Apologue Instruire Plaire

les avantages de la domestication mais en voyant « le cou pelé » du chien, il choisit de rester libre. Donc, c’est la confrontation entre la liberté et la captivité ou la servitude qui devient un excellent exemple d'un apologue qui répond la devise des classiques : «Instruire et plaire» d’Horace. Cette fable en question est dynamique et théâtrale car, elle met en scène deux animaux allégoriques qui ont été personnifiés en leur donnant les dialogues directs, qui confèrent la vivacité au récit. Ici

formes les plus courantes de rcit caractre argumentatif que lon appelle apologue sont la fable et le conte qui se terminent rgulirement sur une morale. Lauteur, au travers de rcits daventures et de lexistence concrte de ses personnages, nous invite les confronter aux ides et principes gnraux (Candide vit des expriences qui semblent contredire la pense rigide du philosophe Pangloss). Voltaire a donc pour but de plaire et instruire. Les actions et situations vcues par les personnages ainsi que leurs

Commentaire de « La Cigale et la Fourmi » de Jean de La Fontaine Livre I, Fables, 1668 « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », explique le fabuliste Jean de La Fontaine, appartenant au mouvement du classicisme, dans l’épître dédicatoire de son premier recueil de Fables paru en 1668. Dans ses fables, Jean de La Fontaine choisit comme personnages des animaux. Derrière chaque animal il existe une signification symbolique. C’est le cas dans « La Cigale et la Fourmi », première fable

les hommes de pouvoir qui rendaient justice eux - mêmes en vue de profits personnels . Jean de la Fontaine écrivain de la période classique, époque où la littérature doit obéir à deux principes : plaire et instruire . La fontaine a donc écrit ses sur ces principes . Cette fable est donc un apologue car c'est un crout récit à portée didactique .

apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ; proche de la parabole - l. 120-149 : enseigne sans qu’on s’en rende compte = persuasion - l. 151-153 : légèreté

symbolique de ces personnages va être révélée; ➢ des dialogues qui confrontent différents points de vue ou qui permettent d'énoncer une leçon; Ainsi le conte philosophique s’inscrit dans la fonction de la littérature : docere / placere = plaire et instruire (Horace) « Nous avons tâché de joindre l’agréable à l’utile, n’ayant d’autre mérite et d’autre part à cet ouvrage que le choix. Les personnes de tout état trouveront de quoi s’instruire en s’amusant. » (VOLTAIRE, préface du Dictionnaire philosophique)

écrit ne peut être contesté puisque les faits décrits sont irréels. Il peut simplifier ou grossir les faits. Comme ces faits sont irréels, cela ne pourra lui être reproché ! L'auteur ne prend ainsi aucun risque. Cependant il utilise aussi des apologues, un apologue étant un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale; l'apologue permet à l'auteur de faire passer son message. Le créateur de fiction utilise sa fantaisie en variant les types de personnages. Il se rapproche ainsi

religions : Chrétienne et Mythologie Grec. Apothéose/Champs Elysiens ramène Grec. Référence Biblique Salomon Vers 30, « Saints » vers 47. JdlF mêle volontairement les deux : « Sacrétisme » B) La satire du Fabuliste Une grande devise époque : « Plaire pour réussir », Recourt animaux rendre récit plaisant/détourné censure. 1) L’application de Jean de la Fontaine Vers 17 : «  Je définis », vers 24 : « Notre affaire » Emploi 1ere personne = Narrateur parle. JdlF s’adresse lecteur vers 11 : « Jugez »

classique qui recherche le naturel, la simplicité et le mot juste, ces oeuvres ont pour objectif de plaire et instruire, comme la fable. Le récit dynamique plaît et la moralité instruit. ​ Ecrit des fables, des contes légèrement érotiques, des discours… oeuvres principales: fables comme “Le loup et l’agneau”, “Le corbeau et le renard”, “La cigale et la fourmi”... Les fables ont deux fonctions: plaire et instruire avec des portées morales souvent universelles. LF, comme les Anciens, s’inspire des textes antiques

bien plus divertissante pour le lecteur. Pour finir, nous allons nous intéresser a la dramatisation presque systématique de chaque conte et fables. En effet, en donnant un aspect un peu théâtral à son texte, on arrive à créer du suspens et ainsi à plaire au lecteur. Cela se confirme lorsque l'on regarde les 14 premiers vers de « Les animaux malades de la Peste ». L'auteur a réalisé une sorte de prologue théâtral pour instaurer une atmosphère de tension. On trouve également une allitération en R au