Zoomorphisme

sciences, histoire, philosophie… Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent

objets. Cette couche sémantique des zoonymes est souvent appelée « zoomorphismes » ou dans la terminologie de certains savants « zoosémismes ». Les zoomorphismes se basent sur les modalités réelles (objectives) ou imaginaires (subjectives) des animaux, dont le peuple les a douées [28, 150]. Ces modalités fixées dans la langue au sens figuré se transforment en motivation sémantique, c’est-à-dire, en forme intérieure des zoomorphismes, grâce à quoi les derniers acquièrent une signification expressive

représente les personnages selon leur nationalité ou groupe ethnique (Juifssouris, Nazischats, Polonaiscochons...) pose question et participe de plusieurs stratégies : filiation littéraire de la fable ; caractéristique propre à la BD : le zoomorphisme ; pudeur de l’auteur : ne pas se représenter lui-même et sa famille ; renversement et satire des codes picturaux du nazisme : le juif comme être inférieur et nuisible ; jeu sur les représentations : prédateur/proie, bourreau/victime...

III-Interpréter Maus est indissiociable de la bande dessinée underground américaine  et des comix: en effet, Maus est destiné aux adultes, sans contrainte ni censure, comme c’était courant dans les comics « mainstream ». Le style fait référence au zoomorphisme populaire dans cet art, même si il s’inspire des caricatures nazies (ex : Les polonais sont vus comme des porcs). L’histoire est publiée dans un des nombreux magazines undergrounds, tels que Weirdo. L’auteur évoque d’ailleurs son milieu (l’art

représenter les personnages selon leur nationalité ou groupe ethnique (Juifssouris, Nazischats, Polonaiscochons...) pose question et participe de plusieurs stratégies : filiation littéraire de la fable ; caractéristique propre à la BD : le zoomorphisme ; pudeur de l’auteur : ne pas se représenter lui-même et sa famille ; renversement et satire des codes picturaux du nazisme : le juif comme être inférieur et nuisible ; jeu sur les représentations : prédateur/proie, bourreau/victime... Établir

la guerre et les déportés savent ce qui les attend; même si à l'entrée on voit un panneau "le travail rend la liberté", ils savent qu'ils ne sortiront jamais vivant. Pour faire référence aux images de propagande nazie , l'auteur a utilisé le zoomorphisme, c'est à dire qu'il a donné aux animaux des postures humaines. Il a représenté les allemands par des chats qui traquent les souris (les juifs); on voit aussi des polonais sont représentés par des porcs. Chaque nation est représentée par un animal

sciences, histoire, philosophie… Ce peut être des références à d’autres penseurs ou écrivains (citation), à des anecdotes amusantes ou frappantes (paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent

Le zoomorphisme : héritage des fables de La Fontaine, la représentation des êtres humains sous une forme animale est une technique souvent efficace par sa puissance d’évocation. À l’occasion de scandales financiers par exemple, on voit souvent réapparaître l’image

se décrit tout autrement. Il se dit normal, raisonnable, discret, silencieux, peureux et invisible. Mais aussi de personne douce, pacifique et de pas timide. C'est un étudiant à la Sorbonne, un bon élève, attentif. Il se décrit aussi de manières zoomorphisme: en effet il se dit hippopotame et rhinocéros, par ses comparaisons il explique, d'après lui que comme les animaux '' qu'il ne tuerait pas par méchanceté mais simplement parce qu'il aurait '' écrasé '' ses victimes sans les voir ''. Toutefois,

13) · forme de la figure : introduite par le comparatif “plus longue qu’ovale”, comparée à une tête de cheval -> animalisation -> justifiée par la science que Balzac évoque à travers le groupe nominal “système scientifique” -> zoomorphisme (Fait de représenter ou de se représenter quelque chose sous une forme animale). Ainsi Balzac se sert ici de la science du XIXe pour décrire son personnage · “Comme si quelque feu secret l’eût incessamment desséchée” comparaison (comparatif “comme”)