Verbe modal

paraissent. Par exemple, la répétition du mot « silence » (l.5; l.16) indique au lecteur une tension palpable. Dans la scène, Raymond se met à fumer, souvent preuve d'anxiété, et il allume sa cigarette « d'un geste qui se voulait tranquille » (l.22), le verbe « se voulait » montre que son geste donc soi-disant calme et en fait un signe de nervosité, il appréhende et a peur de la réaction de sa fille. Cette idée est d'ailleurs approuvé par le fait qu'il « regard[e] ses mains » au lieu de regarder sa fille

- tous les autres verbes sont au présent. *Situation d’énonciation - émetteur : l.34 « Je n’ai vu pareille abondance ». => Témoignage direct à un destinataire présent mais dont on ne perçoit pas la présence. => Utilisation du verbe avoir vu : description. *Type/texte - « Je n’ai vu > champs lexicaux ». - les noms communs décrivent les éléments du décor et les verbes peignent les formes. => Il s’agit d’un texte descriptif. *1er§ : La ville vue de loin - éléments

d’une part la « douceur qui fascine » et d’autre part « le plaisir qui tue ». La proximité de ces expressions réunies dans un même vers exacerbent le contraste, de même que le parallélisme de la construction de l’alexandrin : nom / pronom relatif / verbe. Cette forte contradiction qui définit souvent la femme dans l’univers baudelairien est reprise dans l’évocation de son «oeil » par la métaphore céleste : « ciel livide où germe l’ouragan ». Grâce à cette image, le poète met en relief une violence

conscience de sa blessure « chasse le nom de cette femme, que je ne veux pas prononcer » (v.160-161). Elle s'adresse à la deuxième personne du singulier des vers 152 à 155 « Apaise-toi », « t'en conjure », « tes », « ta » et utilise un impéartif et un verbe de demande ce qui prouve sa témérité dans la nécessité de l'oublier. Ensuite, dans la citation « Honte à toi qui la première » (v.162) deux figures féminines se superposent, d'une part, l'image de la première maîtresse coupable de trahison, que le

silence. " Car le mot c'est le Verbe et le Verbe c'est Dieu ", écrit Victor Hugo l'Évangile de saint Jean, qui débute ainsi : "Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. Par Lui, tout a existé, et sans Lui, rien n'a existé de ce qui existe. En Lui était la Vie, et la Vie était la Lumière des Hommes. La Lumière luit dans les Ténèbres, et les Ténèbres ne l'ont point arrêtée... Et le Verbe s'est fait chair, et il a habité

tels traitements. Le superlatif « plus » et le sens du verbe croître (v. 5) montrent que ces victimes ne sont pas abattues ; elles sont enfermées mais ne se soumettent pas pour autant : leur regard est « sans limites » (v. 7), leurs « yeux brûlés » ne les empêchent pas de voir les « libres lointains » (v. 14). Ils deviennent alors des martyrs. Un depassement d'eux meme leur permet d'échapper à la domination de leurs oppresseurs. Le verbe croître vers 5, bien que torturés, ces hommes « croissent

messe : « un homme qui parlait devant d’autres hommes qui ne parlait point ». On comprend donc que la personne qui était en train de parler est un prêtre pourtant 2 personnes l’accompagnait mais ne disait pas un mot. Cela ressemble à un chef, avec le verbe « s’écriait », donne des ordres à d’autres personnes, exécutant sans un mots les directions. « Qui ne parlait point ».Plus loin dans le texte on observe le mot « dieu » est repris plusieurs fois pour donner comme un espoir a la poularde de se sauver

bord du bassin »: Gros plan sur l’infante . Entrée de l’infante mise en valeur par les appositions qui précèdent (CCT, CCL,CCM). Petite fille affolé a cause du vent , elle sort de l’immobilité. Incompréhension et étonnement , peur (crescendo). Verbe d’état Infante / champs lexical de l’étonnement/ discours indirect libre (vocabulaire enfantin : « colère » , « Brise qui n’a pas craint de lui déplaire ». 2eme partie du texte : infante et « petite feuille » : perte de sa qualité royale : fin du

s’éclatant) qui n’est pas du tout de guerre : il s’applique d’ailleurs aux animaux. 2/ La mort est plus forte que l’amour Le désespoir est philosophique : le dernier mot du texte (« rien ») illustre le triomphe du néant et de la mort comme le verbe « pourrir » (vers 56). Le désespoir prend des actions tragiques : les pièges du destin cruel se sont refermés inexorablement (= sans possibilité de retour). Conclusion Dans le poème Barbara, l'amour a la capacité d'engendrer autour de

Devenu Compagnon, après moultes périples, voila notre ancien apprenti en possession du Verbe. Même s’il est astreint à prendre place sur les colonnes du sud uniquement, il peut enfin parler. On pourrait s’imaginer qu’ayant été privé de parole pendant un temps certain, il se précipiterait sur la moindre occasion de pouvoir enfin s’exprimer. On constate tout le contraire chez les jeunes compagnons. Posséder enfin le verbe, c’est pénétrer dans la dimension de l’Egalité. Etre passé par des années de silence