Une Dictature Positive

directe ou semi-directe, avec le recours au référendum, aux votations régulières, et à l’initiative populaire.  Le référendum, c'est à dire la consultation des électeurs sur une question ou sur un texte qui ne devient définitif qu'en cas de réponse positive (il est demandé au peuple de répondre par "oui" ou "non" à la question posée) : le référendum peut porter sur la constitution (référendum constituant, art. 89 pour la France) ou permettre au peuple d'adopter une loi (référendum législatif, art. 11

diamants, pétrole…) Il n’y a pas de retombées positives de l’exploitation de ces ressources. La population n’est pas formée et pas en assez bonne santé pour travailler. 1,2 milliard d’habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté. Ils sont en retrait et la mondialisation ne fait que renforcer les écarts, aggraver les inégalités marginalisation croissante des PMA. 2) Les angles morts de la mondialisation Etats ou territoires… dictatures communistes (ou non Biélorussie) : Cuba, Corée du

politique est mise à mal avec le canard enchainé. Les scandales politiques ou sociaux sont dénoncés, La Une du journal Le monde publie quotidiennement un dessin caricatural de Plantu. L’interdiction du rire et notamment du rire subversif marque la dictature d’un pays. b. Peut-on rire de tout ?. Desproges disait : « On peut rire de tout mais pas avec tout le monde », ses propos avaient été tenus lors du tribunal des flagrants délires qui avait pour invité Jean-Marie le Pen. Il ajoutait : » Mieux

par exemple, une plus grande place à la religion. Et comme nous le montre également la déclaration d'indépendance des Etats-Unis, qui représente une première affirmation des Droits de l'Homme. Ils tentent de reconstruire sur les bases des sciences positives, en fondant par exemple leur espoir, sur l'industrialisation. 3) -Lecture cursive: 1984 Georges Orwell est un écrivain anglais né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde) et mort en 1950 à Londres. Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui

 Cela commence par un jeu et finit en dictature » (première de couverture)  Lycée Gordon, États-Unis, 1969. Tout commence dans la classe d’Histoire du lycée. Ben Ross, le professeur, projette à ses élèves un documentaire sur les camps de concentration et d’extermination de la Seconde Guerre mondiale. Les réactions sont alors différentes : choc, questionnement ou indifférence de ceux qui dormaient au lieu de suivre le film… Certains parmi les plus attentifs, comme Laurie Saunders (rédactrice

latine. Ces révolutions ont causé une instabilité des gouvernements. Les conséquences de cette crise au niveau politique sont la multiplication coups d’état (exemple en Argentine) et la mise en place de nouveau régime politique (exemple au Brésil : dictature). POINT DE PASSAGE : Roosevelt et le New Deal aux Etats UnisQuestion 1  : Avec la mise en place du New Deal, Roosevelt espère relancer l’économie grâce à des investissements par l’Etat. Il souhaite réduire le chômage, revoir l’utilisation

religion et de l’Etat, que l’on retrouve dans cet extrait, mais aussi du gouvernement de la science, qui est le troisième danger qui menace les masses. Cette critique constitue le chapitre 7, dans lequel il présente les abstractions de la science positive comme nécessaire et légitime, puisque, et contrairement aux abstractions de la théologie, de la métaphysique, de la politique et du droit juridique, ces abstractions ont au moins le mérite d’être vraies et expriment (cf. p.92) « la nature générale

présenter un monde parfait, la dystopie en propose un des pires qui puissent être envisagé. La différence entre dystopie et utopie tient plus à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu. En effet, après examen, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes. Cette forme littéraire a été popularisée par des romans devenus des classiques du genre : Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine, Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne (1940) de Karin

Peut on concevoir une liberté s ans lois ? Si l’on en croit Rousseau, « il n’y a point de libertés sans lois ». Cependant comme, l’histoire nous l’a prouvé il peut y avoir de lois qui privent les libertés a l’exemple des dictatures exercées dans la première moitié du XXème siècle comme l’exerçaient Hitler avec le Nazisme, Mussolini avec le Fasciste ou encore Staline avec le communisme….il ya donc une suspension totale des libertés. N’écrivant qu’être libre, c’est faire ce

attribuer la réception d'un méga-événement sportif, les organisateurs s'imaginent déjà les nombreuses retombées économiques positives et se frottent les mains. Arrivée massive de touristes, recettes de billetterie, boom pour l'hôtellerie et les restaurants, effet multiplicateur, hausse de l'emploi par la construction d'infrastructures ... il est vrai que le tableau des retombées positives, celui que les organisateurs et promoteurs peignent avec talent, semble plutôt ensoleillé avec plein de billets flottant