Vocatif

aimée v.2 + pouvoir d’attraction : les soleils viennent à elle v.2· Une richesse : §9 : métaphore des pays et villes réputés pour leur richesse : Pérou, Indes, Golconde v.36 --> yeux = trésor pour le poète· Un bonheur qui a le goût du paradis : ô vocatif v.35 : adorationII. Mais ce poème évoque aussi la souffranceA. Ce poème évoque la souffrance due à la guerre et à l’occupation· La mort : v.3 : « les désespérés » et la souffrance des combats : ombre des oiseaux = bombardements ; marins qui meurent

l'année ». On peut comprendre ce vers comme étant l'écoulement d'un an depuis un événement passé du poète. Ici, l'alexandrin n'est pas de structure classique : 2//10. Lamartine refuse de faire une poésie classique pour exprimer ses sentiments. Le vocatif « Ô » est une injonction adressée au Lac (par métonymie à la Nature), il y a une personnification du lac que l'on retrouve au vers 8 où le poète tutoie le lac et dans le reste des vers de la première partie. « à peine fini » : « à peine » témoigne

possessifs qui insistent sur la relation homme / femme. --> Faire la diérèse sur le mot « passion ». --> « Ange » fait écho à « âme » utilisé dans le 1er vers. |v.41 «  ô reine des grâces » |Périphrase double par une hyperbole + vocatif | |  |(adresse directe et empreinte de respect envers le | | v.45 « ô ma beauté » |distinataire, ici la femme.) | |

du temps. Le lyrisme est ainsi patent dans l’expression des sentiments par la présence d’un « je » lyrique mais aussi par le travail musical, la douceur des sons [u] [r], [ʒ], les nasales [ã]. Avec la 2° strophe débute l’invocation au lac dans un vocatif, une apostrophe personnifiante : « Ô lac », mise en valeur par la coupe. Le poète évoque sa situation présente face à ce lac connu l’année d’avant avec Elvire : « l’année à peine a fini sa carrière » et le rendez-vous qu’ils s’étaient fixé : « Et

v.41 «  ô reine des grâces  »  v.45 «  ô ma beauté »Périphrase double par une hyperbole + vocatif (adresse directe et empreinte de respect envers le distinataire, ici la femme.)Gradation dans l'exaltation lyrique de la femme aimée Donc, confirmation qu'il s'agit de l'évocation d'une relation amoureuse. La

possessifs qui insistent sur la relation homme / femme. --> Faire la diérèse sur le mot « passion ». --> « Ange » fait écho à « âme » utilisé dans le 1er vers. v.41 «  ô reine des grâces »    v.45 « ô ma beauté » Périphrase double par une hyperbole + vocatif (adresse directe et empreinte de respect envers le distinataire, ici la femme.) Gradation dans l'exaltation lyrique de la femme aimée Donc, confirmation qu'il s'agit de l'évocation d'une relation amoureuse. La femme est traditionnellement louée par

fonctionnalistes est la distinction des types de texte. Peter Newmark, théoricien anglais de la traduction fonctionnaliste, a établi une typologie des textes en proposant un regroupement de textes en trois grandes catégories : l’expressif, l’informatif et le vocatif. « The main functions of language are expressive (the subjective or ‘I’ form), the descriptive or informative (the ‘it’ form) and the vocative or directive or persuasive (the ‘you’ form) ..... All texts have aspects of the expressive, the informative

mer ni terre à l' endroit où s' écrase la vague. Le poète exilé est l' Etranger, qui est présent à l' endroit d' il est affectivement absent et, par où la pensée, présent où il est réellement absent. Le dédoublement entre le poète et l’Etranger (le vocatif O Pérégrin et la citation de propos attribués à l’Etranger dans les deux derniers versets) n’est qu’apparent : il permet de mettre en scène le dessein du poète. Procédé que l’on retrouvera souvent dans le reste de l’œuvre. Dans un lieu nul, le poète

donc une dimension pathétique et argumentative. - Dimension pathétique : Lexique de la catastrophe : humaine V6 et matérielle V10, Doublé de celui de la plainte V13, Procédés d’écriture  tonalité douloureuse : - exclamation V1/2/3, - vocatif du début V1/2, - césure du V1, - anaphore du déictique «ces » (7x) V6/7, - pratique de l’enjambement = impression d’accumulation, - Alexandrin = ampleur solennel = circonstances,  Voltaire prend part a la souffrance : vers personnels V30/34/42

disait », « il s’en retournait » : retour à l’imparfait= l’action est terminée, l’heure du bilan. « Si c’est ici le meilleur des mondes possibles… qu’on vous ait fendu le ventre ! » : discours direct= les propos de Candide, la leçon du récit. ! ? ô (vocatif) : Ponctuation expressive= une fin tragique, un rythme accentué. La distorsion ironique « En conséquence » : faux lien logique= ironie : une rationnalité contrefaite, d’apparence + inversion de l’ordre (on décide l’autodafé puis on cherche les coupables)