Une Conception éthique Des Objets Est Elle Possible Dans

tout-puissant 24 a. Le mal vient de la matière 24 b. Le mal vient des créatures (libre arbitre) 24 c. Dieu n’est pas cause des détails 25 Conclusion 25 C. L’aliénation religieuse (Marx, Nietzsche, Freud) 26 1. Paradoxes éthiques et esthétiques 26 2. La religion est un instrument d’aliénation et de domination sociales (Marx) 26 3. La religion est négation de la vie (Nietzsche) 27 4. La religion est la névrose de l’humanité (Freud) 29 III. La fin de la religion 

RECHERCHE :peut être fondamentale ou appliquée La recherche fondamentale Les chercheurs comme Milgram étudient un aspect du comportement sans penser aux applications possibles des résultats de leur recherche à la vie réelle. La recherche fondamentale est habituellement menée dans les universités ou dans les laboratoires de recherches. OBJETS : vérifier de nouvelles théories et des modèles de comportement BUTS :avancement des connaissances Se fait dans tout les principaux champs de la psychologie

l'interprétation, la relation des textes au monde, etc.) y sont abordés dans un effort pour répondre à la question " À quoi sert la littérature ? " (" qui a failli servir de titre à ce volume ", apprend-on page 199). Autrement dit, ce livre a surtout pour objet d'établir ce qui fait l'intérêt de la littérature, ce qui justifie qu'on s'y intéresse et qu'on la promeuve. L'objet de ce livre, c'est encore, comme le signale son sous-titre, l'expérience littéraire — ce que " fait " un texte littéraire à son lecteur

doctrine de Leibniz, suivant laquelle la force représentative et la force motrice participent l'une de l'autre et se supposent réciproquement. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c'est-à-dire les mathématiques et la physique) [2]. Plus tard, il créditera aussi l'astronomie de nous avoir « appris bien des choses étonnantes », dont la plus importante est qu'elle nous a « découvert l'abîme de l'ignorance, dont la raison humaine

où le hasard règne, la science n’a pas cours. Cependant ce point de vue ne verrait le hasard qu’en négatif de la science, et la science comme incapable d’atteindre une part du réel. Mais d’autre part, le hasard est aussi souvent envisagé comme un objet de la science. Dans ce cas, la science dispose d’une capacité de connaissance du réel plus grande. Il n’est toutefois pas évident que le hasard soit envisagé dans son entier. Par ailleurs, chacune de ces notions a rapport à la même chose : le réel

que recouvre spécifiquement la subjectivité du bonheur (« mon bonheur ») et dans un deuxième temps de caractériser la socialisation du bonheur (« celui du plus grand nombre »). Ceci devrait permettre, ensuite, de vérifier si une compatibilité est possible. Que recouvre « mon » bonheur ? N’est-ce pas une gageure ? « Mais, par malheur, le concept du bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et

(1). Que l'on adopte cette définition ou qu'on lui préfère une variante marquant son appartenance à un genre des « ordres », « commandements », « impératifs » ou encore des « directives », il n'est guère contesté que toute règle juridique a pour objet une conduite, par là même imposée, interdite ou permise. Dans son champ de validité, tout ordre juridique répartirait les actions humaines en licites (prescrites, positivement permises, ou indifférentes) et illicites (actions prohibées ou abstentions

épistémologiques *Aspects techniques *Dimension éthique du travail L'HYPOTHESE DE L'INCONSCIENT *Livre Résultats, idées, problèmes, Article « Intérêt de la psychanalyse » pour les sciences autres que la médecine. *Quel est l'intérêt de cette présentation de l'inconscient ? → démystifier la notion de l'inconscient. *Totems et tabous, Freud. FREUD pose les fondements du droit. COOPERATION ENTRE LA PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET LA JUSTICE *Voies possibles de coopération. *Intérêts et limite de l'expertise

sans l'assurance d'avoir examiné toutes les possibilités, on ne peut jamais être persuadé d'avoir atteint la "vérité", ou tout du moins d'être arrivé à la conclusion la plus acceptable. D'un point de vue philosophique, il est par exemple tout à fait possible d'adhérer à la peine de mort, à condition que le sujet ait été envisagé sous tous les angles, en toute objectivité. En cela, la philosophie peut aider celui qui la pratique à vivre mieux : ce dernier est en effet obligé de chercher en lui afin de

intensification du travail 4 L’utilisation des services en ligne : l’envolée sauvage ? 6 Sommaire nes se situent dans une question éthique : celle de la responsabilité face aux généra- tions futures. Le principe de responsabilité selon Hans Jonas La plupart des auteurs situent le principe de précaution dans la filiation directe d�une ré- flexion éthique, ouverte par le philosophe al- lemand Hans Jonas (1903-1993) dans son li- vre �Le principe responsabilité�. Jonas s�in- terroge sur l�évolution