Arrêt 2 Décembre 1997 Novation

correspond aux deux exemples. Tous les termes suspensifs sont de réalisation future et certaine, mais pour certains d’entre eux on connaît la date de réalisation de l’événement (cas 1) ; pour d’autres, on ne connaît pas la date exacte de réalisation (cas 2). Pour distinguer ces deux catégories de terme, on parle dans le premier cas de terme certain et dans le second cas de terme incertain. Pour ce qui est du régime, il est identique que le terme soit certain ou incertain. Section 1 : l’origine du terme

personnelle 1) : une actualisation modeste des suretés personnelles On a trois suretés personnelles reconnu Chapitre 1 : le cautionnement Chapitre 2 : la garantie autonome Chapitre 3 : les lettres d’intention 2) clarification novatrice des suretés réelles Le gouvernement a donner une distinction traditionnelle puisque le titre 2 du nouveau livre 4 du code civil comprend une partie sur les suretés mobilière et sureté immobilières a) suretés réelles mobilières : On trouve les privilèges

impossible La condition est ici impossible. L’article 1172 prévoit que « toute condition d’une chose impossible ou contraire aux bonnes moeurs est nulle et rend nulle la convention qui en dépend ». On considère que l’obligation n’a jamais existé. 2) Un événement incertain Si l’événement était certain, il n’y aurait aucun doute sur l’utilité de l’opération. Les choses sont complexes car il y a plusieurs manières de définir ce qui est incertain : - On peut se fonder sur l’observation objective

Sauphanor-Brouillaud Professeur à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines TRAVAUX DIRIGES Séance n°1 : L’obligation (rappel de notions) Les sources du régime général des obligations Les notions issues d’autres matières Bibliographie 2 Séance n°1 : L’obligation (rappel de notions) - Les sources du régime général des obligations – I) Bibliographie : (sauf précision, prendre systématiquement la dernière édition) Code civil, Dalloz ou Litec, dernière édition (impératif) Ouvrages complémentaires

déterminante de la volonté des parties, alors l'acte doit être anéanti. Dans le cas inverse, l'acte amputé de la condition irrégulière est maintenu pour le reste. Précision apportée par la troisième chambre civile de la Cour de Cassation dans son arrêt du 8 octobre 2008 : la nullité du contrat fondée sur une condition impossible est une nullité relative. On vise un intérêt particulier. B. L'invalidité de la condition potestative. La condition potestative n'est pas systématiquement invalidée

juridictions administratives, les juridictions civiles et les pénales (Chambre criminelle) pourront être compétentes. Très souvent, la victime d’un dommage est victime d’une infraction. Dans ce cas, ainsi que le veut le code de procédure pénale (articles 2 ; 3 ; 4), la victime agira soit directement devant une juridiction civile, où elle pourra, via l’action civile, agir devant une juridiction pénale, pour demander réparation du préjudice subi à la condition (prévue par le Code de Procédure Pénale) que

semble assez exacte en ce que la pratique bancaire se présente bien ainsi. La jurisprudence comme la loi (Article L312-1-1 du Code Monétaire et Financier) font plus ou moins explicitement référence à ce critère de qualification.! En effet, dans un arrêt Cass, 1ère. civ. 30 Septembre 2008; la Cour de cassation mentionne bien cette définition, ce critère factuel mais sans le valider d’un point de vue jurisprudentiel.! La Cour de cassation précise bien que ce critère factuel n’est pas un critère de

Chapitre 2:       L’application du caractère accessoire du cautionnement pendant la procédure collective Comme le rappelle M. Simler,[1] “en règle générale, la doctrine s’accorde pour considérer que le caractère accessoire inhérent à tout cautionnement, même solidaire doit être déterminant.” Selon M. Ancel,[2] “le caractère accessoire du cautionnement reste un point fondamental qui apparait comme étant de l’essence du cautionnement. Non seulement l’obligation de la caution est étroitement dépendante

Partie 2: Le régime de l’obligation: Titre 1: La transmission des obligations Les obligations peuvent normalement se transmettre, parce que les obligations rentrent dans la catégorie juridique des biens, donc sous leur aspect actif, ce sont des créances et elles font partie du patrimoine du créancier, et sous leur aspect passif (de dette), elles vont figurer dans le patrimoine du titulaire (débiteur). Donc autrement dit, les obligations sont des biens. Et est-ce que les créances peuvent êtres cédées

Créancier : le titulaire du droit. * Débiteurs : tout le monde sauf le titulaire. * Prestation : laisser le titulaire jouir de sa chose. * Même si la distinction n’est pas toujours évidente, la proposition de Planiol n’a pas eu de suite. §2 : Le débiteur doit exécuter une prestation envers le créancier Prestation = objet. A) Les prestations en nature 1) Les prestations en nature consistant à donner Donner : latin « dare » = transférer la propriété d’un bien. Ces prestations