Animalité

part, on a la théorie de Hannah Arendt. Elle dit que le travail est l’activité humaine la plus proche de l’animalité, de la nécessité biologique, en vertu de sa finalité qui est de satisfaire nos besoins. On peut donc voir que l’homme travail par animalité et on sait bien que les animaux lorsqu’ils travaillent ils utilisent seulement leur force et pas leur raison donc, lorsque les hommes travaillent ils vont réaliser un travail manuel. En plus, elle développe le principe de production-consommation

les bois…L’homme lui va manger cuit, vivre dans des villes (la Polis). La nature de l’homme est donc paradoxalement de devenir autre chose qu’un être naturel : un être de culture, un humain. La nature de l’homme consiste donc bien à nier sa propre animalité, la nature en lui, ses instincts ; par exemple en respectant des interdits religieux ou moraux et des règles socialesLa nature de l'homme est de ne pas avoir de nature : Nature peu déterminée puisqu'il peut résister à ce que lui dicte son instinct

et pouvons acquérir les caractéristiques humaines tel que la raison, la moral, la conscience, la justice. -Le rôle du travail dans le développement du genre humain est considérable, en effet l'homme transforme la nature et s'éloigne de son animalité première en se perfectionnant dans le mode de la technique et en inventant des nouveaux outils; associé alors avec l'apparition de la culture - La culture peut humaniser l'homme, en effet la culture est l'un des facteurs qui permet à l'homme

nous obéissons par devoir que nous montrons notre capacité à nous extraire du déterminisme naturel, et à agir conformément à notre raison : nous manifestons par là notre vocation d’êtres moraux, c’est-à-dire que nous nous élevons au-delà de notre animalité. Cela exige que nous sachions nous déterminer indépendamment de mobiles sensibles. Il faut donc agir moralement en ayant pour unique but de faire son devoir (le propre du devoir étant de n’avoir pas d’autre fin que lui-même), c’est-à-dire agir de

Mais, dans un 2ème temps, il est décisif d’approfondir la négation : n’être pas naturel, et de s’interroger sur le sens qu’elle reçoit. Qu’est-ce qui est nié à travers le terme de “nature” ? Est-ce la nature en général ou sa propre nature, son animalité ? Enfin, pour proposer une réponse, ne faudrait-il pas revenir au pouvoir de dire ? En effet, nous pouvons bien accepter que l’animal s’exprime et « parle », mais peut-être est-il réservé à l’homme de pouvoir dire quelque chose en lui donnant du

Phénoménologie de l’Esprit, Hegel nous explique le procédé essentiel qui conduit l’Homme à devenir maître ou esclave : la conscience que nous avons de nous, la conscience que l’Homme à de lui-même, se voit obligée de s’élever au-dessus de cette animalité, le stade primaire, qui lui est rattaché, pour être reconnue comme supérieure. La conscience de soi n’est possible que par l’intermédiaire de la conscience d’un autre, ainsi une lutte s’instaure chacun voulant imposer à l’autre son désir de domination

• Dans éducation : partie positive et partie négative. Instruction : fait de transmettre des connaissances , point positif. La discipline : point négatif. Discipline = ensemble de limites qu'on impose à l'enfant pour l'obliger à sortir de son animalité : contraintes. Contrainte = négation de la liberté. L'homme doit apprendre à obéir pour ensuite être libre. Pour comprendre : distinction entre indépendance et autonomie. • Indépendance : ne pas avoir besoin de quelqu'un pour vivre. Affranchissement

Bordenave qualifie lui-même le « bordel». L’apothéose de Nana Tout le monde adore Nana, toute Paris est possedé par elle. Comme une apothéose d’elle il nomme une pouliche qui gagne avec son nom - on y voit l’interêt de Zola dans animalité, le rapprochement de la femme au cheval. Mais plus des hommes sont enchantés par elle, plus des eux elle soumet. Dans cette parti du roman, Nana est présentée comme une profiteuse, qui satisfait tout ses apétits. Cela c’est le thème qui se revient

nous autres humains sommes capables de consacrer une grande énergie à la quête du rien et au brassage de pensées inutiles et absurdes. » « Car cette quête de sens et de beauté n’est pas le signe d’une nature altière de l’homme qui, échappant à son animalité, trouverait dans les lumières de l’esprit la justification de son être ; c’est une arme aiguisée au service d’une fin matérielle et triviale. » « Théo, il aura peut-être envie de brûler des voitures, plus tard. Parce que c’est un geste de colère

Le déterminisme mécaniste des sciences biologiques voudraient réduire l’homme à n’être qu’une machine. Or vous pouvez bien montrer que ceci n’est possible qu’au prix d’une réduction : l’homme est toujours au-delà, en bien ou en mal de la simple animalité. Parce que nos réactions ne sont pas prédéterminées, nous ne sommes pas des machines. L’homme est un être en devenir : nul ne peut dire ce que va devenir un être humain dans le cours de sa vie : les être humains sont perfectibles, ce que ne sont