ô Triste Triste était Mon âme Verlaine

savoir que Pierre de Ronsard, le meneur de la Pléiade a fait varier la composition du groupe au cours de sa vie.  Les caractéristiques:  Ce groupe de la Pléiade est un mouvement qui se situe au moment de la Renaissance. L’objectif de la Pléiade était d’enrichir la culture française par la redécouverte de la culture antique, de ses arts et de son savoir. On peut donc voir ici une influence du contexte artistique de l’époque qui est celui de la Renaissance ce qui explique la volonté de redécouverte

Il s'écoule et ne tarit pas. » Guillaume Apollinaire « Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu. » d'Alfred de Musset XIX Romances sans paroles, Paul Verlaine (1874) Ô la rivière dans la rue !   Ô la rivière dans la rue ! Fantastiquement apparue Derrière un mur haut de cinq pieds, Elle roule dans un murmure Son onde opaque et pourtant pure, Par les faubourgs pacifiés.  La chaussée est très large, en sorte

doigts pensent D'une proie entre eux un instant tenue Sauras-tu jamais ce que leur silence Un éclair aura connu d'inconnu Donne-moi tes mains que mon coeur s'y forme S'y taise le monde au moins un moment Donne-moi tes mains que mon âme y dorme Que mon âme y dorme éternellement. Louis Aragon Extrait du "Fou d'Elsa", Édition Gallimard (collection Blanche) Les passantes (poème de Antoine POL) Je veux dédier ce poème A toutes les femmes qu'on aime

douceurs.Recherchez, vains mortels, le tumulte des villes ;Ce qui charme vos yeux aux miens est en horreur :Ce silence imposant, ces lugubres asiles, Voilà ce qui peut plaire au trouble de mon coeur.Arbres, répondez-moi !... Cachez-vous ma Sylvie ? Sylvie, ô ma Sylvie !... Elle ne m'entend pas. Tyrans de ces forêts, me l'auriez-vous ravie ? Hélas ! je cherche en vain la trace de ses pas. Nicolas Gilbert Le Poète Malheureux , 1772., Nicolas-Joseph-Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Paul Verlaine POÈMES SATURNIENS (1867) Table des matières PROLOGUE ..............................................................................5 MELANCHOLIA .......................................................................9 I. – Résignation ............................................................................9 II. – Nevermore ..........................................................................10 III. – Après trois

de pourpre au soleil A point perdu cette vêprée Les plis de sa robe pourprée Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las, las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre Nature Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusque au soir ! Donc si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme

Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine Page 17 & 18 : "L'Ennemi" de Charles Baudelaire Page 19 & 20 : "Le Temps..." d'André Laugier Page 21 à 24 : Biographie des auteurs Préface La poésie est un moyen de faire passé un message, de s‘évader, de rêver. Elle peut nous faire

nous parlerons de Verlaine avec son poème « Rêve familier » tiré de « Poèmes saturniens » publié en 1866. Ce sonnet est caractéristique de la poésie lyrique et emblématique du symbolisme. Ensuite, nous avons un poème de Maurice Rollinat « la bibliothèque » tiré de « les Névroses » et publié en 1883. Antérieur à  « Sagesse » le poème « Kaléidoscope », composé en prison, date d’octobre 1873 et abolit la frontière entre le rêveur et le rêve. « Kaléidoscope » de Verlaine tiré de Jadis et Naguère

1918 à Paris. À la Santé I Avant d’entrer dans ma cellule Il a fallu me mettre nu Et quelle voix sinistre ulule Guillaume qu’es-tu devenu Le Lazare entrant dans la tombe Au lieu d’en sortir comme il fit Adieu adieu chantante ronde Ô mes années ô jeunes filles II Non je ne me sens plus là Moi-même Je suis le quinze de la Onzième Le soleil filtre à travers Les vitres Ses rayons font sur mes vers Les pitres Et dansent sur le papier J’écoute Quelqu’un qui frappe du pied

selon une structure en miroir où l’eau est le miroir de l’homme, le reflet de son cœur, de son esprit et de son âme. Cette structure permet par le biais de la poésie de rendre compte de l’ambiguïté des sentiments humains et de leur violence.Océano Nox, de Victor Hugo, écrit en octosyllabes, est vraiment éloquent : il y a tout d’abord une personnification de l’ouragan ainsi que des flots (« O flots, que vous savez de lugubres histoires !» ou encore « L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages »),