Un Simple Soldat

mort d'un colonel et d'un soldat, est l'occasion pour Céline de faire la description décalée d'un véritable carnage et d'exprimer avec virulence son antimilitarisme.… Nous étudierons cet extrait en deux parties : premièrement nous parlerons de la description décalée du carnage de la guerre. Ensuite nous découvrirons l’expression du refus de la guerre du jeune soldat. Dans cette première partie nous parlerons de la description décalée d’un carnage. Ferdinant jeune soldat, banalise la guerre dans

description d’un jeune soldat entrain de dormir dans le Val, ce qui justifie le titre. Les deux tercets insistent sur la profondeur de ce sommeil. Sans employé le mot mort, Rimbaud veut faire comprendre que le corps de ce soldat qui dort profondément n’est autre que celui d’un cadavre, qui a été victime de la guerre. Le dernier vers provoque un effet très brutale chez le lecteur, en effet il contraste avec tous les autres vers, puisque jusque celui-ci on croyait que le soldat se reposait paisiblement

qu'on oublie pas le sort qu'on a réservé principalement aux soldats, avec le soucis majeur de le faire avec la plus grande objectivité. Mais aussi de faire passer un message de manière sarcastique aux autorités qui déclenchent la guerre, sans y participer de manière active. L'auteur ne s'exprime pas beaucoup en « je » mais plutôt en « nous » comme par exemple en page 108 : «  Nous commençons à croiser parmi nos hommes des soldats en capote bleue, les gars du 135ème ». L'auteur nous donne

Lorette"), a été écrite par plusieurs auteurs inconnus (pour des raisons évidentes : Elle a été interdite en France jusqu’en 1974 à cause de ses paroles qui appellent à la mutinerie des soldats alors que la France a participé à plusieurs guerres durant le XXème siècle.) en 1917. Il s’agissait sans doute de soldats mobilisés pendant la première guerre mondiale. Cette chanson est apprise par cœur et se diffuse oralement de manière clandestine. La version la plus connu est celle publiée par Paul Vaillant-Couturier

à eux, « le vainqueur siffle et passe » (V.5), les soldats ont une attitude joyeuse, gaie voir désinvolte, ce qui peut signifier que ce n’est qu’une simple mission pour eux et qu’ils sont juste de passage pour les tuer. L’utilisation d’une question au vers suivant « Où va-t-il ? » suscite l’intérêt du lecteur et la réponse « Au trésor, toucher le prix du sang » nous informe que les soldats ne font ça que pour de l’argent. La présence de soldat entraîne la mort, comme nous le prouve ce quatrain où

C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

qu'Ari Folman souligne en quelque sorte l'irréalité de la guerre, où les soldats sont dans des états seconds, bombardant tout ce qui bouge autour d'eux : après tout, celle-ci n'est pas représentée dans les souvenirs eux-mêmes altérés par le temps ? De plus, même si c'est un dessin animé, ce film est un documentaire : des personnes réelles ont été interviewées pour raconter leurs souvenirs de la guerre : anciens soldats, présentateur télé ou professeur. La véracité des faits est donc vérifiée

C'est dans ce contexte particulier que le peintre réalise cette oeuvre afin de rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. 2. Dans le panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) soldat francais , tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, ( ce qui peut faire allusion à tout les homme partis et

facteurs sont pris en compte ce qui ne rend pas si simple le choix. Dans son deuxième moment , Sartre nous montre la responsabilité de l'homme. L'homme est donc libre , « il s'agit d'un choix » , vu qu'il la choisit il n'a pas à se plaindre , tout ne dépend que de lui seul . « A la guerre il n'y a pas de victimes innocentes » , pour Sartre , seuls les civils qui n'ont rien demandés sont innocents ( enfants , ceux qui ont dit non etc.. ), les soldats morts ne sont pas innocents car ils l'ont choisit

refuse d'aller en Indochine. L’Univers de Tardi est facile à résumer: les faubourgs de Paris, les anars, quelques monstres, des soldats et la guerre, et, partout, la misère qui poisse, la révolte… L’œuvre de Tardi est très explicite. Son travail sur la première guerre mondiale (C’était la guerre des tranchées) est salué unanimement. Il évoque en particulier les soldats fusillés pour l’exemple. Son grand-père avait était gazé pendant cette guerre. De ses choix d’auteurs (adaptés, illustrés comme: