Vocatif

peur, de l’étrange, du monstrueux | Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. | Lyrique | - Marques de la première personne (forte implication de celui qui parle) - Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) | Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) | Pathétique | - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés

|- Marques de la première personne |Exprimer ses sentiments personnels et les faire | | |- Marques d'expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) |partager (joie ou tristesse, bonheur ou | | |- Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) |mélancolie...) | |

pronom personnel « je » tel une personnification: « je suis belle » V1 ; « et mon sein » V2 ; « je trône dans l’azur ». Elle apparaît sous une forme fière et méprisante, que l’on constate grâce au champ lexical du mépris: « ô mortels » V1, ici le ô vocatif insiste sur ce mépris porté aux mortels; « meurtri » V2 ; « je hais les mouvements qui déplacent les lignes ». Cette beauté est représentée de manière fascinante par son aspect divine telle une inspiration à l’amour aux poètes (V3), telle une chose

possessifs qui insiste sur la relation homme femme. --> Diérèse sur le mot « passion » euphorique --> « Ange » fait écho à « âme » utilisé dans le 1er vers. v.41 « ô reine des grâces » v.45 « ô ma beauté » Périphrase double par une hyperbole + vocatif (adresse directe et empreinte du respect à l'interlocuteur) Gradation dans l'exaltation lyrique de la femme aimée Donc, confirmation qu'il s'agit de l'évocation d'une relation amoureuse. La femme est traditionnellement louée par sa beauté et l'amour

dernier lui était supérieur et qu’il lui demandait une faveur. · Impératif « Prête-moi » + usage de la 2e personne du singulier : marque l’admiration du poète pour la musicalité du train. L’impératif exprime aussi une supplication · Présence du « ô » vocatif dans les apostrophes « ô train de luxe » / « ô Harmonika-Zug » : · Forte présence de la musicalité : · Assonance : « bruit » / « cuir » / « cuivre »· Champs lexical lié aux sonorité et à la musique : · Polyptote du mot « bruit » répété deux fois :

"rochers", "grottes", "rocs" = image minérale de la nature, "sapins", "coteaux", "forêts" et le "roseau" = image végétale. Nature permet expression du lyrisme = Idée d'impuissance de l'homme face à nature et temps. Les apostrophes ("ô" vocatif -> invocation). , Le vers 64 ("Ils ont aimé") est la concentration de tout ce qui a été dit dans le poème. Ce vers = chute et l’apogée du poème = le poète constate le pouvoir des sentiments en correspondance avec le paysage. Conclusion

son lecteur. Il exprime sa colère. Pas besoin du « je ». C'est une colère objective. Les nombreux points d’exclamation correspondent à l'indignation qu'il éprouve. Hugo se sert des sentiments du lecteur pour le persuader. L'article vocatif « Ô », les adjectifs « infâme », « étouffant », « encensée », « mauvais » et surtout « maudit » font naître de la pitié. Ainsi que « enfants », « doux êtres pensifs », « filles de huit ans », « innocents », « anges ». C'est un registre pathétique

Le poète choisit le discours direct, le discours intérieur du personnage qui correspond à une voix discordante dans le beau concert du printemps. C’est une autre antithèse : à « l’orgie silencieuse » répond le cri solitaire : « Ah ! Déesse ! » au vocatif exclamatif.   On a pu voir que le thème du désir, associé au printemps et à la femme, peut être actualisé selon des choix très variés. Pourquoi ne pas dire l'ardente préférence pour la sensualité de Marie Krysinska ?

lyrique exprimant l’admiration et la nostalgie Désir d’aventure Quand il évoque Rome, il évoque son désir d’aventure et son admiration pour la ville. Les outils utilisés : registre soutenu voire oratoire + phrases exclamatives et apostrophe (vocatif latin) avec un rythme ample : coupe à l’hémistiche / diérèse vers 10 en fin de vers + rythme à l’image de son enthousiasme Désir de garder ses racines Il évoque son Anjou natal avec tendresse, nostalgie regrets ( titre du recueil) il ne veut

montre l��vaporation du parfum. Le rythme est irr�gulier. Les c�sures ne sont pas respect�es. Vers 9 � pas de c�sure Vers 10 � 3/3/6 Vers 11 � pas de c�sure Deuxi�me tercet : Au vers 12, m�tonymie de la Beaut� qui est apostroph�e par le �Ԓ vocatif. La Beaut� est le � fl�au des �mes � � c�est une calamit�. Cela renforce encore l�id�e du carnage caus� par la femme. Au vers 13 et 14, le po�te demande une fin � son supplice en demandant � la femme de br�ler son c�ur. Au vers 13, � les yeux