Une écriture Bleu Pâle

vingt ans. ● ● Ses idées marginales, antibourgeoises et libertaires le poussent à choisir une vie aventureuse, dont les pérégrinations l’amènent jusqu’au Yémen et en Éthiopie, où il devient négociant, voire explorateur. De cette seconde vie, ses écritures consistent en près de cent quatrevingts lettres (correspondance familiale et professionnelle) et quelques descriptions géographiques. Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature

au loin un parfum enivrant ; Les yeux fermés, l’oreille aux rumeurs entrouverte, On ne dort qu’à demi d’un sommeil transparent. Les astres sont plus purs, l’ombre paraît meilleure ; Un vague demi-jour teint le dôme éternel ; Et l’aube douce et pâle, en attendant son heure, Semble toute la nuit errer au bas du ciel. Victor Hugo, Les rayons et les ombres Mai Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s’éloigne

de l’écriture et des couleurs. Les phrases tel que « mon écriture s’assagit, se calme … » (L.15) et « bâtonnets d’un bleu-gris très pâle » (L.12) en sont des bons exemples. Dans le deuxième et troisième paragraphe, l’auteure décrit avec une grande précision, le passage de son nouvel apprentissage de l’écriture, ainsi que de la répétition. Comme «  je recouvre à l’encre noire des bâtonnets […] très pâle » (L.12) et « Je recouvre […] les pâle fantômes de bâtonnets » (L.23) Cette personnification de

poupée de porcelaine. Un teint pâle, mais ne lui donnant pas cet air de malade de naissance que bien des vampires possèdent. On admire souvent son regard d’un bleu électrisant, rappelant bien souvent le ciel de la belle Florence, ou les eaux les plus clair de la méditerrané. Se plonger dans son regard, c’est se noyer sans aucun moyen pour s’en sortir. Elle renforce son regard par un trait de crayon noir léger, mais le contour de ses yeux est maquillé d’un bleu pâle, touche superficielle chez elle

Normes Date de péremption B- Code couleur et organisation des informations Le code couleur serait plutôt clair ou pâle. Le bleu ciel, est adapté aux bébés, à la santé et à la douceur Le blanc, est adapté à la pureté, et la neutralité Le rose pâle, est adapté à la douceur et la féminité Pour l’organisation des informations présentes sur la boite en carton, il faudrait une écriture assez grosse en gras pour mieux lire, mettre l’identité sur le côté en largeur pour que cela reste discret. III-

retranscrives de manière étonnante notamment dans la précision de ces dernières comme nous le voyons :  « bleu gris très pâle » (l.12) et  « l’encre noire » (l.22). Du coup nous sommes plongés dans une écriture réaliste. Néanmoins on voit une personnification de l’écriture, celle-ci est présentée comme vivante : « mon écriture s’assagit, se calme … » (l.15). Ce souvenir est donc un épisode revécu ayant une énorme importance

allions séjourner. Il nous y emmena, avec mon compagnon de recherche Jaque de Montreuil, dans une petite voiture d'ancien modèle. L’hôtel était d'une taille moyenne, peint en blanc avec une grande porte en arc, décorée de motifs orientaux. Les volets bleu turquoise étaient en parfaite harmonie avec les murs, d'un blanc approprie aux nuages printaniers. Rayan nous donna, au rez de chaussée, les chambres numéro quatre et cinq, petites, peu éclairées et d'un décor somptueux. Des tissus de couleurs chamarres

Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa

Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa

Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil de la montagne fière, Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme  Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner