Candide
Sébastien
Seconde 3
L’école des femmes (Acte Scène 4)
Réponses aux questions de Français.
1-)
Dans cet acte, on apprend qu’Alain et Georgette ont assommé avec violence Horace au lieu de le battre. Horace demeura sans bouger pendant quelques instants et il entendit parler les auteurs de son agression, après être parties, Agnès s’accourt vers Horace car elle croyait qu’il était mort. Cet épisode est raconté par Horace à son rival Arnolphe. Par la suite, Horace demande a Arnolphe de lui rendre un service, ne doutant pas de son amitié il lui confit Agnès .Arnolphe, « le nez dans son manteau » l’entraine.
Le but de ce passage dramatique est de créer un conflit entre Agnès et Arnolphe.
2-)
Le conflit commence dès qu’Agnès eut reconnue Arnolphe, le conflit dégénère vite et Arnolphe la menace même de l’agresser physiquement.
L’attitude un peux soumise d’Agnès (vers 1568) change radicalement l’humeur d’Arnolphe, il devient tendre avec Agnès.
3-) a-) « Désarme ma colère » « tendresse du cœur » « efface la noirceur » « amen fragile » « faisons la paix » champs lexicaux de l’amour et de la tendresse font recourt aux registres tragique et pathétique. La ponctuation est plutôt interrogative dans les répliques d’Arnolphe car il fait recourt au questionnement. Il utilise souvent la répétition du mot « amour ».
B-) Pour Arnolphe cette situation est tragique car toute l’entreprise mise en place par lui et ses serviteurs na servit a rien, Agnès n’éprouve aucuns amour pour Arnolphe mais beaucoup pour Horace.
4-) il y a un comique de gestes : « Arnolphe fait un soupir » il imite tous les gestes des personnes galantes jusqu’à la caricature. Il utilise aussi un langage précieux « soupir amoureux » « cruelle » « regard mourant »… et un langage familier « ce morveux » « mon pauvre petit bec » ce qui mène au ridicule. Son interrogation à la fin de sa tirade tourne à la caricature « Veux-tu que je m’arrache un coté de cheveux ? ».
4-) b
Molière utilise des procédés