Anarchie, État et utopie

s'entrechoquent mais personne ne peut juger au dessus des États (comme l'État, en interne). De là, il y a toute une vision populaire lorsqu'on parle de puissance, cf. les mémoires de diplomates, on y trouve cette vision d'un monde international où se déploie cet État de nature hobbesien (on peut parler des « coups tordus » que se font les acteurs entre eux). Cela explique la popularité parmi les décideurs qui s'intéressent aux Relations Internationales, d'auteurs comme Thucydide, Machiavel, Hobbes, Clausewitz ou

Les auteurs libéraux , surtt A.SMITH, MILL , HAYEK, PIGOU bien qu’incarnant la thèse libérale acceptent certaines interventions extérieures à la simple loi du marché. BUCKANON et TULLOCK avec les 2 ouvrages calculus of concent et anarchie, état et utopie renouant avec HAYEK, vont remettrent en cause la nécessité d’une intervention de l’état dans la correction des situations individuelles. La théorie des choix publics est une discipline de l'économie qui décrit le rôle de l'État et le

| | | |Libéralisme politique, 1993 | | | | |Anarchie, Etat et utopie, 1988 | | | | |Justice et démocratie, 1993 | |

n’est plus, dans sa nouvelle patrie, qu’un tranquille cultivateur. Il cesse d’innover en religion, pour innover méthodiquement en politique. Assurément, la place et les facilités ne lui manqueraient pas, s’il entreprenait de réaliser d’audacieuses utopies ; cependant il se renferme dans les routines nécessaires à sa laborieuse existence, tandis qu’en Europe, où le resserrement des intérêts les plus opposés ne permet pas un seul progrès qui ne soit accompagné d’une violente crise, l’ardeur révolutionnaire

le reste serait à la charge des individus ou associations. Courant ultra-libéral : les libertariens (anarcho-capitalisme : société quasi sans état, qui fonctionne de manière concurrentielle) avec des auteurs comme James M. Buchanan Fondation, logique de la démocratie, 1962, M. Rothbard : L’éthique de la liberté, 1960, R. Notrick : Anarchie, Etat et utopie, 1974. Libéralisme politique avec 2 postulats. L’état social est le produit de l’homme concédant des droits. Les gouvernants ne possèdent

vie. Le mérite pour explication Sur ce point, les néolibéraux ne s'embarrassent pas, en règle générale, de nuances: la situation de chacun est conçue comme procédant de choix individuels. Des penseurs tels que Robert Nozick, auteur de Anarchie, Etat et utopie (1974), n'hésitent pas à soutenir que l'inégalité sociale est liée au mérite particulier de celui qui en bénéficie. Pour ces auteurs, le "privilégié" tire légitimement avantage d'un talent qui est attaché à sa personne et n'appartient donc

  de   la   valeur   que   l'on   attribue   à   leur   capacité   à   orienter   eux-­‐mêmes  leur  vie.  Des  penseurs  tels  que  Robert  Nozick,  auteur  de  Anarchie,  État  et   utopie   (1974),   n'hésitent   pas   à   soutenir   que   l'inégalité   sociale   est   liée   au   mérite   particulier  de  celui  qui  en  bénéficie.  Pour  ces  auteurs

des affaires de la cité. La politique désigne aussi un ensemble de mesures, les grecs considéraient que la politique était une activité noble réservé aux citoyens une élite. Les esclaves eux ne pouvaient pas pratiquer la politique  Par état on définit le complexe gouvernemental, les organes administratifs et les entreprises politiques. Où l’autre conception qui regroupe que le pouvoir politique. L’état n’a pas toujours existé. Les partis politiques, les masses médiatiques

basé sur des principes bases). Philosophie générale La philosophie générale de Rawls part d’une question : Qu’est-ce qu’une société juste ? C’est une société qui reconnaît l’importance cruciale de principes généraux de vie en société incarnés dans une Etat ( solidarité publique, ces principes généraux doivent s’intéresser aux institutions publiques)…Principes généraux qui doivent mettre l’idéal de justice en leur cœur. Les principes généraux sont un ensemble de valeurs sur lesquelles tout le monde s’accorde

aveuglés d’idéologies idéalistes et irréalistes. Ainsi, « l’autogestion oscillerait entre l’utopie et l’inefficacité »[3]. Au mieux, elle apparaît comme un doux rêve d’utopistes immatures, au pire comme une menace pour l’ordre social. Comme en fait état l’Encyclopédie Universalis, « le clair-obscur idéologique offert par l’autogestion en tant que concept et le refus de considérer les résultats effectifs de sa concrétisation, ou l’ignorance manifestée envers ses ratés, ont été propices à bien des équivoques