Analyse D Un Autoportrait

Histoire des arts . L'autoportrait, une simple description de soi? Frida Kahlo, Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, 1932, New York, collection Manuel Reyero. I. Une courte biographie. Frida Kahlo, La Colonne Brisée. Nom de naissance : Magdalena Carmen Frida Kahlo y Calderón Naissance : 1907, Mexique. Décès : 1954, Mexique. Nationalité : Mexicaine. Activité : Peinture. Formation : Autodidacte. Mouvement artistique : Réalisme, symbolisme, surréalisme. Quelques éléments

qu'ils n'ont comme eux ni attache ni patrie ; ils sont insaisissables, multiformes, légers, aériens, célestes ; qui mieux que les nuages pouvaient représenter le poète lui-même ? On comprend dès lors que l'Etranger ne constitue rien d'autre qu'un autoportrait de Baudelaire. Comme son personnage, le poète est sans famille ni amis, apatride et tourmenté par un environnement destructeur. Les questions, on l'a vu, portent sur des valeurs considérées comme essentielles, mais il apparaît justement que l'artiste

par un alinéa, sans sauter de ligne entre les sous parties. - Chaque paragraphe développe une idée qu'il s'agit de démontrer en plusieurs étapes (marquées par des connecteurs : aussi, deplus, par ailleurs, enfin...) par des citations qu'on analyse (analyser = nommer les procédés de style utilisés et commenter leurs effets) - Si le paragraphe est relativement long, on peut le conclure par une phrase qui en résume l'essentiel. I Le récit d'un pèlerinage A Le récit d'une marche d'une journée.

« La Parure » Introduit au milieu du 19e siècle, le portrait littéraire, au lieu de cacher l'identité de l'objet avec un nom de scène, représente la personne telle qu’elle est. Dans un autoportrait, les sujets sont observés, évalués, et décriés. Ils se donnent au regard des autres et se donnent une bonne analyse de leur véritable identité. Cependant, comme nous allons le voir dans « La Parure », les gens se réinventent et essayent de répondre à la question « Qui suis-je ? » sous le regard d'une

et d'un incendie, C'est la figure du sauveteur ( autoportrait: Otto Dix) Courage, solidarité, espoir Les couleurs dominentent sont le brun ocre, couleur de la terre et de la boue des tranchées et des uniformes. Le rouge-orangé, le sang, les corps déchiqueté, les blessures, les flammes et les bombardements; le noir pour les poutres calcinées, les ténébre et la mort et enfin le blanc pour le silence, l'inscusiance, la fraternité. II- Analyse Cette oeuvre est le témoignage de la vérité de la

objet peut-il bien convoiter à fixer ainsi le sol hors des chemins assujettis aux règles de la perspective? Un souvenir, un constat amer ou un billet de banque oublié sur la chaussée ? Si la cupidité devait l’emporter, je pencherais alors pour un autoportrait sonnant et trébuchant au sens où l’entendait André Breton lorsqu’il affubla le peintre du drôlatique sobriquet : Avidadollars. Pure hypothèse teintée d’une pointe de raillerie de ma part. Car à moins de faire appel au savoir infaillible d’un

en effet un lieu de repos à l’arrière des tranchées en retraite pour que les soldats puissent s’y reposer. Mais la présence de ses araignées et la couleur de leur peau nous permettrait plutôt de dire que nous sommes dans une tombe à soldats . Analyse La deuxième hypoyhèse pour la prédelle serait la plus appropriée.En effet comme indiquer précedemment ces panneaux se suivent dans un ordre chronologique. Les soldats vont au front,le champ de bataille,la pause,la mort. Ou encor le matin, la journée

illustrateur américain né a New York en 1894 et mort en 1978, Peintre naturaliste de la vie américaine du 20 eme siècle.Il est célèbre pour avoir illustré des couvertures de magazine comme (look ou Saturday evening Post).Il peindra également son triple autoportrait. En 1960, il travaille pour la revue Look et illustre des thèmes en relation avec les problèmes politique. Le titre de ce document est The Problem We All Live With, que l'on peut traduire par «Le problème avec lequel nous vivons tous». Qui m'est

bâtiment, avec une cheminée, c’est le four crématoire où sont emmenés les cadavres pour y être brulés. On voit aussi des tourelles de surveillance, et d’autres bâtiments. L’auteur a signé son tableau en bas à droite, sur le sol, ce qui est original. Analyse de l’œuvre David Olère a choisi de témoigner de l’horreur qu’il a vécu dans les camps par la peinture, et donc aussi par cette œuvre. Cette peinture est un moyen d’immortaliser la mémoire des déportés, pour que soit à jamais conservée leur mémoire

« Guernica » Pablo PICASSO SOMMAIRE I- INTRODUCTION II-  BIOGRAPHIE DE PABLO PICASSO III- « GUERNICA »: UNE ŒUVRE ENGAGEE 1- Présentation de l’oeuvre 2- Contexte historique et artistique IV- ANALYSE L’ŒUVRE 1- Les couleurs 2- La lumière 3- La composition 5- Les formes V- DESCRIPTION DES FIGURINES 1- Le cheval 2- Taureau 3- L’oiseau 4- La femme et l’enfant 5- Le soldat mort 6- Le personnage dans les flammes 7- La femme qui fuit 8- La femme à la bougie 9- La lampe VI- CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE