égalité Fille Et Garçons

Egalité hommes et femmes Depuis la constitution française de 1958 qui garantit l’égalité des droits entre l’homme et la femme, le législateur en 1999, a voulu introduire la parité politique c'est-à-dire qu’il doit y avoir un nombre identique d’hommes et de femmes sur les listes électorales. Peut-on vraiment dire qu’il y a une égalité entre les hommes et les femmes dans des sociétés démocratiques ? Dans un premier temps on verra les inégalités qui se sont réduite et leurs solutions, mais

Cas pratique : dévolution ab intestat Cas pratique n°1 Une grand-mère avait perdu son fils ainsi que son père, qui était veuf. Celle-ci avait un frère qui est également décédé mais celui-ci n’est pas sans postérité, il avait une fille qui est elle-même maman d’un enfant. La succession de son père s’élève au montant net de 220 000€. Qu’elle est la part de la requérante dans la succession de son père ? I) Les cas d’ouverture à la succession ? Il existe trois cas d’ouverture pour une succession : la

RESUME – LE DEUXIEME SEXE SIMONE DE BEAUVOIR (1949) Le Deuxième Sexe est un essai écrit par Simone de Beauvoir sur la condition des femmes. Il se divise en deux tomes. Il est précédé d’une note indiquant que la situation qu’elle décrit, quand elle mentionne le mot « aujourd’hui », est celle de la parution du livre (1949). Tome 1 Introduction Beauvoir constate que les êtres humains sont divisés en deux catégories : l’homme et la femme. Elle pose une première différence fondamentale en affirmant

celle-ci plus particulièrement, puisque je la vis quotidiennement. Je l’ai vécue étant petite, je la vis encore aujourd’hui, à chaque “souris”, “croise les jambes”, “ne ris pas trop fort”, “ne dis pas de gros mots, c’est moche dans la bouche d’une fille !”. Aujourd’hui, toute femme qui se tient les cuisses ouvertes, qui gueule des obscénités et tire la tronche est une honte à la femme. Cette théorie primitive et patriarcale aboutit à un : ”Sois belle et tais-toi” ou “Sois moche et on t’écoutera éventuellement

situation est bien différente de cette égalité affichée. Plan détaillé Dans l’enfance • Les petits garçons et les petites filles ne jouent pas aux mêmes jeux : pour les filles, poupées, dînettes, vêtements, maquillage, pour les garçons, constructions, jeux de ballons… • Comportements parfois différents des parents : ils traitent leur garçon de fille quand il pleure. ہ l’adolescence • Les parents sont souvent plus permissifs avec les garçons qui, parfois, peuvent ne pas ranger leur

qui on veut, quand on veut, du sexe que l’on veut, en tant qu’expression inaliénable de la Liberté. Contre eux se dressent les défenseurs de l’égalité des genres comme expression tout autant inaliénable du principe d’Égalité des sexes. Liberté, Égalité… comment les départager pour asseoir au mieux la Fraternité dans les fratries ? Pour La liberté de procréation, l’autonomie des personnes comme l’appellent les Anglo-Saxons, considère comme sacrilège toute interdiction et même toute restriction

doivent-elles être éduquées différemment que les garçons au niveau scolaire ? » Les filles sont très différentes des garçons. Elles n’ont pas les mêmes centres d’intérêts, les mêmes envies, les mêmes attentes, la même perception des choses,…. La formation qu’elles suivent à l’école devrait être différente de celle suivie par les garçons. Celle-ci devrait être plus centrée sur leurs propres centres d’intérêts tout en restant semblable à la formation des garçons dans les matières plus générales (le

démocratiques (égalité, laïcité,méritocratie…). Elle apprend aux enfants et aux adolescents les éléments constitutifs de la culture nationale (langue,histoire…) qui permettent aux individus d’avoir le sentiment d’appartenir à une même communauté, d’avoir la volonté de vivre ensemble et de tisser des liens sociaux (Durkheim).
L’école est au coeur de l’égalité des chances. Elle doit fournir les mêmes moyens à tous pour compenser les handicaps culturels des milieux culturellement défavorisés (égalité des chances)

sociétés la socialisation de l’individu est appliquée pratiquement pareil dans toutes les sociétés : l’individu n’intériorise pas une même socialisation si c’est une fille ou un garçon pour la simple bonne raison que depuis toujours les filles sont considérées comme des individus ayant des capacités, gouts et comportements différents des garçons. En réalité, ces différences sont créées inconsciemment par des instances de socialisation présentes dans la vie de tous les jours. A. des instances de socialisation

ensuite pour encore plus de praticité dans le palais lui-même entre l’appartement d’Anne d’Autriche et celui du roi. A cette époque, Louis XIV, quelque peu abandonné, faillit se noyer dans le grand bassin du jardin et eut pour compagne de jeux la fille d’une servante des femmes de chambre de sa mère avec qui il joua au roi et à la reine dans les cuisines du palais. La fronde survint et la famille royale rejoint clandestinement le château de Saint Germain en Laye (janvier 1650). Après une accalmie