Verbe déponent

termes, on note la présence du verbe « avoir » à l’impératif. Il exprime ainsi un ordre ou un conseil mais aussi une possession. De plus, cette phrase est à la seconde personne du singulier, ce qui signifie qu’elle s’adresse au lecteur. L’adjectif « propre » qualifie « l’entendement » du lecteur. Il représente ainsi la pensée saine du destinataire, non souillée par celle d’autrui. Ainsi cette expression invite le lecteur à penser par lui-même. L’impératif, présent par le verbe « avoir », ainsi que l’utilisation

sous prétexte que,…    Ex. il n'est pas venu sous prétexte qu'il était malade.                            P roposition Subordonnée de cause   En général, le mode des subordonnées de cause est l'indicatif       1. Le complément de conséquence Seul un verbe à l'infinitif précédé d'une préposition peut être C.C de conséquence. Prépositions: à, pour, au point de, de manière à,… Ex. Mon fils Nassim est assez grand pour revenir tout seul de l'école.                                                  Complément

B) elle souligne l’opposition entre une totalité et un vide 9. Son nez casser peut nous évoquer certain sportif de l’époque. 10. Comme verbe conjuguer il y’a « avoir, vivre, marier » tous conjuguer au plus que parfait de l’indicatif. le plus que parfait évoque un fait passait dans le passer ils nous renvoi a l’époque de la vie de miche avant qu’il rencontre le narrateur et sa mère. 11

ils deviennent des pions et perdent toute individualité car c'est une masse. V.6 "fait des hommes un tas fumant". Transformation terrible des hommes en un tas fumant. En fait, des hommes transformés dans un tas calciné -> cendre -> mort. Le verbe "faire" est utilisé à contre-emploi, il crée le mal mais ne le fabrique pas. 3 - La souffrance des mères La mère donne vie et ne veut pas que ses enfants se fassent tuer à la guerre. "Les mères sont ramassées dans l'angoisse" v.12. Le rejet qui

explicitement « la flamme ». La flamme peut représenter l’amour qu’éprouve le poète mais cet amour est douloureux comme le prouve le vers 8 « ce qui m’étreint, qui me brûle et entame ». Cela nous prouve que cet amour le détruit de l’intérieur, le consume. Le verbe « brûle » fait référence au feu et donc à la chaleur. Au v.12, le poète évoque le fait « de périr ». Cela revient à faire un lien avec l’expression « périr par les flammes ». Le dernier vers de ce poème est en total opposition avec le reste du poème

dans un contexte sonore. Le contexte va être souligné par son aspect déplaisant. C’est tout le vacarme de la rue moderne qui est exprimé, d’abord : par la personnification de la rue, vers 1, et ensuite par la distance entre le sujet « la rue » et le verbe « hurlait », comblée par la présence de l’adjectif « assourdissant » * Dès le 1er vers, nous saisissons que la communication verbale est impossible * La présence de la passante est d’abord marquée par l’insistance que met le poète à souligner

Les colchiques sont des plantes des prés qui sont un poison violent pour les hommes et les animaux. Le verbe « s’empoisonne » revient deux fois dans le poème. Une correspondance s’établit entre les vaches et le poète. Il existe un autre point de comparaison : c’est la notion de temps pour symboliser la conséquence qui peut être la mort (lentement, tout doucement). La relation se fait autour du verbe empoisonner et de l’adverbe lentement pour insister sur la lenteur des animaux et de la mort. On a un

nocturnes « nuit rhénane », « lors des nuits », elles apparaissent « sous la lune », astre emblématique du caractère mystérieux féminin ; le mystère est amplifié par la couleur étrange de leurs cheveux « verts » et l’impression de violence suggérée par le verbe « tordre ». - La 2e strophe souligne la menace que représentent ces femmes et la 3e quatrain montre l’inefficacité de toute tentative de résistance. Le chant du batelier a pris le pouvoir, le buveur a basculé dans l’univers fantastique des ondines

l’élaboration de mon dossier. J’ai choisi ce thème car….. (préciser l’intérêt de ce choix). Dans un 1er temps (ou dans une 1ère partie, en premier lieu, tout d’abord) je vais vous décrire cette activité telle que je l’ai réalisée. (utiliser « Je » + verbe au présent +vocabulaire professionnel, bien identifier les interlocuteurs + phrases courtes) Dans un 2ème temps (dans une 2ème partie, en second lieu, ensuite, maintenant) je vais vous énoncer les difficultés que j’ai rencontrées (compréhension

Grammaire > L’accord du verbe avec le sujet Accord au singulier Avec un sujet au singulier : Je sors ce soir. Marie a fini son travail. La forêt est sombre. ► Avec plusieurs sujets : – quand les sujets désignent un même être ou une même chose : C’est un pilier, un poteau ► qui est tombé. C’est une artiste et une grande dame qui a joué ce soir. – quand il y a gradation : L’irritation, la colère, la rage faisait suffoquer mon père. L’accord au pluriel, moins littéraire, est également possible