éloge De La Sincérité

choisit un sujet qui nous convient Horace part du principe qu’il y a aura abondance et non une limite, peu convaincant… Puis Horace reprend des éléments de la rhétorique…  Il faut être convaincu, pris par ce que l’on dit : c’est le besoin de sincérité Doit-on vraiment parler de soi pour créer ? Horace part de cette affirmation. ATTENTION il n’est pas question d’autobiographie, seulement de présence de l’auteur dans l’œuvre (se référer au débat entre Proust et Sainte-Beuve. Sainte-Beuve part

réflexion s’est concentrée sur l’art oratoire et ses techniques. La rhétorique est pour lui un moyen de construire une certaine vision de la réalité en agissant sur les émotions des auditeurs. C’est une façon de « droguer l’âme et l’ensorceler » (Eloge d’Hélène § 14), une arme qui donne de la « force » au discours, quel qu’il soit. En ce sens, Gorgias est plus un technicien qu’un idéologue. On ne voit pas bien ce qu’il peut penser exactement de la rhétorique (p. 158), puisqu’il ne s’interroge guère

entre tradition et nouveauté 11 Une comédie du siècle des Lumières 18 Un éloge du théâtre : le jeu au service de la sincérité 23 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 Le Jeu de l’amour et du hasard Acte premier 39 Acte II 61 Acte III 86 ■ Dossier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 Avez-vous bien lu ? 108 Microlectures 110 Le discours amoureux : les obstacles à la sincérité 115 Meta-systems - 28-06-12 17:44:14 FL1487 U000 - Oasys 19.00x - Page

à l’époque, alors que le matricide est considéré comme très grave. -          Il fait tout cela pour obtenir la peine maximale -            2)      L’éloge de la victime   -          Au lieu d’essayer de noircir sa victime, il en fait un éloge Idéalisation de Mme de Rênal   3)      La sentence de mort   -          Il revendique son indépendance, son ambition Il retire le masque social ð Discours révélateur du personnage : il veut mourir dignement, avec tout son orgueil ð

tous les codes de la galanterie : « pour moi, je n’ai pas d’incertitude, mais comme madame de Clèves n’a pas les mêmes raisons pour deviner qui je suis que j’ai pour la reconnaître » : il fait de l’aveu de la vérité une galanterie dissimulée et un éloge de la beauté de la Princesse. Au contraire, la narratrice souligne que la jeune femme est « embarrassée » et nous la montre en flagrant délit de mensonge : « je ne devine pas si bien que vous pensez » s’oppose à « qu’elle crut d’abord ne pouvoir être

la sincérité poétique, celle-là même que le pauvre Lélian vise avec ses « Ariettes oubliées », ses « Paysages belges » ou ses « Aquarelles » : « Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches/ Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous ». Sartre rappelle qu’un poète est un homme qui refuse d’utiliser le langage, c’est-à-dire de le considérer comme l’instrument d’une signification. En cherchant « de la musique avant toute chose », Verlaine, sur les bases mêmes de la sincérité lamartinienne

symbolique car, selon les Déliens, cela coïncide avec le jour de naissance d’Apollon. Il y a là un nouvel élément de mystification de la personne qu’est Platon. L’historien rapporte ce fait sans ambages, ce qui me permet de souligner un certain manque de sincérité je dirai, j’explique ce propos : Diogène ne cesse de rapporter uniquement des propos et là, on aperçoit une lueur infime de distance, d’éloignement avec ce qui est énoncé. Il ne semble pas croire ce fait mais il faut se rappeler qu’il était assez

cette scène d’exposition, on apprend qu’Élise est amoureuse et liée à Valère, un gentilhomme napolitain à qui elle est reconnaissante de lui avoir sauvé la vie lors d’un naufrage. Élise doute de la continuité de l’amour de Valère. Il proteste de la sincérité de son amour. Il s’est introduit chez Harpagon en qualité d’intendant pour arriver à ses fins. L’obstacle est Harpagon et « l’excès de son avarice » l’oblige selon lui a faire le flatteur. Le projet des amants est de faire du frère, Cléante, un allié

d’aimer. Une comédie de l’illusion Parmi ses comédies,l’Illusion comique (1636) est la plus originale. Elle garde ce climat de jeunesse, avec quelques personnages aux amours brouillonnes, mais elle est surtout marquante par sa construction et par son éloge du théâtre. Sa construction imbrique le plan de la réalité et le plan du spectacle, car le personnage du père, qui cherche à connaître le sort de son fils disparu, croit voir une action réelle et suit en réalité, guidé par un magicien, les répétitions

souvenir rappelle seulement un monde révolu car l’espace est devenu trop étroit pour celui-ci. C’est d’ailleurs pour chamoiseau une des fonctions même de l’écrivain qu’avec Confiant et bernabé entre autres ils définissent dans le manifeste intitulé « éloge de la créolité ». L’écrivain doit être d’après eux un « renifleur d’existence » il doit ici décrire et saisir le monde du negrillon. Le narrateur « d’antan d’enfance » analyse son « moi » de l’intérieur (introspection) comme de l’extérieur. Il cherche