ô Prison Douce

est considéré comme un des plus grands écrivains de la littérature française mais également comme un homme instable mentalement, tant par ses excès de violence envers sa femme à laquelle il blessa même le poignet ce qui lui vaudra plusieurs mois de prisons, sa mère , qu'il essaya d'étrangler, mais également par sa relation homosexuel avec un autre grand nom de la poésie française, Arthur Rimbaud, l'homosexualité étant très mal vue à cette époque. Parmi ses plus grandes œuvres, on dénombre Poème Saturniens

œuvre L'œuvre que j'ai choisi se nomme : Ô prison douce, où captif je demeure, écrite par du Bellay.  Ce sonnet est à la fois conventionnel dans l'utilisation du thème de la prison d'amour et original dans l'expression de la joie amoureuse. Il évoque ainsi la beauté de la prison J'ai choisi ce sonnet car du Bellay nous décrit sa vision de la prison où il est captif comme une demeure chaleureuse et en fait un lieu convivial, mais cette prison est la prison du cœur où se trouve l'amour pour sa femme

œuvre L'œuvre que j'ai choisi se nomme : Ô prison douce, où captif je demeure, écrite par du Bellay. Ce sonnet est à la fois conventionnel dans l'utilisation du thème de la prison d'amour et original dans l'expression de la joie amoureuse. Il évoque ainsi la beauté de la prison J'ai choisi ce sonnet car du Bellay nous décrit sa vision de la prison où il est captif comme une demeure chaleureuse et en fait un lieu convivial, mais cette prison est la prison du cœur où se trouve l'amour pour sa femme

luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. - Les soleils couchants

du mariage : c'est Rosine, la Comtesse Almaviva, épouse infortunée, qui se rendra à ce rendez-vous sous les vêtements de Suzanne] FIGARO, seul, se promenant dans l'obscurité, dit du ton le plus sombre : 10 20 30 40 50 60 70 O femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante !... Nul animal créé ne peut manquer à son instinct ; le tien est-il donc de tromper ?... Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse ; à l'instant qu'elle me donne

venaient tenter de régler son divorce. En juillet 1873, l'aventure tourna au drame : à Bruxelles Verlaine, qui avait bu, tira deux coups de revolver sur Rimbaud et le blessa légèrement. Il fut condamné à deux ans de prison et subit sa peine à Bruxelles d'abord, puis à Mons. En prison, il termina : ____________________________________________________________ _____________________ “Romances sans paroles” (1874) Recueil de poèmes ---------------------------------------------------------

savais combien je t'aime, combien tu es nécessaire à ma vie, tu n'oserais pas t'absenter un seul moment, tu resterais toujours auprès de moi, ton coeur contre mon coeur, ton âme contre mon âme. Victor Hugo Ouvrir une école, c’est fermer une prison. Le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo Les mots manquent aux émotions. Notre-Dame de Paris de Victor Hugo L'homme qui a écrit ce mot sur ce mur s'est effacé, il y a plusieurs siècles du milieu des générations, le mot s'est

punition : « pleurent », «frissonnent », « malheureux », «réprimande », « terreur », «martyre », «sanglotant ». Finalement l’auteur prend la défense de ses enfants et critiquent plutôt leur mère en les faisant passer pour des ingrates ou des mauvaises mères («Ô mères coupables absentes »). C’est comme si le fait qu’il ne soient pas bien à l’école soit à cause de leur mère. On a l’impression qu’il essaye de convaincre les enfants de ne plus les aimer comme il se doit d’être en un enfant et sa mère mais au contraire

dernier gîte Je te reviens, ô paroisse natale. Patrie intime où mon coeur est resté ; Avant d’entrer dans la nuit glaciale, Je viens frapper à ton seuil enchanté. Pays d’amour, en vain j’ai fait la route Pour saluer encore ton ciel bleu, Mon oeil se mouille et ma chair tremble toute, Je viens te dire un éternel adieu. Oh ! couchez-moi dans la tombe bénite, Dans un recoin discret du vieil enclos. Ici, je viens chercher mon dernier gîte, Je viens ici chercher calme et repos. Ô terre sainte ! ouvre-moi

Mère des arts et des heureux travaux, Nous apporter, de sa source féconde, Et des besoins et des plaisirs nouveaux. L’or de la terre et les trésors de l’onde, Leurs habitants et les peuples de l’air,  Tout sert au luxe, aux plaisirs de ce monde. O le bon temps que ce siècle de fer! Le superflu, chose très nécessaire, A réuni l’un et l’autre hémisphère. Voyez-vous pas ces agiles vaisseaux Qui, du Texel, de Londres, de Bordeaux, S’en vont chercher, par un heureux échange, De nouveaux biens