Apport Des Classiques Ford Fayol Weber

§1 L’ECOLE CLASSIQUE ( le contexte : la révolution industrielle amorcée au 19 ° siècle engendre une nouvelle forme de travail : le travail en usine. Le secteur industriel attire une main d’œuvre agricole peut adaptée à la production et qu’il va falloir intégrer. A) L’organisation scientifique du travail : F.W. Taylor (1856 – 1915) D’abord apprenti dans un petit atelier de mécanique de Philadelphie puis ouvrier, contremaître, ingénieur en chef à la Midvale Steel Co. et enfin consultant

subordonnées). Les subordonnées. Standardisation des procédés de travail, on va spécification du travail avant sa réalisation : * Organe de réflexion * Organe d’exécution Cela donne le travail à la chaine, entreprise fordiste => TAYLOR et FORD. On peut avoir en standardisation des procédés de travail, la restauration rapide, les femmes de ménages industrielles… Standardisation des résultat on va spécifier les résultats à atteindre, la fixation de standards, la liberté d’allocation des

Introduction générale 3 Chapitre 1 : l’école classique 7 I) Taylor et l’OST 7 1) Les principes 7 2) Les disciples de Taylor (Ford principalement) 9 3) Les limites du modèle taylorien 10 II) Fayol et la gestion administrative 10 1) Fonctions 10 2) Les principes 11 3) Les disciples 11 III) Urwick et sa théorie organisationnelle 11 IV) L’apport de Gulick 12 V) Après Urwick et Gulick : la théorie de la départementalisation. 13 VI) Webber et la bureaucratie. 14

Management Plan du cours : I. II. Le management comme pratique réflexive. Les origines et les fondements du management  Organismes, entreprises et management.  Fondements classiques : Taylor et Fayol.  Mayo et l’école des R humaines. PODC Planification  Organisation  Direction  Contrôle 1. Enjeux contemporain  Gestion de projet au management par projet.  Management des connaissances.  Les défis de la mondialisation.  Le management comparé. Le gestionnaire et son rapport au travail.

service => livraison petit déjeuner besoin => client qui paresse le dimanche Organisation : combinaison de moyens humains, matériels et financiers pour atteindre au mieux les objectifs (organisation informelle) Ex : 2 étudiants vont faire un apport : scooter, ordinateur, local 2 étudiants => spécialisation du travail : livraison, achat, prise de commande Le développement de l'organisation Pour ce développement, les tâches doivent être menées de manière cohérente. Chaque tâche s'inscrit

débouchés possibles, il comprend des clients actuels et potentiels, son fonctionnement dépend du nombre d'offreurs et de demandeurs. Le prix du bien échangé dépend de la confrontation de l'offre et de la demande. I) l'école classique Principes : qui ont inspirés Taylor et Fayol. La hiérarchie : entreprise est décrire comme une succession d'échelons, le niveau supérieur détient l'autorité qui se décline dans les échelons inférieurs par délégation. L'unité de commandement : subordonne l'autorité fonctionnelle

public : bénéficie de la personnalité morale et quasi sté publiques exple la poste (ouverture sur le marché) * Secteur privé : Sté de capitaux : actionnariat responsable à hauteur des apports Sté de personne : pas de différence entre l’E et le propriétaire Aux sources du management contemporain L’école classique du management Le taylorisme 1911 : manière optimale de réaliser une tâche. Objectif : Obtenir des gains de productivités de 200% en réaffirmant les fonctions de planification et la

Les premières organisations de la société industrielle : l’école classique de l’organisation 1- Contexte historique: industrialisation et créations de richesses Apparition de la «société industrielle» (XIXème) Découvertes de techniques et savoirs Créations de richesses, accumulation de capital, naissance d’une « bourgeoisie industrielle » Mouvement d’idées, évolutions des valeurs et de la manière de concevoir les relations aux autres Lieu central de création de richesses: l’usine/l’atelier

Max WEBER (1864-1920) C'est l'inventeur de l'Organisation bureaucratique'.
La légitimité de cette organisation repose sur le droit et les règlements. Le détenteur de l'autorité donne des ordres qui sont autant de règlements (notes de services) qui ont aussitôt valeur juridique. C'est une organisation désincarnée de son aspect humain, basée sur la compétence, la rigueur, la précision et, bien sur, une stricte hiérarchie (Cf. F. KAFKA "le château" ou "le procès"). Ce modèle, selon Weber, est à la

objet d’appropriation, elle doit être envisagée comme une entité dotée d’une personnalité ; ainsi, l’entreprise est-elle un sujet collectif de droit, une combinaison de travail et de savoir-faire. Quant aux économistes, notamment A. Smith et les classiques, jusqu’à la fin du XVIII ° siècle, en montrant que la valeur est créée par le travail de l’homme , prennent en compte l’entreprise sans vraiment dissocier entreprise et entrepreneur. Celui-ci est guidé par la recherche du profit et a donc intérêt