Vices Du Consentement Et La Protection

INTRODUCTION Principes généraux : * Ce qui caractérise une obligation : un créancier face à un débiteur. Vice consentement => nullité du contrat (règle de la théorie générale) : corps de règle = règle de consentement. Pour que le contrat soit valablement formé, les parties doivent s’être mises d’accord sur le prix = règle de prix. * Théorie générale des obligations : Obligations : Etymologie : ob et ligare (latin) : ligare : lier, créer un lien ; ob : en vue de Donc obligation :

suites. Pas une source du contenu contractuel : objectives et subjectives. Chapitre 1 : Les éléments subjectifs du contenu contractuel : le rôle de la volonté. Section 1 : La délibération contractuelle : la formation du consentement. Façon dont se mature le consentement. Question pas toujours pertinente : pour les petits contrat : délibération relative. Volonté d'une partie se forme de façon instantanée : contrats d'adhésion. Réflexion n'existe pas au regard du droit. Phase de négociation

et une protection du contractant aussi, le principe de bonne foi s’il n’est pas respecté est justement sanctionné afin de protéger juridiquement les parties au contrat, or ici une seule personne est réellement protégée, l’acquéreur. B) Une affirmation de cette solution L’ordonnance de 2016 est venue modifier le Code civil dont l’article 1137 concernant la définition du dol, on peut retrouver ; «  Le dol est le fait pour un contractant d'obtenir le consentement de l'autre

commun des contrats ou droit du contrat) et le droit des contrats spéciaux (ou droit spécial des contrats). La première distinction s’intéresse aux règles applicables à tous les contrats, quels que soient leur nature ou leur objet. Exemple : consentement ou force obligatoire. C’est bien d’un droit commun qu’il s’agit. La seconde distinction s'intéresse aux règles propres à chaque type de contrat : vente, mandat, prêt, location. Cette distinction renvoie naturellement à l’opposition entre droit

PARTIE 1 : LA FORMATION DU CONTRAT. Titre 1er : LES CONDITIONS DE VALIDITE DU CONTRAT l’article 1108 du code civil prévoit quatre conditions essentielles : - consentement de la partie qui s’oblige - de sa capacité de contracter - d’un objet certain qui forme la matière de l’engagement - et d’une cause licite dans l’obligation. Si l’un de ces éléments intrinsèques fait défaut, le contrat est nul. A ces conditions il faut en ajouter d'autre , elles sont prévues indirectement par l'article

viennent régir chacun des contrats spéciaux. Il y a d’abord eu un mouvement de professionnalisation des contrats : une technicité accrue de la rédaction contractuelle aux besoins de la pratique, avec une volonté de protection de certaines parties du contrat, avec notamment de protection du consommateur. Cette hyperspécialisation à des avantages et inconvénients. Cela à l’avantage d’avoir des régimes spécifiques au contrat en question. Cependant, cela a comme problème l’existence d’un droit éclaté

propriété dès l’échange de consentement (transfert de risques Clause de réserve de propriété : protéger le nvx proprio jusqu’au paiement de l’objet. * Obligation vendeur : délivrer et garantir la marchandise (le vendeur pro doit tt savoir de ses produits donc plus de risques) Délivrance : transport en la puissance et possession de l’acheteur (bonne quantité, qualité au momnet convenu) 2 garanties : Garantie d’éviction : jouissance paisible de la chose Garantie des vices cachés. * Obligations

boulanger achète un volet mécanique pour protéger sa vitrine, il agit en tant que « non professionnel » du volet mécanique et doit être considéré comme « consommateur », donc protégé par le droit de la consommation. II – LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR DANS LE CADRE CONTRACTUEL A) La protection du consommateur lors de la formation du contrat 1) Obligation de renseigner « Le vendeur est tenu d’expliquer clairement ce à quoi il s’oblige » sans quoi « tout pacte obscur ou ambigu s’interprète contre le vendeur

d’ériger les principes européens. Ces trois articles traitent de la violence écononique. Ils sont issus de l’avant, c’et la lutte contre éventuel abus de l’éconolielors de la formation de contrat. Aujourd’hui le droit francais n’appréhende que les vices classiques : erreur , dol, ciolence et sous l’impulsion d’une partie de la doctrine le juges semblent par faire rentrer la contrainte éonomique dans le champ contractuel. Allant même a la rattaché à la notion classique de la violence.Elle figure donc

problématique entre le mariage simulé et le mariage forcé. Néanmoins la différence est que dans le mariage simulé, il y a absence de consentement, ce qui est une cause de nullité absolue, alors que dans le mariage forcé, le consentement est entaché de vice du consentement. On a donc d’un côté une absence totale de consentement, et de l’autre un vice du consentement. Il faut se demander comment le Code civil permet de lutter contre le mariage simulés et forcés, et voir quelles sont les sanctions