Amour défendu

affaiblis et asservis par une vile sujétion ou une contrainte, ils utilisent ce noble penchant, par lequel ils aspiraient librement à la vertu, pour se défaire du joug de la servitude et pour lui échapper, car nous entreprenons toujours ce qui est défendu et convoitons ce qu’on nous refuse. Grâce à cette liberté, ils rivalisèrent d’efforts pour faire tous ce qu’ils voyaient plaire à un seul. Si l’un ou l’une d’entre eux disait : « buvons », tous buvaient ; si on disait « jouons », tous jouaient

vue de libérer celle-ci. Ce personnage est présenté comme étant un véritable symbole pour la jeunesse Française car il était à la fois très jeune et très engagé pour la défense de la patrie. Il n'était qu'un jeune lycéen âgé de 17ans qui pourtant a défendu ses idées et ses envies de liberté au péril de sa vie. Évoquer l'exemple de Guy Moquet c'est rendre hommage à un jeune homme dont la bravoure et la détermination ont été incroyables jusqu'à son dernier souffle. Par ce rappel nous nous devons d'honorer

"Marie" I. Introduction Marie rédigé en 1912 est un poème qui évoque la fin d'un amour : il est inspiré par la rupture de G. Apollinaire avec la jeune peintre Marie Laurencin, qu'il a passionnément aimée. Ce thème de l'amour finissent se retrouve dans d'autre poème comme "Zone", "Le pont Mirabeau". Dans "Marie", le poète mêle aussi des souvenirs d'un amour de jeunesse qu'il a éprouvé pour une autre Marie, rencontrée en Belgique alors qu'il n'avait que 19 ans. Il est intéressant d'observer

passionnel (amoureux -> non dit car plus là!) -> femme = Eunuque ? L’argent comme passion de substitution -> cf. contexte de la Régence -> licence + inconstance ! Un jeu de mots antithétique sur les âges (« jeunesse » VS « vieillesse » qui rappelle celui « amour » VS « passion pour le jeu ») qui exprime l'extrême, l'absolu, mais aussi l'excès. La vision naïve d’Usbek « Elles veulent ruiner leur mari » -> ironie (efficace) de Montesquieu (cf. Lettre sur le pape, sur l’académie…) Reprise de l’opposition « jeunesse »

qu’emploie le poète tels que « amour » (vers 29) « sourire » (vers 67) ou encore « baiser » (vers 71) nous montre que le thème de son poème est l’amour qu’il ressent envers une femme. Beaucoup d’interrogations tels que « Et vivre si tu t’en vas ? » (Vers 4) ou encore « N’être plus que de la nuit ? » (Vers 8) montre que le poète se pose de nombreuses questions dans sa relation avec sa bien aimée. Alors nous pouvons conclure que Victor HUGO exprime dans son poème son amour envers sa compagne mais aussi

inconditionnelle sa mère dont le parfum le rassurait en plus de ses tendres mots qui l’encourageaient (pages35-41-49), sa mère qui était son idole infaillible qui ne mentait jamais, qui avait toujours raison (page33), qui était bonne et qui avait défendu les pauvres gens(page 35). D’autre part, la mère de l’enfant était responsable et s’occupait du mieux quelle pouvait de son fils. Effectivement, en plus de toutes les difficultés quelle vivait pour le bien de son fils, de la recherche de travail

amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Sa passion est telle, qu’elle préfère se laisser mourir que lui avouer son amour. Elle le confie cependant à sa nourrice, Œnone. Peu après, une rumeur circule annonçant la mort de Thésée. La mort du roi entraîne un vide politique qu’il faut combler. Phèdre consulte alors Hippolyte, mais, troublée par sa présence, elle finit par lui avouer son amour. Hippolyte, stupéfait, s’enfuit. Il s’avère, en fait, que Thésée est toujours vivant. Phèdre se trouve dès lors

cela montre le dynamisme de la jeunesse, une évolution de l’homme. Un changement de pronom personnel généralisé, avec le pronom « on » en adhérent le lecteur à sa thèse. Champ lexical du bonheur et de la joie (l 19 à 21) , « fête », « joie », « amour », « passionné » (l 20) utilise le connecteur logique « enfin » qui termine sa démonstration; « Berceau des peuples » à métaphore « Le pur cristal des fontaines » à Périphrase L’opposition de « l’eau » au « feu » qui rappel le caractère primaire

législation Définitions La morale * Ensemble de prescriptions admises en une époque et dans une société déterminée * Effort pour se conforter ces prescriptions, exhortation à les suivre * Basée sur le concept des normes (permis/défendu) * Induit un sentiment d’obligation En résumé, bien et mal, Que dois-je faire, Commande, universelle, impérative L’éthique * Science * Prend pour objet immédiat les jugements d’appréciation sur les actes qualifiés de bons ou de mauvais

faisait comme une double vie dont les contrastes lui donnaient le vertige » . De plus, cette double polarisation de « l'amour » entre celui pour les «filles» et pour « les femmes » semble être soulignée par une seconde opposition entre amour platonique, intellectuel, et amour charnel, plaisir de la chair. D'une part en effet, il éprouve une sincère attirance envers les jeunes demoiselles à l'esprit vif et à la vertu intacte à l'image de Myriam. La rencontre de ce type de femmes est comme une pause, une