Verbe déponent

Récit présenté à l’avance comme divertissant = illustration du « ridicule » annoncé ; « malheur » des savants sur lequel l’auteur ironise avec l’antithèse « malheur/si plaisamment » (NB l’intensif « si ») ; et qui a la vivacité du récit oral : NB le verbe « parler » et la présence des guillemets. • L’éloignement dans le temps et l’espace = distance prudente « fin du siècle passé » (16ème siècle) ; « l’Allemagne » • Personnages archétypaux présentés comme ridicules : des « savants » : NB humour dans

conjugaison. On appelle conjugaison l’ensemble des formes que peut prendre un verbe en fonction des catégories grammaticales (mode, temps, personne) qu’il peut exprimer. Pour la seule voix active, un verbe a potentiellement plus de 90 formes différentes. La très grande variation du verbe est liée à ses propriétés syntaxiques, sémantiques et pragmatiques. LES PROPRIETES Les propriétés syntaxiques Syntaxiquement, le verbe est le noyau du groupe verbal qui constitue le centre organisateur de la phrase

texte. I Une histoire de Famille. D’une part, nous pouvons remarquer l’importance que l’auteur accorde à la famille comme en témoigne le vaste champ lexical: Pater, Metros, Pappou, Progonon. Ligne 18, le verbe se marrier « gameo » et femme ligne 13 « gunaika » et le verbe naitre ligne 21 « gegenètai ». D’autre part, l'auteur semble vouloir brouiller l'esprit de l'auditeur qui ne sait plus de quel Démosthène on lui parle, comme pour le perdre et lui faire oublier que Démosthène n'est pas

change sans arrêt de sentiments et ne fait que se détruire moralement peu a peu, il n’a donc plus qu’un choix à faire celui de se tuer ou non. Ce choix serait la manière la plus vaillante de quitter le trone. Il répète plusieurs fois à l’impératif le verbe mourir, cela accentue l’aspect tragique de l’extrait déjà doter d’un enjeu important, et le pathétique s’installe au fil du temps avec les différents champs lexicaux. Auguste est donc seul face à son destin.

La fille de Minos et Pasiphaé » ce qui correspond au mariage de son père et de Thésée. Théramène entend et approuve ce que dit son suzerain au vers 33 avec le verbe entendre, Il rappelle même les confidences d’Hippolyte au public puisque comme l’affirme la réplique du vers 22 : la cause lui est connue.

fait référence au cauchemar lors d’un rêve pénible. De plus, ce dernier fait voir, par la progressivité de l’histoire qu’il est désespérer dans son état d’esprit. Entre autres, il exprime un certain découragement : «je mourais de faim» (Ligne 20) Le verbe « mourir» indique à quel point la faim est atroce. De cette façon, le narrateur éprouve une perte d’espoirs. Dans le même ordre d’idée, l’extrait suivant provoque.. : « Mais ma surprise fut cruelle […].»(Ligne 25) Ici, on peut comprendre que la joie

instruite : elle emploie en permanence la 1ère personne du singulier par le biais de pronoms personnels et d’adjectifs possessifs. C’est donc dans la solitude que se fait cette éducation. 1.2.2. En même temps, cette solitude favorise l’observation : le verbe « profiter » ligne 10, prouve que Mme de Merteuil a su transformer une situation négative où on n’accorde aucune importance à la jeune fille, en un champ d’apprentissage. 1.2.3. Un certain nombre de mots montrent les caractéristiques de cet apprentissage :

Emploie du moi et du vous désignant elle même et Hippolyte à la place d'Ariane et Thésée v23:/ v24:/ v25:/ v26:/ v27:/ v28:/ v29:/ Fin de la longue tirade . V30 : Achevé par le vers 31 , constitue une tirade d’Hippolyte v31:/ v32 : Emploie du verbe juger, qui rappelle la faute commise par Phèdre --->jugement v33 : Débute par prince , rappelant que Hippolyte est le fils de Thésée , complète le vers 32 v34 : Vers disloqué, emploie des verbes excusez et avoue, qui montre qu’Hippolyte se remet

regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe regarder et le polyptote sur le verbe voir, vers 3 et vers 14. ( Définition de polyptote : forme de répétition par la reprise du même verbe à des personnes ou des temps différents, par la reprise du même nom ou adjectif à des genres différents. )La même allitération en "v" unit le verbe voir ( c'est à dire le regard ), le verbe vouloir ( c'est à dire le désir ) et le verbe venir ( c'est à dire l'accord ) et montre la rapidité de la

siècle ont été reprises, d'autres ont été empruntés à d'autres langues, d'autres subissent des déformations "verlanesques" , d'autres prennent des préfixe ou des suffixes. On observe des absences de marques verbales avec une tendance à faire parler un verbe dans le 1er groupe de conjugaison et à utiliser des verbes d’origine tsigane qui ne se conjuguent pas. Voici quelques exemples : Métaphore Airbags (seins, poitrine de femme) Ananas (seins) Bombax (fille très belle) Caisse (voiture