Apologue Et Montesquieu

| |Objets d’étude :Convaincre, persuader, délibérer | |-Essai, Dialogue, Apologue- | |La question de la relation avec l’autre .

Candide de Voltaire L’œuvre à l’examen Par Yves Stalloni Petits Classiques Larousse -1- Candide de Voltaire Corpus bac : Les lumières et l’esclavage Montesquieu, « De l’esclavage des nègres », L’Esprit des lois (1748) XV, 5. Voltaire, Candide, chapitre 19, l. 20 à 47. L’Encyclopédie, (1751-1772), Louis de Jaucourt, article « Traite des nègres ». Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788). Objet d’étude : les Lumières. a. Questions préliminaires 1. Il est aisé de noter

d’argumenter ? Nous verrons que, même si une morale sans récit peut être sans grand intérêt pour le lecteur, une argumentation directe est tout aussi adaptée pour faire passer un précepte et elle présente un grand nombre d’atouts. La particularité d’un apologue, est l’utilisation d’un récit au profit d’un précepte. La morale peut être explicite ou implicite. Tout d’abord un récit permet de faire passer un enseignement de façon plus agréable pour le lecteur. En outre, le lecteur sera plus attentif. Un récit

de l’utopie, une parodie des illusions ? Quelles sont les caractéristiques de la société que découvrent Candide et Cacambo ? Quelle utilisation Voltaire fait-il ici du conte ? MONTESQUIEU, Lettres persanes « Les bons troglodytes » Qu’est-ce qui permet de définir ce texte comme un apologue ? De quoi Montesquieu veut-il nous persuader dans cet extrait ? ROUSSEAU, Dialogue sur l’origine de l’inégalité... (Hatier p.36) En quoi le mouvement et la construction du texte éclairent-il la vision

enfantin instruit le lecteur par le biais d'une morale ) récits fictifs ... . N'est -il pas préférable de convaincre par le biais d'une histoire que par un long discours austère ? II - inconvénients d'avoir recours aux fictions littéraires/apologues : cela peut déconcerter le lecteur, réduire la porter du texte : Ainsi, exposer ses arguments sans histoire, sans conte III- depassement I - Les contes que tu lisais étant plus jeune, ou que tu te faisais lire, ont des moralités en fin

écrivains, comme Montesquieu, voyagent à travers l’Europe, multipliant les échanges et les rencontres. Ils s’engagent dans le combat contre l’autorité religieuse et politique. Ils s’exposent ainsi à la colère du pouvoir royal : Voltaire est contraint de s’exiler en Angleterre, Diderot est enfermé au château de Vincennes. C’est alors que le mot philosophe se répand pour désigner celui qui exerce son esprit critique. Biographies de Montesquieu, Voltaire et Rousseau: | Montesquieu | Voltaire | Rousseau

cartésianisme avait jeté les bases du rationalisme, philosophie à laquelle les progrès scientifiques ne vont cesser d'ajouter du prestige. En formulant les lois de la gravitation universelle, Newton achève de convaincre des écrivains-philosophes comme Montesquieu et Voltaire que la métaphysique et la physique sont incompatibles, que le fanatisme est inconciliable avec l’exercice de la pensée et que l'homme peut, par la science et l’esprit critique, fonder des connaissances sûres, bases de tout progrès.

“Les lettres persanes“. Lettre 138 : Law fait banqueroute. Montesquieu est déçu de la régence Pages 393-394, Lettre 146 : c’est la dernière lettre du séjour parisien écrite par Usbek. Usbek évoque l’affreux néant, le néant s’abat sur le désert oriental. Page 245 lettre 92 : le monarque Louis14 meurt. Tout pouvoir annonce la fin tragique du despotisme. Critique de la monarchie absolue : Dans les lettres du séjour parisien, l’expression est la satire. Castigat Ridendo Mores, Il

jusqu’à ce qu’il remarque le prix de son confort : l’absence de liberté. Comment la narration se met-elle ici au service de l’argumentation ? Nous verrons d’abord que la fable se présente comme un récit plaisant et varié, puis qu’il s’agit d’un apologue au service d’une morale. La fable se présente comme un récit plaisant et varié. D’abord, le récit respecte les étapes du schéma narratif. On distingue la situation initiale, aux v. 1 et 2, rapide, à l’imparfait ayant une valeur descriptive

I) Biographie de l’auteur Charles de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu (1689-1755) est né dans une famille d’importants parlementaires bordelais, et c’est pourquoi il est élevé au château de La Brède. Il suit des études de droit, à Bordeaux puis à Paris, où il commence à fréquenter les milieux savants et lettrés, sans pour autant se détacher de sa région, puisqu’il y retourne en 1714. Il y reçoit la charge de conseiller au parlement. Il hérite du domaine de La Brède à la mort de son père