échec De La Monarchie Constitutionnelle 1790 1792

permis de dégager sur une des sept collines de Rome, le Palatin, des fonds de cabanes, près de l’endroit où les romains gardaient le souvenir de la maison de Romulus et de Remus, des céramique du 8ème siècle av JC. Rome aurait été au départ une monarchie. 3 rois auraient succédé à Romulus, tout d’abord Numa qui a donné la religion polythéiste à Rome, puis Tullius Hostilius qui aurait donné à Rome sa force guerrière, et enfin Ancus Martius qui aurait donné les lois économiques de la cité. A ces

français, vous pouvez choisir, par exemple François Truffaut : revoir ses films, et lire ou relire quelques-uns de ses articles dans Les Cahiers du Cinéma. 30 © Groupe Eyrolles ARTS ET LETTRES ■ 3. La langue française La loi constitutionnelle n° 92-554 du 25 juin 1992 a ajouté en tête de l’article 2 de la Constitution : « La langue de la République est le français ». La loi du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française (dite « loi Toubon », du nom du ministre de la Culture

renversé, et est mis en place un régime que la postérité retiendra : la Res Publica = République. Définition négative de la république qui l'importe, il y a x formes de républiques (populaire etc etc). Ce que veut dire République = > contraire de la monarchie héréditaire, c'est la chose qui appartient aux hommes qui doivent se gouverner en commun. Mise en place d'un régime qui va être progressive, pas de constitution écrite. Cette République reste aussi modeste sur le plan territorial, devant toujours

outre le droit international publique, relève du droit publique le droit constitutionnel. Le droit constitutionnel défini la forme de l'Etat et son fonctionnement (système parlementaire ou présidentiel, monarchie ou démocratie), défini l'élaboration de la loi. Il précise les différents pouvoirs à l'intérieur de l'Etat (pouvoir exécutif, législatif : parlements AN et sénat ) et le pouvoir judiciaire. Le droit constitutionnel né de ces différents organes et désigne les personnes qui vont toucher à

face-à-face 41 Chapitre 4. Le premier conflit mondial (1914-1918) 44 Section 1. Le choc des nations 44 §I. L’évolution des alliances en Europe 44 §II. La montée des tensions 46 §III. Les entrées en guerre 48 Section 2. La guerre en échec 50 §I. L’installation de l'Europe dans la guerre 50 §II. La mondialisation du conflit 53 §III. L’ébranlement révolutionnaire 55 Conclusion 56 Chapitre 5. L’Europe des traités et des révolutions (années 1920) 57 Section 1. Une nouvelle

rang de prince d’empire. Inquiets devant la puissance grandissante de ce voisin ambitieux, Philippe de Heinsberg, archevêque de Cologne, Philippe d’Alsace, comte de Flandre, et Godefroid II, duc de Brabant, envahissent le Hainaut. L’invasion fut un échec, mais les alliés, changeant de stratégie, parvinrent à persuader le vieux comte Henri de reprendre son épouse. Après quatorze ans de séparation, Agnès rejoint son époux en automne 1185 et donne naissance, en juillet 1186, à une petite Ermesinde. Henri

par l’établissement durable de la République constitue un grand xixe siècle fondateur. Il n’est pas étonnant que les principaux symboles de l’État-nation aient été créés dans ce laps de temps. Du drapeau tricolore, déjà présent sous la Monarchie constitutionnelle à La Marseillaise déclarée hymne national en 1879, en passant par Marianne peinte par Delacroix, les symboles personnalisent la République. Ils proposent à ceux qui veulent en connaître leur sens un véritable voyage dans le temps. Chapitre

Larousse, 2007. Pétré-Grenouilleau Olivier, Les traites négrières, Gallimard, 2004. Pétré-Grenouilleau Olivier, « La révolte des esclaves de Saint-Domingue », L’Histoire n° 339, février 2009, pp.74-79. Pierre Etienne Sauveur, L’énigme haïtienne, échec de l’Etat moderne en Haïti, Presses de l’Université de Montréal, 2007. Régent Frédéric, La France et ses esclaves, de la colonisation aux abolitions (1620-1848), Grasset, 2007. Théodat Jean-Marie, Haïti République Dominicaine, Une île pour deux, 1804-1916

plusieurs régimes : royauté absolue, monarchie constitutionnelle (1789), Convention (1792), Directoire (1795), Consulat (1799) et Empire (1804). L’instabilité politique de la période révolutionnaire s’accompagne d’une grande insécurité juridique : le droit ancien est abrogé, sans être remplacé par un droit nouveau. La volonté d’uniformiser le droit et de le réduire à la loi avait été exprimée au lendemain de la Révolution. Dans un projet de loi d’avril 1790, rédigé par Sieyes et présenté à l’Assemblée

favorise l’élite rurale. En Angleterre, les règles profitent à l’aristocratie industrielle. Il y a des conditions de restriction. Cette extension s’est fait par la restriction des contraintes culturelles : en France il fallait un diplôme sous la monarchie de Juillet pour être électeurs. En Italie les analphabètes sont écartés du droit de vote. Le 20ème siècle prolonge cette évolution avec l’accès au droit civique des femmes, le dernière tiers du siècle se caractérise par le franchissement de nouvelles