Une Conclusion Sur Le Comique De L

- de réplique : monologue, dialogue, aparté… Quelques formes différentes du comique : le quiproquo, le dialogue de sourds, comique de situation, de gestes, de paroles. La mise en scène : jeu de la scène, différentes possibilités   LES FOURBERIES DE SCAPIN Molière et la pièce : Lorsqu’il écrit les Fourberies, Molière a 49 ans, il est au sommet de son art. Il a déjà écrit et joué une trentaine de pièces comiques, presque autant d’énormes succès. Avec cette pièce, il revient à la farce à l’Italienne

concourt à la conclusion que c’est le poumon qui est malade : anaphore . On peut d’emblée constater qu’il ne s’agit pas DES poumons ms DU poumon comme si on n’en avait qu’un (Toinette ne sait peut-être pas qu’on en a deux) De plus, le sg concentre la maladie als que le pl. la dissoudrait. Le dét. défini le met en valeur. Diagnostic parodique. -les questions de Toinette sont vagues, elle s’efforce d’ouvrir les réponses d’Argan sur lesquelles elle s’appuie pr tirer ses conclusions médicales. -«

remplit-elle ses fonctions d'exposition tout en illustrant les principes du drame romantique ? Pour ce faire, nous allons suivre un plan en 2 parties, 1. P1 : Des personnages contrastés dans un cadre spatio-temporel défini 2. P2 : Un registre tragico-comique ◦ P1 A) Nous pouvons observer un contraste assez important entre les deux personnages qui semblent êtres les personnages principaux de cette première scène, en effet, Lorenzo est un personnage cynique mais lyrique. Il avoue avec insolence

PIÈCERoméo et Juliette mêle comique et tragique. Justifiez cette affirmation en choisissant un exemple pour chaque aspect de la pièce. IV) LA DIMENSION ARGUMENTATIVE DE LA PIECEMontrez qu’à travers ce drame, Shakespeare dénonce - au niveau social : le poids de la famille, l’omnipotence des pères- au niveau politique : les conflits dans son pays au XVe et XVIe siècle (cherchez par exemple à quoi correspond la « guerre des deux Roses »)V) CONCLUSION  : Reliez la pièce au

La poésie comique <-amusement Pour le commentaire, la problématique doit s’inspiré de la question et de la dissertation Faire une étude comparative Questions : Hugo : La chute du poème, comique de caractère, très maladroit, naïf Gros : Répétition, désacralisation, désacralise la poésie Jacob : Comique de mot <- paronyme Queneau : Comique de situation : il écrit un poème sur l’idée d’écrire, vocabulaire familier<-« merde » Introduction et Conclusion : synthèse comparative

que favorise, peut-être, l'atmosphère de crise et les inquiétudes sociales. Ce regain de popularité a même conduit les politiques à éveiller la méfiance du public sur  l'influence jugée trop importante des humoristes et autres marionnettistes. Les comiques influencent-ils l'opinion ? Si oui leur rôle est-il trop grand ? Nous verrons que l'influence des humoristes reste limitée même s'ils peuvent contribuer à renforcer des tendances et qu'elle ne s'exerce pas de la même manière dans tous les domaines

politique du rire ? », publié dans Le Monde, le 29 mai 2010 de Jean-Marc Moura ; l'autre publié dans Libération, le 27 mars 2010 intitulé « Quand les politiques bouffent du bouffon » de Bruno Icher et Gilles Renault, puis un extrait de l'ouvrage « Conclusion » de Yves Derai et Laurent Guez, Le pouvoir des Guignols de 1998 ; et enfin, un dessin qui a pour nom «  Bonne année 2009 » du dessinateur Plantu. Nous allons donc dans un premier temps, montrer les fonctions du rire en politique, puis nous nous

1) Le rire (comédie) Le public, en venant voir une comédie cherche avant tout à rire et à s’amuser. Les comédies sont des pièces en 5 actes qui jouent sur le comique de mot (en mettant en place des quiproquos ou des blagues), le comique de geste (en faisant des gestes drôles), le comique de situation (une situation drôle) ou encore le comique de répétition (quelqu’un qui répète la même chose). Les personnages d’une comédie sont généralement de condition moyenne. L’auteur doit donc penser tout au

réalité comme avec Pirandello qui a vraiment existé. L’auteur révèle son état d’esprit, son caractère. C’est comme du pitoyable pathétique avec l’auteur qui n’arrive pas à s’opposer au directeur avec des antithèses « maitresses », « pauvre ami ».Le comique apparait avec l’auteur qui tolère la familiarité du directeur. L’auteur se défend et se sent touché par les remarques des critiques, il maitrise mal sa carrière avec des fours et un sucé. Donc il y a un artifice de la double énonciation et l’auteur

description dans laquelle le narrateur fait référence au « village », aux « poignets rouges, habitués à être nus », aux « souliers forts, mal cirés, garnis de clous ». Le ridicule de Charbovari est également mis en évidence à travers le comique. Ce comique passe par un comique de situation : « la casquette tomba, il la ramassa » ; la casquette met en évidence le caractère déplacé de Charles et contribue aussi à faire ressortir sa maladresse et son mal-être. Le narrateur, pour poursuivre sa critique, nous