis exclusivement à l'étranger ; il est inapplicable

L'exécution du contrat De l’exécution du contrat de bonne foi découlent d’autres obligations prévues par la jurisprudence, qui étend alors le contenu obligationel. Ainsi, l’arrêt du 24 novembre 1999 de la chambre commerciale de la Cour de cassation illustre les obligations de loyauté et de coopération auxquelles peuvent être soumises les parties. En l’espèce, les sociétés Groupe Danone, Brasseries Kronenbourg et Eaux minérales d’Evian confient à M.X, par un contrat d’agent commercial

l’administration des Douanes en restitution des sommes versées par la Société Weigel et en réparation du préjudice subi du fait de la privation des fonds correspondants. Elles soutenaient que cette taxe était contraire à l’article 95 du Traité de Rome du 25 mars 1957 et qu’elle était supérieure à celle due pour les cafés verts importés, servant à la production des cafés solubles en France. En effet, selon l’article 95 du Traité de Rome : « Aucun État membre ne frappe directement ou indirectement les

Arrêt Conseil d’Etat, 24 septembre 1990, Boisdet : Vu la requête, enregistrée le 20 avril 1984 au secrétariat du Contentieux du Conseil d’Etat, présentée pour M. Maurice X…, représenté par la S.C.P. d’avocats au Conseil d’Etat et à la cour de cassation Desaché-Gatineau, agissant en exécution d’un jugement du tribunal d’instance de Loches en date du 22 février 1984, il demande que le Conseil d’Etat : 1°) apprécie la légalité, d’une part, de l’arrêté en date du 28 avril 1981 par lequel le ministre