Cas d entreprise GDF Suez
BTS NRC 1
1. Les deux premières parties prenantes sont les deux entreprises qui ont fusionné le 22 juillet 2008, qui sont Gaz de France et Suez. Ils se sont associés dans leur intérêt pour rapprocher le leader français de la distribution de gaz avec l’un des leaders mondiaux dans les domaines de l’énergie et de l’environnement. Grâce à ce mix énergétique, il y a convergence entre le gaz et l’électricité et ils pourront développer ensemble un autre axe fondé sur de nouvelles capacités de production.
La troisième partie prenante sont les dirigeants de GDF – Suez. Leur finalité est le développement durable en préservant les ressources naturelles, en contribuant à la sécurité d’approvisionnement, à l’indépendance énergétique et à une stabilité de prix.
La quatrième partie prenante sont les salariés qui défendent leurs intérêts et pèsent sur les décisions stratégiques. Par exemple, les employés réclament une augmentation de salaire et une prime de 1500 euros, cela n’a pas été accepté donc cela a conduit à la grève. Sans ces salariés, l’entreprise ne peut plus fonctionner d’où l’importante de cette partie prenante au sein d’une entreprise.
De là découle la cinquième partie prenante qui est la CGT, présente pour défendre les salariés. Par exemple, le syndicat va contester un nombre considérable de suppression de postes ou encore, interpeller l’Etat, qui ici est actionnaire à 36% de GDF Suez. Cela peut également amener à une grève.
La dernière partie prenante de Gaz de France a été jusqu’en 2004 l’actionnaire principal, qui était l’Etat. Mais il s’est désengagé en 2004 en contraignant Gaz de France à devenir une société anonyme.
2. Le problème de gouvernance qui se pose par le projet des dirigeants de GDF Suez, est le versement des stock-options. Les stock-options sont des options d’achats distribuées généralement aux gestionnaires d’une entreprise pour qu’ils aient un intérêt direct à l’accroissement de la valeur de leur