Analyse D Un Autoportrait

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rappeler les atrocités de la guerre. Le triptyque ne fut exposée que brièvement à Berlin pour l’exposition « Art dégénéré » avant qu’il ne soit caché des nazi qui auraient pu le détruire. Analyse Ensemble des panneaux Sur ce tableau, nous pouvons observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. Dans la partie gauche du tableau, nous pouvons observer des soldats partir au front dans la brume matinal. Au centre

Les raboteurs de parquet Gustave CAILLEBOTTE 1875 Autoportrait 1875 Huile sur toile 100.6x145cm Exposé à Paris au Musée d'Orsay «L'art ne s'est occupé jusqu'à présent que des dieux, des héros et des saints ; il est temps qu'il s'occupe des simples mortels.» Pierre-joseph Proudhon, Du principe de l'art et de sa signification sociale, 1865. Ce tableau constitue une des premières représentations du prolétariat urbain. Si les paysans (Des glaneuses de Millet) ou les ouvriers

Autoportrait peint en 1899. Contexte historique Lorsque Raoul Dufy peint ce tableau, il est bien sur dans la période du fauvisme, mais c’est aussi la période durant laquelle la Normandie devient très touristique et est en pleine croissance. On appelle cette période La Belle époque. Raoul Dufy à donc peint ce tableau lors de l’âge d’or du Havre. Il y a beaucoup de commerce et la ville s’embellit de jour en jour. Analyse Au

l'obligent à travailler assis ou allongé. Dans cet ultime autoportrait, le peintre se représente par cette forme noire, semblable à sa silhouette assise dans son fauteuil, et dont les mains s'agitent pour découpé. Il fait partie de la collection du centre Pompidou. Il mesure 292X386 cm. Il fut composer selon la technique que Matisse utilisait a la fin de sa vie notamment a base de papier gouaché et découpé, fixer sur toile. Analyse : La toile aurait eu deux autres œuvres en tant que source

Introduction :La lettre LXXXI (81) est une longue lettre de la Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont, au cœur du roman, où elle révèle les fondements secrets de son pouvoir sur les hommes : les faux-semblants et l’apparence. Enjeux :Quel autoportrait de la femme libertine se dégage dans cette lettre ? Comment est perçue l’éducation des jeunes filles ? De quelles qualités à fait preuve Mme de Merteuil ? Comment réussit-elle à manipuler les autres ? Quelle vision est donnée de la femme au XVIIIème

contraintes. Description : Un triptyque : peinture de trois tableaux dont les deux latéraux peuvent se replier sur le panneau central + une prédelle en dessous. C'est une forme à l'origine utilisée pour des retables, des peintures religieuses. Analyse, Signification : Panneau 1 (A ) Panneau 2 ( B ) Couleurs Froides avec des rehauts de brun la mort rôde Chaudes exprimant la Froides avec des violence rehauts OR du ciel vert-de-gris exprimant la putréfaction des corps Chaude et Noir signifiant

à 27). Le fait de prendre ces expressions au premier degré et de les vider de leur contenu passionné les réduits a de simple formules sans portée et ridicule. II. Les femmes telles qu’elles se voient et telles qu’elles se révèlent A. Un autoportrait des femmes Met l’accent sur deux qualités : l’esprit, d’après Arthénice il est si redoutable que c’est ce qui a conduit les hommes a n’accorder aux femmes qu’un rôle de domestique. Les qualités humaines, « nous les avons polis », « leur avons

depuis son mariage en 1929 des infidélités répétées de son époux Diego Rivera. Marié, divorcé puis marié à nouveau, le couple se déchire. Présentation de "La colonne brisée": 1944 Huile sur bois aggloméré 40x30,5 Musée de Mexico C'est un autoportrait de Frida Kahlo. Au 1er plan, l'artiste se représente debout au milieu du tableau face au spectateur. Derrière elle s'étend un paysage désertique et infertile présentant de nombreuses failles. Elle est nue de la tête au hanche avec un corset de

1831, il a suscité un réel enthousiasme. Il entre au Louvre en 1874. 2) Décrire et analyser l’œuvre : Les personnages : Delacroix a représenté tous les acteurs de la révolution de 1830 : homme, femme, enfant, et différentes catégories sociales. A gauche, l’homme au béret qui brandit un sabre est un ouvrier (tablier de travail). A côté de lui se trouve un bourgeois avec un chapeau haut-de-forme (autoportrait de Delacroix ?) La figure centrale du tableau est une femme, qui porte le bonnet phrygien