Arnolphe Est Il Que Comique

laquelle le texte que nous allons étudier est extrait de la comédie : L’école des femmes publié en 1663 par celui-ci. Cette œuvre est la huitième pièce de théâtre de Molière, de registre comique qui retrace l’hilarante, la pathétique mais aussi la tragique histoire de « Mr. De la souche » plus communément appelé Arnolphe qui est fou amoureux d’une jeune fille nommée Agnès . Cet extrait présente un double enjeu fondamental pour cette pièce. D’une part ce dialogue est la manifestation de l’amour d’Agnès

principaux pour dénoncer un caractère de société qui est la jalousie. Arnolphe élève Agnès dans l’ignorance pour sois disons la préservée des perversités de la société et se marier avec elle par la suite, mais la naïveté de cette dernière la mène vers le cocuage avec un certain Horace. Le quiproquo entre Arnolphe et Horace constitue tout le comique de la scène 6de l’acte IV qui nous est été proposé. En effet Horace se confit à Arnolphe et avoue ses plans avec Agnès sans qu’il sache que celui-ci est finalement

Quelles informations cette scène apporte-t-elle sur les personnages ? 2) En quoi cette conversation permet-elle de lancer l’intrigue ? 3) Analysez le comique de la scène. Question  en quoi cette scène d'exposition dynamique permet-elle de lancer efficacement l'intrigue ? I) Les informations sur les personnages de la pièce· Arnolphe se fait appeler M. de la Souche souhaite appartenir à une strate plus élevée de la société et être reconnu· Il se moque des cocus parce qu’il voit

mystérieux préparent le retour du pére de Horace (Oronte) , Oronte qui était en correspondance avec Arnolphe. 3)Dans ce passage, on repère une situation comique, notamment un quiproquo. Il débute lorsque Horace nomme Agnès comme étant son amante "C'est Agnès que l'on l'apelle" au vers 327.A partir de cette réplique, Arnolphe est troublé. Horace ne sait pas que "l'homme" qui cache Agnès, et en faite Arnolphe, sous son nouveau nom. On repère au vers 335 Horace qui dit "C'est un fou n'est-ce pas ?"Ceci

xviie siècle, L’École des femmes entre parfaitement dans le cadre du programme de français en seconde. Œuvre riche mais accessible, son étude permettra par ailleurs de « faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au comique », comme le recommandent les textes officiels. La pièce peut aussi être abordée en classe de première, dans le cadre de l’objet d’étude « Le texte théâtral et sa représentation », dans la mesure où elle offre un champ d’interprétation assez varié

sont des alexandrins). Dans la scène 1 de l'acte I, deux amis, Arnolphe et Chrysalde, discutent du futur mariage d'Arnolphe. Ce dernier a confié sa pupille Agnès à un couvent pour préserver sa pureté et son innocence. Il veut en faire sa femme sans craindre d'être cocu. Chrysalde est en désaccord avec la décision de son ami. Nous allons nous demander en quoi cette scène d'exposition désigne Arnolphe comme un personnage comique. Nous évoquerons d'abord son caractère pédant, puis sa vision des

Celui ci plein de sollicitude lui expose les dangers d'un tel mariage ; la discussion s'engage, s'anime. Arnolphe dévoile son plan, rappelle ses précautions : tout heureux d'avoir un confident, il se livre à lui donc à nous prend Chrysalde à témoin, veut le faire juge des résultats de son expérience. Chrysalde est engagé, entre dans le jeu et lance une sorte de défi au présomptueux Arnolphe, les paris sont ouverts, qui aura raison du sage goguenard ou de l'époux prudent, trop prudent et égoïste

->Le dénouement est achevé car Arnolphe doit partir et Agnès et Horace vont se marier. 3)L'interprétation du dénouement: La morale est explicite:souvent à la fin de la pièce classique,un personnage est chargé de donner la morale de l'histoire. ->Il y a une morale religieuse au dernier vers:grâce à Dieu tout se termine bien.C'est de la providence divineLa morale vient de Chrysalde car il est le seul à avoir un point de vue critique.Il y aégalement une morale comique de la part de Chrysalde (v 1762-63)

Arnolphe, un personnage tragique ? Personnage complexe : antipathique, grossier mais souvent très drôle ; a même parfois des accents tragiques. à qui est Arnolphe en réalité ? Esquisse d’un portrait. a) Un personnage antipathique, un « antihéros » · dans ses rapports aux autres : - les femmes : n’éprouve que mépris pour elles (les juge mauvaises, perfides, rusées, d’humeur changeante...) + selon lui, elles ne sont nées que pour obéir à un mari. - les autres en général : se moque, rit

Introduction : Au théâtre, les enjeux d'un pièce comique peuvent être perçu grâce au contraintes de mise en scène qui servent, souvent, à mieux comprendre les personnages, leurs pensées, leur caractère ainsi que le sens de leurs attitudes et actions. Cependant, c'est toujours avec une certaine subtilité que les metteurs en scène doivent faire ressortir certains de ces aspects des personnages, afin d'éviter la censure. Or, souvent, le peuple n'a pas accès à cette subtilité et ne perçoit donc pas