Un Roman Doit Instruire Son Lecteur

distances avec les philosophes. 1745 : Mémoires d’un honnête homme où héros essaie de créer un équilibre entre la foi et la passion (inachevé). Dans romans de P, présence du mythe personnel de l’auteur. Motifs récurrents : * un héros jeune opposé aux figures de l’autorité dualité qui crée la dynamique du roman : passion/raison ; père/fils. * Malédiction, obscure fatalité qui pèse sur le héros et qui le condamne à une errance spatiale, sentimentale

Jean de La Fontaine, né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry et mort le 13 avril 1695 à Paris.Il est un poète français de grande renommée, Principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure pour ses contes. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Contrairement à sa légende d’éternelle distrait La Fontaine à constamment été un observateur et un commentateur des événements

l’exercice de la raison et de l’esprit critique. NB Dumarsais présente la vérité comme étant la « maîtresse » du philosophe. =>Les philosophes des Lumières refusent l’autorité de la tradition établie car l’esprit critique doit pouvoir s’exercer en toute liberté. Aucun domaine ne doit échapper à son analyse.  Combats communs : lutte contre l’intolérance religieuse, la tyrannie politique, l’ignorance, la censure, l’inégalité entre les hommes.  Les philosophes se heurtent ainsi souvent aux pouvoirs en

de Voltaire) ; – roman/apologue : Le Petit Prince de Saint-Exupéry, L’Alchimiste de Coelho… – utopies : l’abbaye de Thélème dans Gargantua, Les voyages de Gulliver de Swift… – contre-utopies : La Ferme des animaux, 1984 de G. Orwell, Fahrenheit 451 de Bradbury… • Mais recourez aussi à d’autres genres : – pièces de théâtre à teneur argumentative : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L’Île des esclaves, la Nouvelle Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco, Rhinocéros… – romans : Hugo, Les Misérables

tragédie, nouvelle, roman) et que l’on différencie les registres de langue. - l’établissement de règles et contraintes : comme dans le théâtre avec la règle des trois unités (unité de lieu, de temps et d’action) prescrit par Boileau : «  Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli/Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. ». La règle de bienséance également, on ne doit pas dire ni écrire n'importe quoi ; il faut se conformer à un idéal moral. Il ne faut pas choquer le lecteur et le public. Tout

Voltaire) ; – roman/apologue : Le Petit Prince de Saint-Exupéry, L’Alchimiste de Coelho… – utopies : l’abbaye de Thélème dans Gargantua, Les voyages de Gulliver de Swift… – contre-utopies : La Ferme des animaux, 1984 de G. Orwell, Fahrenheit 451 de Bradbury… • Mais recourez aussi à d’autres genres : – pièces de théâtre à teneur argumentative : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L’Île des esclaves, la Nouvelle Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco, Rhinocéros… – romans : Hugo, Les

parle d’amour, de bonheur. On peut donc se demander si la poésie doit assumer une réflexion grave et sérieuse plutôt que d’aborder des thèmes doux et légers. Le poète ressent le besoin de s’exprimer sur des sujets noirs et cela peut être instructif. Cependant, l’un des rôles de la poésie n’est-il pas aussi de divertir le lecteur ? Le poète n’écrit-il pas pour accéder à un monde meilleur et apprendre à vivre ? La poésie doit assumer une réflexion grave et sérieuse pour répondre à des grandes

peu naïf. Un truc de gosse. L'idée était bonne mais je ne savais par quel bout prendre le poisson. Je tombais dans le Bambi de Walt Disney. Alors, j'ai forgé x versions. J'ai dû en faire une trentaine. Chaque fois, j'apprenais une autre technique de roman. » Entre-temps, des études de droit et de criminologie laissaient à Bernard Werber le loisir de s'occuper de son journal parfumé, à Paris. Un succès qui se heurta cependant à l'absence de moyens. « Pas facile de trouver cent briques... », soupire

pour son époque post Révolution, il veut réformer la société. Il propose un système éducatif et un code pénal. Il se prononce en faveur de l’éducation et du droit vote des femmes. Selon Condorcet, « on peut instruire la masse entière d’un peuple »l7, autrement dit, il pense que chaque individu doit être éduqué. On peut citer également la phrase : « Même pour ceux qui ne peuvent donner à l’étude qu’un petit nombre de leurs premières années et dans le reste de leurs vie quelques heures de loisir. » Il

nous déranger ». On découvre une antithèse entre les verbes paraître et devoir : on comprend alors que la fable donne une fausse impression. Egalement, l’antithèse entre « rassurantes » et « inquiéter », « déranger » nous fait comprendre que le lecteur n’a pas forcément la bonne réaction face à la fable. On peut dès lors s’interroger sur l’impact des fables et l’enseignement que l’on peut en tirer. Il conviendra en premier lieu d’étudier les côtés rassurants de la fable, puis dans un second temps