Le sport miroir de notre société
Dans un premier temps, les dérives du sports lors des entrainements seront étudiés et dans un second temps lors des compétitions.
Le sport de compétition se prépare par des entrainements. Frédéric Baillette à travers son essai décrit « l’entrainement comme un temps où l’athlète peut et doit faire ses preuves, montre qu’il est le meilleur ou le plus en forme ». Au contraire Henry Montherlant définit cela comme un effort qui n’aboutit à rien. Frédéric Baillette écrit qu’un entrainement doit se réaliser dans des situations réelles égales à celles où le sportif les trouvera lors de sa future compétition, Henry de Montherlant met en application, car l’athlète s’entraine dans un stade. Le sport suscite de grande passion comme Henry Montherlant l’écrit dans son essai « Vesper », celui-ci décrit l’acharnement d’un athlète qui vise sa réussite. Dans l’essai « A la vie à la mort », l’acharnement et le dépassement de soi sont les maitres mots de Frédéric Baillette lorsqu’il dit « le talent et le don ne suffisent pas. Il faut travailler, travailler encore et encore à l’entrainement. » et lorsqu’il fait référence à la devise de la marque Addidas « Au-delà de toutes ses limites… ». De part ces deux textes, le dépassement de soi et l’acharnement ne sont-ils pas destructeur ? Henry de Montherlant y fait référence lorsqu’il dit « sa beauté qui mourra demain ». En outre, Frédéric Baillette