Amour défendu

reine » ici pour désigner sa grâce. Il utilise également une image maternelle « comme un enfant qui se jette dans le sein de sa mère ». On peut l’interpréter par rapport à la différence d’âge entre lui et Mme de Mortsauf ou alors comme l’apparition d’un amour aussi fort qu’il a pu ressentir pour sa propre mère. Il sert également d’une personnification « épaules qui avaient une âme » par rapport à des parties de son corps qui sont ces épaules, ce qui montre à quel point il peut être charmé par elle. Il

s'impose à eux avec une fatalité tragique, malgré leurs remords, malgré leurs efforts pour s'en libérer. Victimes de leur passion, ils se sentent coupables, ils luttent, et pourtant ne peuvent s'empêcher de goûter, dans l'amertume, le bonheur défendu. Cet amour, si ardent, est plus fort que les lois divines et humaines : bien que soulignées par l'ermite Ogrin, ces lois sont bafouées par les deux amants, qui inventent mille ruses pour se rejoindre. Tristan trahit son oncle, puis enlève son épouse. Tristan

titre du recueil annonce bien le sujet : l'amour, et ici, l'amour de Marie. Nous nous plaçons donc avec ce poème dans la tradition de l'éloge amoureux, poème dans lequel l'auteur fait sa cour à sa belle, avec pour intention de la convaincre de son amour, et d'obtenir le sien en retour. Ce genre, très en vogue depuis le Moyen Age avec les trouvères et les troubadours. Nous allons étudier, dans ce poème, comment Ronsard fait l'éloge de sa belle et comment ce poème, avec des caractéristiques propres

Trézène. En effet, il souhaite fuir son amour pour Aricie car c'est une ennemie de son père. Phèdre, la reine, épouse de Thésée et belle-mère d'Hippolyte avoue à sa nourrice ou plutôt confidente Oenone qu'elle aime Hippolyte. Mais elle est à bout de force et décide de se laisser mourir. Quelques temps plus tard, Panope, femme de la suite de Phèdre vient annoncer la mort de Thésée, il faut trouver un nouveau roi, ou reine. Suite à cette mort, chacun déclare son amour à celui qu'il aime; Aricie confie à

poète (siège des sentiments). « quelques gouttes de sang » (v.41) on peut y voir l’image de la plume et de l’encre de l’écrivain. 2)Amour filial :V.18. Nécessité supérieure, ordre naturel, ordre divin : « il regarde les cieux » Le sacrifice a un sens, une utilité 3)Le sacrifice est un « festin ». « festin de mort »/ « festins humains » oxymore/ « amour sublime-douleur » antithèse, « fêtes ». Le sacrifice est en un sens joyeux, il est salutaire pour la société, comme pour les petits du pélican

et œuvre incessamment à la perte de sa famille. Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendus et maudits. Tout cela est d’écris pas la citation « Les dieux m’en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc ont allumé le feu fatal à tout mon sang » (vers 10 et 11) Phèdre est constamment en proie à son destin, elle est victime des choix que

le duc de Nemours en entend parler, il décide de profiter qu'elle soit seule pour aller la voir. M. de Clèves comprend bien qu'il va aller la voir et envoie donc un de ses gentilshommes pour le surveiller. Analyse: PERSONNAGES Mme de Clèves: AMOUR -> Nemours, et pour M. de Clèves. RAISON -> Aveu, éviter Nemours par respect d'elle-même et de son mari p.158, l.2-5 "Peut-être souhait-elle, autant qu'elle le craignait, d'y trouver M. de Nemours; mais enfin la raison et la prudence l'emportèrent

ils vivent chacun dans leur monde. Même la naissance de sa fille ne la touche pas, c’est comme si elle ne veut pas s’y attacher. Petit à petit elle se sent étouffer dans cette famille et enfermée dans la propriété d’Argelouse et dans un mariage sans amour, elle s’ennuie de plus en plus et elle sombre dans la dépression. Elle compare la famille Desqueyroux à une cage aux barreaux innombrables et vivants, tapissée d’oreilles et d’yeux où elle attendrait de mourir. Après son procès, elle reprend le train

ce chien. Je me suis mis à l’aimer comme ce n’est pas permis. » On retrouve le coté naïf et émotif de Momo en début de roman, lorsqu’il apprend que Mme Rosa reçoit un mandat a chaque fin de mois pour s’occuper de lui, croyant qu’elle l’élevait par amour, on voit aussi toute sa déception et il dit que ce fut son premier chagrin. Son ignorance passe aussi par la recherche de sa mère et notamment par la manière dont il s’y prend, il essaye d’avoir mal au ventre en espérant qu’ainsi sa mère s’inquiéterait

classique b) Une beauté physique idealisé c) Un portrait moral d'exeption II - La vision du narrateur sur son époque a) La vision de la femme du XVII éme siècle b) La vision sur l'homme du XVII éme siècle c) Une vison pesimiste de l'amour et des valeurs défendues par la société aristocratrique du XVII éme siècle. Introduction : - Premier roman psycologique de l'auteur : Mme de la Fayette (publication anonyme 1678), titre : La princesse de Clève - Contexte bibliographique : Mme de la Fayette appartient à