Un Simple Soldat

désorganisation avec sujet et verbe séparés du COS par une comparaison :"les soldats regardaient, comme des feuilles mortes, tourbillonner au loin, les archers de Phraortes" => caractère ambiguë du sens de la phrase (qui se rapporte aux "feuilles mortes" ?) -abattement des soldats, lassitude physique "la sueur coulait de leurs visages bruns" et morale "d'un œil morne" on ne sent pas dans un 1er tps l'enthousiasme de la victoire chez les soldats - attitude passive et immobile lourdeur des 2ème et 3ème phrases

2. La déshumanisation des hommes de guerre - soldats déshumanisés, réduits à la bestialité * hommes comparés à des bêtes ou à de la "chair à canon" : §2 "troupeaux, viande humaine, brutes, plaines de chair pilée, crever" * abrutissement des conditions de guerre "coucher dans la fange, vivre comme des brutes dans un hébètement continu" - dualité des hommes de guerre : à la fois victimes (soldats "chair à canon") et coupables des atrocités : * simples exécutants qui agissent mécaniquement aux ordres

DANS L’ARMEE DE TERRE Etat-major de l’Armée de terre Paris, mars 2000  PREAMBULE Le " Code du soldat de l’Amée de terre " et son guide s’inscrive dans le droit fil du document " L’exercice du métier des armes dans l’Armée de terre : fondements et principes ". Un code nécessaire Trois considérations ont précidé à l’élaboration du Code du soldat : . -Quelle que soit la part accordée à la technique, par sa compétence, sa psychologie, son moral, ses qualités

qu'il peint « Massacre en Corée » L’œuvre : Cette œuvre a été réalisé au XXème siècle, en 1951. Dimension : 1,10m x 2,10m Courant artistique : Cette œuvre appartient au cubisme, dans les années 50 il s’inspire de Goya et le Tres de Mayo. Les soldats et certains visages sont traités de manières géographiques. Le contexte historique est la Guerre Froide, (1947-1991), il y a opposition des 2 Blocs (communiste et capitaliste) par pays interposés. La Corée du Nord communiste envahit la Corée du

de Notes ») qui a la même ambition. Une première partition s’opère dans le verbe – « vécus » - au passé simple. « Animula vagula blandula » était au passé composé et au présent, dans une proximité psychologique maximale avec l’acte de narration. Le temps qui est ici relaté – et le « je » qui y est plongé - est un temps non seulement accompli, mais révolu ; à ces valeurs ordinaires du passé simple, s’ajoute une coloration : celle d’une distance, et d’un « étonnement » du vieil homme qui raconte devant

confronter au quotidien. Parallèlement, les récits d'un jeune soldat japonais engagé dans le conflit sino-japonais nous intriguent. Il nous fait part de son quotidien sur les champs de bataille, les terribles expériences qu'il doit affronter pour défendre sa patrie. Deux destins qui ne devaient pas se rencontrer, deux nationalités qui se rivalisent, deux personnes qui ne devaient pas s'aimer… Mais pourtant, lorsque le jeune soldat s'assoit à la table de la jeune fille qu'il surnomme "la Chinoise"

Les actions humanitaires. Les enfants soldats ne sont pas des générations perdues, 300 000 enfants sont toujours exploités dans le cadre des conflits armés dans le monde. C’est pourquoi il faut continuer à se battre afin de réinsérer ceux qui ont pu être libérés et pour prévenir de nouveaux recrutements. Sans instruction et sans formation, sans travail ni perspective d'emploi, les jeunes démobilisés représentent un véritable vivier pour le banditisme et la délinquance. Sans oublier qu'ils restent

sommes nous passés de la guerre de position à la guerre des tranchées ? La guerre de mouvement a permis de démontrer que les forces en présence ne sont pas capables de se vaincre militairement et que la victoire passera par l'usure du moral des soldats, de la population, de l'économie … le plan Schlieffen Le plan Schlieffen est la stratégie allemande prévoyant une offensive sur la France en passant par la Belgique et le Luxembourg ( pays neutres ).Ce plan n'envisageait pas de prendre Paris de

géométriques simples mais contradictoire DE guerre Il y a un réseau complexe de ligne oblique qui se croisent. Le chaos ! Panneau 3 (C ) Prédelle (D ) destruction, l'horreur Le soldat Lourdement équipé : le BARDA vu de dos donc indifférencié Corps éclatés, démembrés, éviscérés, violence des armes, la mort est omniprésente Les secours sont difficiles donc souvent mort d'une longue agonie Peur de la mort, besoin de repos Intention du Peintre Montrer la dépersonnalisation : le soldat est pris

nuit. Le lendemain, Adrien part à la guerre, laissant Clémence seule dans son appartement Lors des premiers jours de la guerre, Adrien part avec deux autres soldats faire une reconnaissance au bord de la Meuse pour un projet de construction d’un pont sur la riviere. Lors de la reconnaissance, ils se font attaquer, les deux soldats meurent et Adrien reçoit un éclat d’obus au visage. Il se réveille dans un hôpital de Paris, où on l'emmène dans un service réservé aux officiers. Il a perdu ses