ô Prison Douce

sur mon page, en ma prison muette : L'épouvante, les morts dans les fleurs de violette, La mort avec ses coqs! Ses fantômes d'amants! Sur ses pieds de velours passe un garde qui rôde. Repose en mes yeux creux le souvenir de toi. Il se peut qu'on s'évade en passant par le toit. On dit que la Guyane est une terre chaude. Ô la douceur du bagne impossible et lointain! Ô le ciel de la Belle, ô la mer et les palmes, Les matins transparents, les soirs fous, les nuits calmes, Ô les cheveux tondus

p1-2 16eme siècle -tableau «  liberté » d’Alain Gaudin p3 -poème « J'aime la liberté, et languis en service » de Joachim Du Bellay p4 -tableau « Vue de la cellule du baron de Besenval à la prison du hâtelet » de Hubert Robert p5 -poème « Douce Liberté désirée » de Philippe Desportes p6 19eme siècle -peinture « liberté » artiste inconnu p7 -poème « liberté ! » de Victor Hugo p8 -peinture «la liberté guidant le peuple » de Eugène Delacroix

COELIO il me manque le repos, la douce insouciance qui fait de la vie un miroir où tous les objets se peignent un instant et sur lequel tout glisse. Une dette pour moi est un remords. L'amour, dont vous autres vous faites un passe-temps, trouble ma vie entière. O mon ami, tu ignoreras toujours ce que c'est qu'aimer comme moi ! Mon cabinet d'étude est désert ; depuis un mois j'erre autour de cette maison la nuit et le jour. Quel charme j'éprouve, au lever de la lune, à conduire sous ces petits

Ô toi d'où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d'où me vient mon bonheur ! Quand je traverse cette lieue Qui nous sépare, au sein des nuits, Ta patrie étoilée et bleue Rayonne à mes yeux éblouis. C'est l'heure où cent lampes en flammes Brillent aux célestes plafonds ; L'heure où les astres et les âmes Échangent des regards profonds. Je sonde alors ta destinée, Je songe à toi, qui viens des cieux, A toi, grande âme emprisonnée

guerre est douce, mais "qu'un douteux combat" lui enlève celle-ci, la guerre est aussi pour lui un symbole d'espoir, perdu puis régénéré: "Perde son espérance, et puis la renouvelle". Aubigné poursuit sur la défaite de l'un des deux camps, et parle du soldat qui demande la pitié de l'ennemi, avant de poursuivre sur des remerciements adressés sûrement à Diane, cette déesse à qui il dédie son recueil. Le soldat est "porté à terre" mais ne peut pas comprendre que la guerre soit cruelle: "et ta douce beauté

exception consacrée et à déterminer A. La définition de cette exception consacrée de manière jurisprudentielle et sa distinction indispensable B. La détermination de la loi pénale plus douce II. Le domaine d'application du principe de rétroactivité in mitius A. L'étendue de l'application de la loi pénale plus douce B. Les limites de cette exception Résumé de l'exposé L'article 112-1 du code pénal dispose : « sont seuls punissables les faits constitutifs d'une infraction à la date à laquelle ils

Extrait Des Poèmes Du Cours Familier De Littérature Par Lamartine MOI Quel fardeau te pèse, ô mon âme ! Sur ce vieux lit des jours par l'ennui retourné, Comme un fruit de douleurs qui pèse aux flancs de femme Impatient de naître et pleurant d'être né ? La nuit tombe, ô mon âme ! un peu de veille encore ! Ce coucher d'un soleil est d'un autre l'aurore. Vois comme avec tes sens s'écroule ta prison ! Vois comme aux premiers vents de la précoce automne Sur les bords de l'étang où le roseau

aux roses, Être enfin un bonhomme acceptant le bon Dieu. Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu ! On sent un souffle d’air vivant qui vous pénètre, Et l’ouverture au loin d’une blanche fenêtre ; On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ; On a le doux bonheur d’être avec les oiseaux Et de voir, sous l’abri des branches printanières, Ces messieurs faire avec ces dames des manières. Lexique : Zéphyre : Brise douce et agréable. Azur : Couleur bleue du ciel. Aurore : Lueur qui précède le lever du soleil

régulièrement constitué et conformément aux règles du procès équitable. Elle est prévue par le code pénal de l’Etat qui l’applique. b) Evolution au cours du temps II- a) le droit de l’Etat face à la vie b) l’exemplarité de la peine c) les prisons et la réintegration sociale des anciens condamnés III- La lutte moderne pour l’abolition Définition : La peine de mort (ou peine capitale) est une sentence appliquée par le pouvoir judiciaire consistant à retirer légalement la vie à une personne

titre "à Diane" montre que cette hécatombe est un sacrifice à cette déesse, c'est un sacrifice de poèmes. Ce poème, "Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle", raconte la guerre vécue par un soldat, en commencant par montrer que la guerre est douce, mais "qu'un douteux combat" lui enlève celle-ci, la guerre est aussi pour lui un symbole d'espoir, perdu puis régénéré: "Perde son espérance, et puis la renouvelle". Aubigné poursuit sur la défaite de l'un des deux camps, et parle du soldat qui demande