égalité Riche Ou Pauvre

réserves, et ces mêmes réserves donnent du temps pour faire d’autres activités. La sédentarisation amène des objets X. Cela crée un village (une communauté), qui nomme un lieu et s’installe. Cette communauté diffère maintenant des autres. Plus tu es riche, plus la véracité de tes propos est vraie selon les autres. Plus tes terres sont vastes, plus tu vas durer. Les empires agrandissent leurs terres pour durer, mais ils finissent tous par s’éteindre. À UN MOMENT DONNÉ ARRIVENT LES SURPLUS; IL N’Y A

bonheur de l'Homme qui nécéssite le progrès par la lutte contre le fanatisme et l'ignorance mais surtout ils veulent effacer les discriminations et les inégalités, accepter les humains et leur différence tel qu'ils sont, homme, femme, enfant, riches et pauvres, blancs et noirs, tous sont égaux devant la loi. Dans Le contrat social, Rousseau suggère que les Hommes sont libres et demeurent égaux en droit. Les lumières incitent le peuple à s'émanciper et affirment le droit à la liberté d'expression. L'esclavage

la société industrielle. Mais à partir de 29, les économies planifiées semblaient plus efficaces que les économies de marché, mais le keynésianisme a refait penché la balance en faveur du second dans les pays développés. En 1975 pourtant les pays pauvres ont préféré l’économie planifiée car le commerce international favorise ceux qui sont déjà riches. Le protectionnisme semble une meilleure solution. [Trois leçons sur la société post-industrielle] [Daniel Cohen, 2006] 3 La première mondialisation

comprendre ces actes et expliquer des phénomènes collectifs comme la démocratie. B) L’idéal démocratique 1) « Liberté égalité fraternité » égalité des chances. Les sociétés modernes au sens de Tocqueville sont caractérisées par le processus d'égalisation des conditions c'est-à-dire marquées par une égalisation des droits individuels, une égalité des chances d'accès aux positions sociales et une plus grande mobilité sociale. Les sociétés démocratiques ne sont plus stratifiées par

Vincent Rosso 812 Liberté et Egalité en France 1789­1815 De très bonnes choses dans l’introduction quant aux définitions et aux axes majeurs qu’implique l’étude de la période. IL faudrait  toutefois  élaguer  le  propos  de  considérations  inutiles  ou  anticipées  (vous  verrez  mes  commentaires  internes).  La  période  est  envisagée  d’une  façon  qui  demanderait  à  être  un  peu  décalée.  En  effet  vous  semblez  vouloir  vous  lancer  dans  une  sorte  de  comparaison  entre  les  différents 

différence entre la conception conventionnaliste de la justice et la conception platonicienne de la justice. Comme mentionné plus tôt, la justice a été et est toujours l’un des concepts les plus étudiés en philosophie. Selon certains, il y aurait une égalité naturelle (tous les hommes naissent égaux) et d’autres croient qu’il n’y aurait pas de justice dans la nature (exemple chat et souris), la justice serait seulement une convention créer par l’homme. Cette dernière vision est la conception conventionnaliste

le registre des citoyens  La division des citoyens en quatre classes censitaires (d'après la fortune, donc des plus riches aux plus pauvres). Seuls les deux premières classes ont accès aux magistratures, mais tous peuvent participer à l'ecclésia et au tribunal de l'héliée. En 508, Clisthène complète les réformes de Solon, en instaurant le principe d'isonomie (égalité, identité). Il supprime les classes; tous les citoyens ont les mêmes droits y compris d'être magistrat. Les institutions de Clisthène

Alexis de Tocqueville dans son œuvre intitulé « De la démocratie en Amérique » [1835-1840] à travers son analyse des progrès de l'égalité .Alexis de Tocqueville distingue trois types d’égalité : 1. Egalité sociale Selon Alexis De Tocqueville, ce type d’égalité est le plus complexe car cette égalité sociale ne se réalise que lorsqu’ il n y a plus de positions héréditaires dans la société. Cela signifie que chaque individu peut atteindre n’importe quelle position hiérarchique, professionnelle,

son implication dans des débats de société a. Dans la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, on constate qu'O. de Gouges prend la défense de toutes les minorités de son époque. Son soutien va d'abord aux femmes, qu'elles soient pauvres ou riches. Elle critique notamment le fait que celles-ci n'ont pas accès aux mêmes droits que les hommes; elle déplore ainsi leur impossibilité d'exercer un emploi public (Article VI), alors même qu'elles ont « part à toutes les corvées, à toutes

octobre 1999 Note sur les différentes approches de la pauvreté Lutter contre la pauvreté implique de mesurer le phénomène et d’en analyser les causes, pour proposer les politiques adéquates. Mesurer la pauvreté signifie définir la population des pauvres et l’intensité de leur pauvreté. Or, comment définir la pauvreté, la mesurer et la traiter. Dans tous ces domaines, malgré des avancées récentes, nombre de faiblesses conceptuelles demeurent. Il n’existe pas une définition unique de la pauvreté. Plusieurs