Arrêt 19 Février 1997

qu'un acte administratif doit être conforme à un traité. Cependant la suprématie des engagements internationaux conférée par l'article 55 de la constitution ne s'appliquent pas dans l'ordre interne aux dispositions de nature constitutionnelles ( arrêt du conseil d'État du 30 octobre 1998 Sarran, Levacher et autres ). De même que le principe de supériorité du droit communautaire ne remet en aucuns cas en cause la responsabilité de la constitution (d'après l'arrêt du conseil d'État, 3 décembre 2001

d’une faute de l’enfant et ne retient que le simple fait causal, c’est-à-dire même non fautif. Aussi, dans un arrêt Bertrand rendu le 19 février 1997, la cour de cassation a abandonné l’exigence d’une faute des parents comme condition de leur responsabilité du fait de leur enfant. Avec cet arrêt, la responsabilité des parents est devenue une responsabilité sans faute. Donc à partir de 1997, le fait causal dommageable de l’enfant suffit à engager la responsabilité des parents. II) Les conditions

réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie ». L’article 55 de la Constitution confère aux traités une autorité supérieure aux lois, mais ce n’est qu’en 1989 que cette supériorité a été affirmée par le Conseil d’état, arrêt du 20 octobre 1989, Nicolo. C’est à partir de cette date que le Conseil d’état s’est donné les moyens de vérifier le respect des conditions de la supériorité. Il contrôle désormais la conformité de la loi même postérieure au traité. L’un des problèmes

des référés. Traditionnellement, le juge des référés est décrit comme le juge qui agit dans l’urgence, cependant « L’état actuel du droit des procédures d’urgence devant le juge administratif n’est pas satisfait » (lettre de mission, 31 octobre 1997, Monsieur Renaud Denoix de Saint Marc vice-président du Conseil d‘Etat). Le « référé » est une procédure engagée devant le Président d’une juridiction afin qu’elle ordonne des mesures provisoires mais rapides, pour que cesse une situation contraire

19. «L’intégration de l’éducation aux médias dans l’enseignement de la géographie et de l’histoire». Atelier dispensé à un groupe de 70 enseignants et enseignantes, Congrès des enseignants de sciences humaines du Québec, Sainte-Foy, 13 octobre 2000. 20. «L’éducation aux médias». Séminaire d’une journée dispensé à 20 enseignants et enseignantes du Collège de la Florence, Cycle d’enseignement secondaire du Département de l’Instruction publique du Canton de Genève, Genève, 18 avril 1997.

51 r Taur .05 61 23 93 98 Cournouailles crêperie 9pl saint sernin 05 61 21 61 90 Crêperie de la colombette 32 r colombette 05 61 62 27 26 Crêperie de l’ecluse 7 all Brienne 05 61 12 46 45 Crêperie du Taur 75 r du Taur 05 61 23 90 19 Crêperie la cathinou 11 r Agathoise 05 61 62 42 31 Le menhir 14 r Pont Guilhermery 05 61 80 57 72 Crêperie Saint-Georges 7 pl Saint-Georges 05 62 27 04 34 L'environnement Socio-culturel : Bien évidemment la France représente

promulgation du dahir du 31 mars relatif à la réglementation et à l'organisation de la profession bancaire. Les modalités d'application de ce dahir ont été fixées par l'arrêté du Directeur des Finances de la même date, puis modifiées et complétées par les arrêtés du 15 janvier 1954, du 17 janvier et du 16 avril 1955.          Ces textes ont notamment dévolu au Directeur des Finances une compétence générale en matière de contrôle et de réglementation des conditions d'exercice de l'activité bancaire, ainsi

devenir l’abbaye de Thélème du XXIe siècle et le patient le destinataire privilégié de la règle « Fais ce que voudras ». L’obligation d’honorer la volonté du patient a été reconnue comme un principe incontournable par la Cour de Cassation dans un arrêt fondateur du 28 janvier 1942 : « le chirurgien d’un service hospitalier est tenu, sauf cas de force majeure, d’obtenir le consentement du malade avant de pratiquer une opération […] ; En violant cette obligation imposée par le respect de la personne

décision ; PAR CES MOTIFS : CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l’arrêt rendu le 1er octobre 1996, entre les parties, par la cour d’appel de Caen ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l’état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d’appel de Rouen ; - Il existe également une obligation naturelle de secourir pécuniairement son frère ou sa sœur. Civ. 1 ère , 23 janvier 2001 Sur le moyen unique pris en ses quatre branches

synthèse .................................................................................................................... 15 4.3 Les documents cartographiques et graphiques.............................................................................. 19 4.4 Instruments réglementaires et techniques de mise en œuvre du SDAC – STAD. ........................ 20 5 La procédure d’élaboration du SDAC – STAD ................................................................................... 21 5.5 Les principales