Vocatif

tournure impersonnelle « il manquait » qui accentue la précarité - « droite » « gauche » suggère un personnage mutilé sur l’ensemble du corps Il cherche à susciter la compassion - « pauvre homme » Candide le tutoie et l’interpelle « mon ami », ce vocatif suppose une relative égalité dans les relations. Son émotion est traduite par le terme « horrible » La suite du texte est occupée surtout par le discours de l’esclave. Il se situe dans un état de dépendance et d’autorité - « j’attends mon maître

clairement la fugacité des moments heureux. Par le biais de ces procédées stylistiques et rhétoriques , la fragilité de l’homme face à la puissance du temps est mise en relief et donne une tonalité lyrique au poème, qui s’exprime surtout avec tous les vocatifs et les interjections que nous retrouvons dans la poésie. II- Le pouvoir de la nature La poésie entière est un appel adressé à la nature en tant que seul élément qui peut aider l’homme dans sa lutte contre le temps : elle conserve intact le souvenir

points montrent l’évaporation du parfum. Le rythme est irrégulier. Les césures ne sont pas respectées. Vers 9 à pas de césure Vers 10 à 3/3/6 Vers 11 à pas de césure Deuxième tercet : Au vers 12, métonymie de la Beauté qui est apostrophée par le ‘Ô’ vocatif. La Beauté est le « fléau des âmes » à c’est une calamité. Cela renforce encore l’idée du carnage causé par la femme. Au vers 13 et 14, le poète demande une fin à son supplice en demandant à la femme de brûler son cœur. Au vers 13, « les yeux de

occurrences du nom de la femme aimée par Apollinaire, Lou. Le nom apparaît à deux reprises, à chaque fois en position nodale : la première fois il apparaît dans la première strophe, au second vers, dans une périphrase « ô Lou ma bien-aimée », où le vocatif « où » consacre tout l’amour que le poète à pour sa Dame ; la seconde fois, il apparaît en tête de la dernière strophe, donc également en position cruciale. Il ouvre la fin du poème, en rappelant le nom de la destinataire du texte et en accentuant

l’image de la bergère, veillant sur son troupeau de ponts dont la forme arrondie évoque pour le poète des moutons. Les bêlements pourraient être les sirènes des péniches sur la Seine, passant sous les ponts.Autre référence à la tradition poétique : le vocatif lyrique « ô ».RAPPEL Tour Eiffel, bâtie en 1889, suscite des réactions très contrastées : elle est jugée par certains comme une verrue dans le paysage parisien par son modernisme agressif, tandis qu’Apollinaire et d’autres artistes tels que Robert

LATIN METHODE CAS Nominatif | Sujet ou Attribut du sujet | Vocatif | Apostrophe | Accusatif | Complément d'objet direct, attribut du complément d'objet direct | Génitif | Complément (de détermination) du nom | Datif | Complément d'objet indirect, complément d'objet second, complément d'attribution | Ablatif | Compléments circonstanciels de moyen, manière | DECLINAISONS Pour identifier une déclinaison, il faut connaître la terminaison (ou désinence) de son génitif : ae pour la 1ère déclinaison

"sa plus verte" verte -> au printemps c'est la nouveauté 3) L'émotion du poète 1ère émotion : tristesse du poète que l'on voit dans l'interjection 'las!' Indignation : "Ô marâtre nature" -> péjoratif , qui insiste sur sa colère "Ô" est un vocatif qui permet l'épenchement de ses sentiments -> registre lyrique Ponctuation expressive |||) Une leçon de vie 1) Une relation de maître à élève -Impératif "Allons voir" "voyez" -Invitation à la confiance "si vous me croyez" Futur dernier

interjections seront exprimées par l'intonation de l'émetteur. 2. La fonction impressive ou conative : Cette fonction a pour but d'interpeller un récepteur en lui adressant directement la parole pour le commander. C'est l'utilisation de l'impératif et du vocatif qui est nécessaire à cette fonction, car il permettent d'exprimer une commande qui suscitera une réaction du récepteur en concordance avec l'interpellation de l'émetteur. Ce dernier peut, avec cette fonction, susciter chez le récepteur une émotion

Les 6 cas en Latin Nominatif : Sujet, attribut du sujet Vocatif : Apostrophe, interpellation Accusatif : COD (quoi? Ou qui?) Génitif : CDN Datif : COI , COS (à qui? Ou à quoi?) Ablatif : CC(lieu, temps, moyen, cause, but...) 1ere déclinaison Singulier: -a;-a;-am;-ae;-ae;-a (causa) Pluriel : -ae;-ae;-as;-arum;-is;-is 2eme déclinaison Nominatif : -us;-e;-um;-i;-o;-o (lupus) Pluriel : -i;-i;-os;-orum;-is;-is Neutre de la 2eme declinaison : verum,verum,verum,veri,vero,vero (sg)

marquée par l’usage des hexasyllabes et des quatrains. Les allitérations en dentales (« de », « doux », « toi ») peuvent être la chute des gouttes d’eau. Ce peut aussi être le bercement de la douleur, également marqué par une assonance en [-UI]. Les vocatifs sont très ambigus, sans suite ni verbe. Est-ce de l’étonnement ou la tristesse ? III – Un lyrisme négatif et sans solution apparente. L’impression de bercement → impression d’être enfermé. On tourne en rond. Disposition des rimes (1 isolée