égalité Marx

industrielle est souvent d'obédience marxiste dans les pays occidentaux. En effet, le mouvement ouvrier, alors puissamment épaulé par des syndicats et des partis politiques, repose sur la croyance selon laquelle le conflit est le moteur de l'histoire (K. Marx). L'action collective est la condition du changement social et ce changement est connoté positivement : il signifie le progrès ainsi que nous venons de le définir. Les nouveaux mouvements sociaux sont les acteurs principaux de l'action collective

UNIVERSITÉ PARIS I – PANTHÉON-SORBONNE 1ère année de Sciences Économiques (L1) Théories économiques 1 : Valeur et répartition (Division III) Cours de Mme Ai-Thu DANG Le cours comprend trois parties : - Partie I : Les Classiques - Partie II : K. Marx ou la critique de l’économie politique et du capitalisme - Partie III : La « révolution marginaliste » ou la théorie néoclassique de l’équilibre des marchés et de l’allocation des ressources rares Avant l’arrêt des cours suite à la situation au

I - Qui sont-ils ? : a - une génération intensément exposée aux nouvelles technologies : - elle est née, a grandi avec ces technologies (doc. 1, 2 et 3) - elle manifeste du dédain pour la TV au profit du web (doc. 2) ; elle pratique le téléphone mobile (doc. 4) - l'univers virtuel fait partie de son quotidien (doc.1, 3). b - de nouvelles formes de communication - cette génération pratique assidument les réseaux sociaux (doc. 1, 3) ; - elle a un usage compulsif du chat en ligne (doc.

Cantillon, Smith, Bentham, Say 1.1.2. Une économie sans entrepreneurs ni progrès technique : L. Walras 1.1.3. L’entrepreneur, le manager et l’actionnaire : A. Marshall 1.2. L’entrepreneur et l’esprit du capitalisme 1.2.1. La puissance du capital… isme : K. Marx 1.2.2. La rationalité et le calcul : Weber et Sombart 1.2.3. La dynamique de l’entrepreneur/capitalisme : J.A. Schumpeter 2. PENSEES CONTEMPORAINES : L’ENTREPRENEUR SAUVEUR DU CAPITALISME 2.1. L’incertitude, le risque et l’information 2.1.1. Incertitude

qui, comme le centre de gravité, est censé être un point de référence indispensable pour comprendre un certain nombre de phénomènes. Pour ne parler que des deux économistes qui le plus contribué à élaborer la théorie de la valeur (D. Ricardo et K. Marx), celle-ci est censée tout à la fois expliquer les oscillations des prix sur le moyen terme, leurs niveaux de long terme (ce qui n'est pas la même chose) ; elle est également censée fonder la théorie de la répartition entre salaires, profits et rente

hiérarchie. Même s’il n’y a plus d’ordres, on retrouve cette caractéristique qui pousse l’individu à se détacher de la masse et de défendre ses intérêts personnels bien que les fondements de la république nés de la révolution française prônent une égalité entre tous les individus.

sociologie Le déterminisme est un principe selon lequel les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ce concept implique que l’on puisse dégager des lois, c’est-à-dire des relations constantes et récurrentes entre deux objets. Les sociologies de Karl Marx (1818-1883) ou D’Emile Durkheim (1858-1917) ont pu être qualifiées de déterministe, puisque l’un et l’autre mettent en évidence le poids de déterminants collectifs plus fort que les volontés individuelles. Pour Durkheim, le fait social s'impose

Karl MARX (1818 - 1883) Karl Heinrich MARX est né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie. Il est issu d’une famille juive convertie au protestantisme pour que son père puisse exercer sa profession d’avocat. En 1830 il rentre au lycée de Trèves puis à l’université de Bonn en 1835. Il étudiera successivement le droit en 1835 puis l’histoire et la philosophie à Berlin en 1836. Il termine ses études en 1841 en obtenant un doctorat après avoir présenté une thèse s’intitulant « Différence de philosophie

BTS BLANC D'AVRIL 2012FRANCAIS SECTION EEC / FEE CORPUS M. CAILLAT, Sport et civilisation : histoire et critique d'un phénomène social de masse. Collection L'Harmattan, Paris 1996 J-M BROHM, La Tyrannie sportive : théorie critique d'un opium du peuple, Paris 2006 Pierre de Coubertin, "Les assises philosophiques de l'olympisme moderne", extrait de message radiodiffusé de Berlin le 4 Août 1935 "Nuit de fête sur les champs-Elysées" : l'équipe de France

Karl Marx La critique de la religion Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : L'homme fait la religion, ce n'est pas la religion qui fait l'homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l'homme qui, ou bien ne s'est pas encore trouvé, ou bien s'est déjà reperdu. mais l'homme n'est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L'homme, c'est le monde de l'homme, l'Etat, la société. Cet Etat, cette société produisent la religion, une conscience erronée