Un mari idéal

Sylvia et Lisette avec des didascalies externe repris dans la réplique de Sylvia : « vous travaillez a me fâcher Lisette ». Egalement est présent la mention de Orgon dans la périphrase « Monsieur votre père », et celle du futur mari de Sylvia « votre futur ; amant ; mari » ce qui définie leur relation, c’est un indice dénonciation. Tout comme l’emploi du tutoiement par Sylvia «Que tu es folle » et du vouvoiement par Lisette «Je vous dis». Sylvia exprime une tournure injonctif qui désigne un ordre

chapitre est destiné aux circonstances de la création de l’abbaye, son architecture, et ceux qui sont destinés à y habiter. Le chapitre 55 expose la manière dont on y vit. Problématique : «  En quoi l’auteur décrit ici un système basée sur des idéaux humanistes ? » Axe I : Parce que c’est une abbaye peu banale : Les gens peuplant l’abbaye - Dans une abbaye, voeux à l’entrée : or, ici, vie basé sur la tenue, les loisirs : « propres» ; « tant mignonnes, moins fâcheuses » champ lexical

ommentaire composé : Victor Hugo, Les Misérables : Le jardin abandonné Texte étudié : Le jardin de la rue Plumet : un jardin abandonné, refuge idéal pour Jean Valjean et Cosette. Ce jardin ainsi livré à lui-même depuis plus d'un demi-siècle était devenu extraordinaire et charmant. Les passants d'il y a quarante ans s'arrêtaient dans cette rue pour le contempler, sans se douter des secrets qu'il dérobait derrière ses épaisseurs fraîches et vertes. Plus d'un songeur à cette époque a laissé bien

COMMENTAIRE COMPOSE VOLTAIRE Introduction  Phrase générale : Voltaire, philosophe des lumières, dénonce les injustices du XVIIIeme siècle, et notamment un type d’esclavage particulier = dépendance de la femme par rapport au mari  Présentation du passage : genre différent à préciser entre le dialogue et le récit La Maréchale de Grancey mécontente d’une phrase « Femmes, soyez soumises à vos maris », dans Epîtres de St Paul et expose son point de vue.  Problématique : comment

témoigne, l'Avare de Molière pièce de théâtre datant de 1668 traite à travers le comique et la moquerie, la hantise de la dépense et du vol par le biais du personnage "Harpagon ". Harpagon,un horrible vieil homme avare,veut se marier avec la femme que son fils aime,et veut marier sa fille à un vieil homme, car celui-ci ne demande pas de dote. Par ailleurs, d'autres textes littéraires veulent présenter des exemples concrets afin d'impliquer le lecteur de façon directe. En effet, l’Assommoir de Zola

peut chercher à transmettre un message, une opinion à travers son personnage. Rabelais, contrairement à de nombreux de ses contemporains, n'écrit pas en langue latine. Il utilise la langue barbare, s’adresse au peuple peu instruit et lui transmet son idéal humain : un homme libre, généreux, pacifiste, mais également cultivé et sage. Ainsi il présente deux oeuvres qui traverseront l'Histoire littéraire : Gargantua (1534) et Pantagruel (1532). Derrière un langage grossier et un ton léger, Rabelais peint

maîtresse de son père, le roi François premier ; « les couleurs et les chiffres de Mme de Valentinois paraissent par tout, et elle paraissait elle-même avec tous les ajustements que pouvait avoir Mlle de la Marck, sa petite fille, qui était alors à marier » (l. 12-15). En effet, cette duchesse s’avait emparé de l’amour total du roi puis que cette passion avait « commencé il y [a] plus de vingt ans » (l. 5-6). En suite, Catherine de Médicis (1519-1589), devenue Reine de France en 1533, était réputée

l’on fait de la chirurgie esthétique aujourd’hui sont-ils en contradiction avec ses objectifs initiaux ? Sommaire : Introduction………………………………………………………………………p.2 I. Le développement de la chirurgie dans l’histoire : à la recherche d’un idéal féminin. 1) Les canons de la beauté féminine au fil du temps………………………..p.3-7 a) Naturel/artificiel…………………………………………………….p.4 b) Figure maternelle/nymphe…………………………………………….p.5 c) L’épouse bien portante/la garçonne……………………………………p

fille. Dans sa jeunesse, chez sa tante, n’a pas été facile; toute l’attention de sa tante était pour Camille, son fils. Dès l’arrivée de Thérèse chez sa tante le but de Mme Raquin était de marier ses 2 enfants. Thérèse était donc avec un homme qu’elle considérait comme son frère et qu’elle n’aimait pas comme mari. Elle se trouva donc un amant qu’elle aimait pour satisfaire enfin son coeur. A cause de ça elle s’est emporté et voulu son amant pour toute la vie et ce sans se cacher. Cette jeune femme

Simon-Jacques et de la baronne Adélaïde, est une jeune aristocrate qui, pour ses dix-sept ans, quitte le couvent pour commencer une vraie «vie». Elle s'en va donc de chez elle avec son père et sa mère qui lui lèguent un château pour y vivre avec son prochain mari, qu'elle rencontrera d'ailleurs dans les quelques jours suivants sa sortie du couvent, Julien De Lamare, qui (elle le découvrira après leur mariage) est un véritable avare et égoïste. Il trompera Jeanne avec sa domestique Rosalie, puis avec une voisine