éloge Des Lumieres

couleurs présentes sont des nuances de blanc renvoyant a la lumière. → Champ lexical de l'immobilité/du sommeil/ et du calme : « dort » « est étendu » « il dort » « il fait un somme » « berce -le » « ne font pas frissonner sa narine » Il ne respire plus !! → Oxymore + métaphore : « des haillons/D'argent » : décrit les projections d'embruns sur les herbes proches de la rivière, goutte d'eau où s'accroche la lumière su soleil = lambeaux de lumière. → les deux quatrains se terminent donc par des notations

I - Un éloge des tahitiens : 1. L'innocence des tahitiens : Dès le début du texte, le philosophe s'exprime à travers le vieux Tahitien et dénonce l'innocence du peuple tahitien lorsqu'il leur dit "Pleurez; mais que ce soit de l'arrivée, et non du départ de ces hommes ambitieux et méchants". La crédulité de ce peuple est une nouvelle fois mise en cause du fait qu'ils n'aient point hésiter à partager leurs filles et leurs femmes avec des étrangers dont ils ignorent les intentions.

quatrin = le décors = cadre spatiotemporel + du chiffoniers ( attention dire les ligne ) mouvement 2 : vers 13 a 24 ou les 3 autres quatrins présente la vie réelle et imaginaire du chiffonier mouvement 3 : vers 25 a la fin ou les 2 derniers quatrin = éloge du vin Adv de temps = de fréquence qui inique que baudelaire décrit une scène inhabituel cadre spationtemporel : vers 3 : faubourg = banlieu de paris = CC de lieu : d'emblée nous sommes dans les quartiers populaire et pauvre de paris

Diderot (18ème siècle). Dans cet extrait, Diderot expose sa vision de la beauté picturale. Il fait l’éloge du tableau « L’accordée de village ». Le texte suit le mouvement suivant : premier paragraphe : éloge général du tableau ; deuxième paragraphe : description du tableau ; troisième paragraphe : éloge du peintre. Comment ce texte révèle les goûts esthétiques de Diderot ? Comment évoquer la beauté picturale ? Comment un seul tableau reflète les goûts esthétiques d’un auteur ou encore d’une époque 

toute la bonne foi (l.33), admirablement (l.36) » en abondance et réparti dans l’ensemble du texte.  Rôle  des  superlatifs :  « Le  plus  simple  (l.6),  un  des  plus  puissants  (l.15),  meilleur  (l.38),  le  plus beau (l.39), la meilleure (l.40) » = éloge outrancier.  Equilibre de la famille du conte = harmonie (Père / Mère / Fils / Fille)  Enfin, elle appartient à la noblesse.  Transition :  Ce  texte  emprunte  donc  au  conte  traditionnel  par  certains  aspects,  mais  il  en  est  aussi  une 

l'intensité . Le futur montre cette volonté de vivre « fecerimus» ( lorsque nous auront fait), conturbabimus (interessons nous) (goûterons). Dans les deux poèmes: éloge de la vie par les mêmes procédés : métaphores filées : Deux phrases chez Catulle et dans la 2ème strophe chez Du Bellay. «Soles, lux,jour, douce lumière » Vie : lumière « Nox, dormienda,occidit Nuit : mort s'éteint,dormir,la mort » Celles-ci sont basées sur des antithèses. Champ lexical de la progression et répétition

L'ombre ( l'ombrelle) et la lumière ( Midi connote le zénith du Soleil), des projecteurs naturels, mettent en scène la jeune femme qui joue son rôle d'actrice «  elle déployait et hissait » elle se déplace et se mouvoit. Notre narrateur est spectateur de la scène. Ce n'est pas seulement au théâtre que le lecteur se plonge mais aussi dans l'impressionnisme de Claude Monet avec sa « femme à l'ombrelle », un impressionnisme mis en place par le jeu d'ombre et de lumière. Le théâtre et l'impression picturale

désordreTu vas le libérer ParisParis tremblant comme une étoileNotre espoir survivantTu vas te libérer de la fatigue et la boueFrères ayons du courageNous qui ne sommes pas casquésNi bottés ni gantés ni bien élévesUn rayon s'allume en nos vienesNotre lumière nous revientLes meilleurs d'entre nous sont morts pour nousEt voici que leur sang retrouve notre coeurEt c'est de nouveau le matin un matin de ParisLa pointe de la déliveranceL'espace du printemps naissantLa force idiote a le dessousCec esclaves nos

 Le Mondain Voltaire, 1736 Date : 1736 Mouvement : lumières Registre : polémique, ironique -Poème qui remet en cause les croyances, valeurs religieuses -Il trace le portrait de son époque (âge de fer) = âge des plaisirs + luxe = Le Mondain → hymne à

Denis Diderot (1713-1784), Autorité Politique (1751) | Objet d'étude | L'argumentation : convaincre / persuader / délibérer | Auteur | Nom | Denis Diderot (1713-1784) (XVIIIè) | Biographie | Écrivain, philosophe des Lumières et encyclopédiste français | Bibliographie | Romans, contes, théâtre, encyclopédie, critique d'art, correspondance, traduction. | Œuvre | Titre | Autorité Politique | Recueil | L'Encyclopédie (1751-1772) |