Vsevolod Meyerhold

scénographie, le corps des acteurs, le choix d'un lieu. Exemple : le théâtre expérimental, la pantomime, le butoh, les mises en scène de Luk Perceval... C – Le spectateur n'est pas seulement destinataire de l'œuvre dramatique, il en est, selon Vsevolod Meyerhold, le "quatrième créateur", après l'auteur, l'acteur et le metteur en scène. Exemple : toute expérience personnelle, le théâtre forum. Conclusion À l'origine, le théâtre avait une fonction cathartique. Or cet effet purificateur ne pouvait être

théâtre des armées. Démobilisé, il apprend le japonais à l’Institut Militaire de Moscou, puis décide de devenir acteur. Il collabore au Proletkoult, organisation littéraire et artistique soviétique, suit des cours d’art dramatique dispensés par Vsevolod Meyerhold et fonde sa propre troupe, avec Sergei Tretiakov, en 1924. Après un court-métrage tourné en 1923, Sergei M. Eisenstein incite le Proletkoult à se lancer dans les productions cinématographiques. Sept projets sont programmés, le jeune cinéaste

Adolphe Appia et Gordon Craig Adolphe Appia (1862-1928) Gordon Craig (1872-1966) 6.5.2. Jacques Copeau et le Vieux Colombier 6.5.3. Constantin Stanislavski (1863-1938) 6.5.4. Le cartel des quatre Le théâtre marxiste 6.6.1. Vsevolod Meyerhold (1874-1942) 6.6.2. Erwin Piscator (1893-1966) 6.6.3. Berthold Brecht (1898-1956) 6.7. Artaud (1896-1948) et le théâtre de la cruauté 6.8. Le théâtre de l’absurde (après 1945)

beaucoup, et va au théâtre. En 1915, Eisenstein entre à l'Institut des Ingénieurs Civils de Saint-Pétersbourg pour étudier l’architecture. Dans cette ville Sergueï visite plusieurs expositions d’art classique et moderne, ainsi que des spectacles de Vsevolod Meyerhold et Nikolaï Yevreinov. Il croit aux idéaux de la révolution Russes. En 1918, il est mobilisé en tant que sapeur dans l'Armée Rouge mais il préfère s’occuper des décorations dans le théâtre amateur de l’Armée. En 1920 Eisenstein est démobilisé

ses maîtres – par exemple le metteur en scène de théâtre Vsevolod Meyerhold – et ses contemporains se passionnaient tous pour la puissance de la technique et les mondes nouveaux qu’ouvrait la science. Le cinéaste Dziga Vertov, chez qui Eisenstein est venu se former au cinéma en 1922, proclamait par exemple : « Le psychologique empêche l’homme d’être aussi précis qu’un chronomètre, entrave son aspiration de s’apparenter à la machine1 ». Meyerhold affiche la même méfiance envers le psychologique, lui

traduit également par le développement d’écoles de jeu d’acteur rejetant la tradition du « revivre » psychologique, et s’inspirant des théories réflexologiques (Abram Room), du cirque (la Feks), de la biomécanique du metteur en scène de théâtre Vsevolod Meyerhold, ou de Delsarte (théorie du « modèle » de Lev Kouléchov). Tandis que d’autres réalisateurs préfèrent le « typage » d’acteurs non-professionnels (Eisenstein) ou rejettent la fiction au bénéfice du cinéma « non-joué », terme réunissant le documentaire

scénographie, le corps des acteurs, le choix d'un lieu.  Exemple : le théâtre expérimental, la pantomime, le butoh, les mises en scène de Luk Perceval... C – Le spectateur n'est pas seulement destinataire de l'œuvre dramatique, il en est, selon Vsevolod Meyerhold, le "quatrième créateur", après l'auteur, l'acteur et le metteur en scène.  Exemple : toute expérience personnelle, le théâtre forum.  Conclusion À l'origine, le théâtre avait une fonction cathartique. Or cet effet purificateur ne pouvait

scénographie, le corps des acteurs, le choix d'un lieu.  Exemple : le théâtre expérimental, la pantomime, le butoh, les mises en scène de Luk Perceval... C – Le spectateur n'est pas seulement destinataire de l'œuvre dramatique, il en est, selon Vsevolod Meyerhold, le "quatrième créateur", après l'auteur, l'acteur et le metteur en scène.  Exemple : toute expérience personnelle, le théâtre forum. Conclusion À l'origine, le théâtre avait une fonction cathartique. Or cet effet purificateur ne pouvait être

physionomie humaine du rôle. » Sans vouloir citer dans leur entier les vues de Gogol sur l'art scénique, vues frappantes par leur clairvoyance et leur prescience des théories qu'allaient propager cent ans plus tard les efforts de Stanislavski, Taïrov, Meyerhold, Vakhtangov, et autres, je crois indispensable de signaler le pronostic de Gogol sur le rôle de metteur en scène : « on ne peut espérer, dit-il, que chaque troupe ne compte que de grands talents. » Et il conseille au « meilleur acteur » « d'être

accessible à des collégiens. LA FORMATION DE L'ACTEUR de Constantin Stanislavski En plus de son travail comme acteur, directeur, et entrepreneur, Stanislavsky était également un professeur inspirant, dont les disciples soviétiques ont inclus Vsevolod Meyerhold et Evgeny Vakhtangov. et Michael Chekhov. L'influence de sa "méthode" était et demeure étendue aux Etats-Unis aussi bien, particulièrement par l'influence de lie Strasberg. PRATIQUER LE THÉÂTRE AU COLLÈGE (Bordas) de Sophie Balazard et Élisabeth