éloge Paradoxal Objet

mystique de Don Juan, conversion sans dogme et sans religion. La constellation métaphorique de la naissance (dernière scène) insiste sur l’innocence, sur l’esprit nouveau du personnage qui commence sa nouvelle vie. Don Juan n’est plus alors un simple objet de désir ou de haine, deux faces intimement mêlées, mais un sujet responsable. Il ne sent plus le soufre, il n’est pas non plus un « saint » (ne serait-ce que par son passé !) et ne sent pas « le cierge éteint », comme le dit un sarcasme de la

(Lettre à Christophe de Beaumont). Les livres IV et V prennent acte du développement de la sensibilité active, qui marque la naissance des passions chez l'adolescent, et ils exposent l'éducation positive qui fixera ces passions sur les meilleurs objets avant d'introduire Emile dans la société. L'efficacité de cette éducation est-elle bien attestée, pour Rousseau lui-même ? Le jeune homme épousera bien Sophie, qui lui est destinée, mais les époux connaîtront tous les malheurs de leur époque dans

Parallélisme : « qu'on lui arrachât la langue, qu'on lui coupât la main » Anaphore « combien de chansons » « combien de processions » Plaisir/Cruauté et douleur Déshumanisation des victimes : réification : plus vu comme une semblable, assimilés à un objet > gradation Mais mélio du Chevalier de la Barre : « petit fils d'un lieutenant général des armées » « beaucoup d'esprit » c. La France toute entière bourreau. Ironie «  le grave magistrat » ; « comédie des Plaideurs : cela fait toujours passer une

visée reste le succès ou l’efficacité, c’est-à-dire l’atteinte des objectifs de l’organisation. L’exigence du pouvoir est grande et il existe une répartition hiérarchisée des rôles et des fonctions au sein du système. Les relations sont de sujet à objet et la conviction (l’adhésion, dira-t-on) s’obtient par influence, séduction, emprise, persuasion/dissuasion ou récompense/punition. L’environnement ou le champ d’action est objectivé et l’action des partenaires est limitée à leur valeur de moyens

parvenir. Le bruit est un jaillissement d’informations dépourvu de sens. Il y a un risque d’erreurs dans la transmission d’informations lors de la réception. L’explication est une tâche extrêmement difficile. On l’utilise dans l’objectif de connaître un objet, tous les moyens recensables (logiquement et empiriquement) en procédant par déduction ou induction. Elle permet de connaître un fait humain (sujet) en tant qu’objet. La compréhension est l’introduction de la dimension subjective dans la connaissance

« Que diantre ! qu'est-ce que cette maison-là et moi avons affaire ensemble ? Qu'est-ce que c'est que vous ? Que me voulez-vous ? Où allons-nous ? » La première étrangeté à laquelle nous nous retrouvons confrontés est le caractère, extrêmement paradoxal, ambigu du rapport à la loi dans lequel s'inscrivent l'action et les personnages. En effet dans ce « palais à volonté », où la cour comme le village obéissent à un seul maître, le Prince, celui-ci obéit lui-même à des lois, dont la première (il ne

the city. Keys-words : urban public space, body, walk, pedestrian, perception 1 halshs-00388489, version 1 - 26 May 2009 Après avoir largement occupé la littérature du début du XXième siècle1 , le thème de la marche émerge à nouveau comme objet de recherche. En France et en Europe aujourd’hui, différents champs disciplinaires l’abordent en effet de front et dessinent ensemble les contours d’une véritable pensée de la mobilité (Kaplan et Laffont, 2004). Pourquoi ? Parce que la ville mute,

historique et politique .................................................................................. 35 3) Critiques ........................................................................................................................ 35 a) Eloge de la mémoire contre le pacte de l’oubli : allusion aux disparitions en Argentine ? ........................................................................................................................................... 38 Conclusion ......

pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses. Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778) mène une vie de vagabondage avant d'arriver à Paris. Il croit plus en la bonté naturelle de l'homme qu'aux progrès de la civilisation. Il exprime ces idées paradoxales dans le Discours sur l'origine de l'inégalité et dans Le Contrat social. Premier autobiographe, il raconte sa vie dans les Confessions et dans les Rêveries du Promeneur solitaire. On ne peut non plus oublier d'autres auteurs moins connus qui oeuvrèrent

vue. 7. Conclusion    Cet extrait de La Princesse de Clèves met en scène une rencontre entre deux héros parfaits qui vont être saisis de passion l'un pour l'autre. Cette passion est décrite avec minutie dans ses tous premiers moments et elle est un objet d'analyse qui révèle toute une société. ZONE Zone est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire. Ce poème au cycle de Marie (en référence à Marie Laurencin, peintre, rencontrée par Guillaume Apollinaire en 1907)