Une Conclusion Sur Le Comique De L

fable portera d’abord sur les aspects comiques du récit, puis sur la satire du prêtre. I. Le comique du récit • Des verbes d’action comme « s’en allait » (vers 1) et « s’emparer » (vers 2), et la périphrase « son dernier gîte » (vers 2) ont pour effet de dédramatiser le mort. • Les projets du curé : « l’achat d’une feuillette du meilleur vin » (vers 24-25), l’achat de cotillons pour sa nièce et sa femme de chambre provoquent un décalage comique. • Les situations initiales et finales

Commentaire composé « L’illusion Comique » Introduction Pierre Corneille est né en 1606 à Rouen et meurt en 1684. Mais avant ça, ce dramaturge a écris parmi ses trentaines de pièces, L’Illusion comique. Une œuvre pleine d’invention théâtrale. Cette pièce de théâtre en cinq actes est représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636. Ce ci compte l’histoire d’un père nommé Pridamant qui cherche son fils, Clindor, qu’il n’a pas vu depuis 10ans, il sera amené dans la Grotte d’un magicien

préconnue de Tartuffe ; celle d’un imposteur Il apparaît tout d’abord comme pétri de fausse dévotion Didascalie de début de scène « en apercevant Dorine » indique qu’il a vu la servante => il se compose immédiatement un masque d’hypocrisie = effet comique è montre ouvertement qu’il se mortifie « haire et discipline » & pratique la charité envers les pauvres v.8544 : dégouline de fausse piété : rajoute de l’exagération à ses paroles & prononce fort pour que Dorine entende bien è Il n’est que

comprendre a Manicamp car a chaque fois qu’il essaye, elle l’interromps et lui montre son affection. Folleville se sent donc pris au piège mais il est bien déterminé à annoncer qu’il ne souhaite pas se marié avec. En quoi cette pièce relève t'elle du comique ? Dans un premier temps nous verrons que ces deux scènes ont une fonction informative, ensuite nous verrons les procédés qu’utilisent les auteurs afin de rendre le début de cette pièce plaisant. I) Fonction informative des scènes. Nous retrouvons

dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage, M. Jourdain, un bourgeois qui se prend pour un noble, et qui est victime d’un subterfuge. La visée de cette scène est de faire rire à ses dépens pour

Les Acteurs de bonne foi Les Acteurs de bonne foi (1748), est une pièce écrite par Marivaux. Exemples de Problématiques : * étudiez la dimension comique de ces scènes * étudiez le rôle de Merlin dans ces trois scènes * qu’apprenons nous sur le théâtre dans ces trois scènes ? * comment la mise en abyme révèle t-elle l’importance de l’illusion théâtrale ? * comment le théâtre, art de la représentation, peut-il être à lui même son propre sujet ? Problématique à laquelle

Ce passage se caractérise par son registre comique marquée, propre aux échanges entre les valets (à l'inverse des échanges entre les maîtres, marqués par un comique plus subtil, lié à l'abstraction et à la préciosité1) 
Problématique : En quoi cet extrait est-il comique ? 
I) Le comique de situation 
a) Une situation qui s'inscrit dans une tradition théâtrale comique 
Inscription de la scène dans la tradition théâtrale : – de la farce2 : le comique naît de la situation stéréotypée du trompeur

COMMENTAIRE COMPOSÉ Le comique des scènes dans Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux Aujourd’hui encore, les théâtres se remplissent d’un public qui aime les comédies. Elles fonts rire, et surtout si elles sont des parodies de classe sociale. D’ailleurs, un classique du théâtre comique intitulé Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux est interprété par des acteurs depuis près de trois siècles. Dans cette pièce, ou l’amour se confronte à l’amour de sa condition sociale, le public est

outre, le comique, gestuel ou verbal, tourne en dérision des comportements et des valeurs communément partagés : tels l'Épicier et son sordide souci égoïste de l'argent ou le " chef ", ou encore le Vieux Monsieur empressé auprès de la Ménagère. Ces êtres utilisent fréquemment des clichés qui illustrent l'aliénation de l'individu par le langage. Celui-ci fournit des réponses toutes faites et épargne à chacun tout choix ou engagement personnel. En conclusion, le théâtre et les aspects comiques ont une

la question suivante : En quoi cette scène de séduction est-elle originale ? Après avoir montré en quoi la stratégie de séduction était singulière, je montrerai comment l’originalité de cette pièce de séduction tient aussi au mélange des registres comiques, lyriques et pathétiques. I-1. Un badinage plaisant et léger. Ainsi, Cyrano s’enflamme quand il évoque le baiser en ces termes : « Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer ». Il n’hésite pas à comparer le baiser à : « un bruit d’abeille »