Un homme pour l'éternité

où un homme né avec une cervelle d’or, dépense son argent par amour jusqu’à mourir de chagrin. L’extrait nous raconte la rencontre amoureuse du héros, un des moments du conte traditionnel que tout le monde attend. Cette relation est ambiguë, c’est la rencontre de deux êtres différents pour un amour particulier. D’un coté, la jeune femme insignifiante, seulement « mignonne », sans qualité particulière mais sans défauts considérables, sauf quelque « caprices ». Et de l’autre côté, un homme à la cervelle

comme toute prière, il y a une adresse à toute divinité. b) le texte traduit la grandeur divine : la grandeur du dieu est signalée par un registre hyperbolique : anaphore de l'indéfini « tous » l1-2 (monothéisme : la toute puissance et l'éternité de la divinité) la grandeur du dieu suppose la faiblesse de l'homme : faibles créatures perdues ….univers >>hyperbole : immensité.......univers c) expression de la supplication : impératifs l5 daigne et l7 fais que subordonnée

Dans tout l'enivrement d'un orgueil sans mesure, Ébloui des lueurs de ton esprit borné, Homme, tu m'as crié : « Repose-toi, Nature ! Ton œuvre est close : je suis né ! » Quoi ! lorsqu'elle a l'espace et le temps devant elle, Quand la matière est là sous son doigt créateur, Elle s'arrêterait, l'ouvrière immortelle, Dans l'ivresse de son labeur? Et c'est toi qui serais mes limites dernières ? L'atome humain pourrait entraver mon essor ? C'est à cet abrégé de toutes les misères Qu'aurait

pour Breton: Pour lui, "l'amour sera" et l'art, réduit à sa plus simple expression, c'est déjà de l'amour. La beauté ne pourra "se dégager" que du sentiment poignant de la chose révélé, que de la certitude intégrale, qui est en raison de sa nature Homme . - Pour Breton beauté = femme qui est celle qui dénonce le mystère du monde, une Fée. Breton est persuadée que la femme est avant tout une amante. C'est l'incarnation de la beauté au sens réaliste. Dans L'Amour Fou, Breton fait une rencontre

la rencontre du philosophe catholique Maurice Blondel (1861-1949) ainsi que celle d’Henri Bergson(1859-1941) (dont il deviendra un des exécuteurs testamentaires) qui détermineront le jeune philosophe agrégé à préparer son doctorat sur le temps et l’éternité chez Plotin et Saint Augustin (1933). Il s’agit là de son œuvre philosophique majeure. Professeur aux lycées de Troyes, de Moulins, de Lyon puis à la faculté de Montpellier avant la guerre, il est fait prisonnier de juin 1940 à juin 1945. Professeur

Ainsi, en faisant l'éloge de la folie, la narratrice oppose cette dernière à la sagesse, qui selon elle nuit aux hommes et les empêche d'être heureux : « Seule la Folie conserve la jeunesse et met en fuite la vieillesse fâcheuse » Le fou est donc un homme heureux « apportant plaisirs et joie à chacun », jouissant de ses passions, possédant plus de passion que de raison. Cette folie humaine émanerait des femmes, et viserait le plaisir, inventant la fête afin de se détourner de l'ennui. Sans la folie

Auteur : Hume Citation 4 : "Le génie ne fait rien que d'apprendre d'abord à poser des pierres, ensuite à bâtir, que de chercher toujours des matériaux et de travailler toujours à y mettre la forme." Auteur : Nietzsche Citation 5 : "Subdiviser un homme, c'est l'exécuter, s'il a mérité la peine de mort; c'est l'assassiner s'il ne la mérite pas. La subdivision du travail est l'assassinat d'un peuple." Auteur : Engels Citation 6 : "Ce qui fait la valeur morale de la division du travail .. c'est que

allégorie de la mort. Il est reproché à Dom Juan d’être libertin, d’avoir oublié le temps = homme du plaisir de l’instant et du présent continuellement renouvelé par l’inconstance. Dom Juan n’éprouve ni regrets, ni remords, l’échéance de la mort n’a pas d’intérêt pour lui. Il refuse d’admettre l’existence d’une durée soumise à la loi divine. Un combat va opposer l’être de l’instant à celui de l’éternité. Le combat final avec le surnaturel est mené par la statue du commandeur = une représentation

l’Égypte ancienne. L’écriture a été et est toujours très importante pour permettre à un peuple de comprendre un autre même disparu. Les livres, les histoires, sont les gardiens d'un héritage de l'humanité... On se transmet des histoires depuis l'éternité, ou presque. Seulement et seulement si la génération suivante a appris à lire !! Il est capital de préserver l’apprentissage de l’écriture et de la lecture, d’offrir aux enfants un enseignement de qualité. Cela commence donc bien sûr par la sauvegarde

comprise, et as vu à travers ce geste la possibilité que je t’appartienne. Mais je n’appartiens qu’à moi seule. J’aime à faire ce qu’il me plaît et non ce qu’il plaît à autre. Je suis libre. Et toi croyant que j’étais en ta possession tu as tué cet homme avec qui je m’amusais. Comme je le prédisais ce n’étais que le début de ta déchéance qui te conduirait à me tuer et ta mort. Je vais te révéler qui je suis réellement : Je suis la bohémienne par excellence. Libre comme l’est le vent. Ardente comme