Un homme pour l'éternité

qui attend qu'il sorte de sa couveuse pour serrer son bébé dans ses bras, sain et sauf. Une semaine : interroge un homme qui travaille dans une usine ou dans une mine pour nourrir sa famille. Un jour : demande à deux amoureux transis qui attendent de se retrouver. Une heure : questionne un claustrophobe, coincé dans un ascenseur en panne. Une seconde : regarde l'expression d'un homme qui vient d'échapper à un accident de voiture, et un millième de seconde : demande à l'athlète qui vient de gagner

pour le mieux Quand on aime, On est dans un beau rêve sans fin On est tout simplement bien - Saida Zenagui – Mon Homme, Mon Amour Mesdames, Le plus bel homme est dans mes bras Et me séduit encore à chaque fois Que son doux regard se pose sur moi. Dans ses yeux, Je vois que le monde est plus beau, Qu'il est à nous pour toujours Et qu'il nous réserve l'éternité. Dans ses baisers, Je ressens cette flamme qui nous unis, Cet amour qu'il porte pour moi Et cette passion qui ne s'éteint

« surréalisme » En définitive : poète partagé entre tradition et modernité Le poème en particulier et ses caractéristiques : « Per te praesentit aruspex » appartient à la poésie régulière : sonnet en alexandrins. Témoignage d’amour éternel, d’un homme à une femme mais aussi d’un artiste à son art. Titre emprunté à une phrase du poète latin Tibulle : « par toi l’haruspice pressent/comprend les signes du destin » > dans la religion romaine, l’haruspice était un prêtre chargé de prédire l’avenir, d’interpréter

causalité aristotélicienne. II/ Le créateur n’est pas humain. Est-il divin ? 1) Le démiurge, un dieu artisan. 2) Le temps et l’éternité (selon st Augustin), deux facteurs essentiels. 3) Problème de la période antérieur à l’existence du monde. Problème de la conception d’éternité. III/ Comment créer ? 1) L’artiste génial, un créateur entre un dieu et un homme ? (Kant) -> ANNEXE : Une teinte de

des saisons ; l’immensité de l’univers ; la lune ; le soleil. Les mortels n’ont jamais cessé de réfléchir à l’origine de tout ce qui est. Ils cherchent à posséder une vision cohérente de leur existence. Mais cette vison reste singulière car chaque Homme au cours de sa vie, fait un choix déterminé par sa culture. Il aborde la question d’une façon peut-être religieuse en évoquant Dieu comme créateur. Ou alors, il s’oriente vers une pensée plus libre et scientifique en faisant référence au naturaliste

se trouve en Grèce où l'océan est la mer méditerranée et les colonnes le Panthéon d'Athènes. La présence de l'éternité du lieu est aussi présente dans le texte. La répétition de l'adverbe « toujours » (x5) montre une suspension du temps. La description des saisons montre que ce lieu n'est pas nouveau mais la métaphore du mot « hymen » définit cet utopie comme nouveau, vierge de tout Homme. Ce qui connote que le lieu est encore sous sa forme de Jardin D’éden, un lieu saint, verdoyant de verdure.

funéraires, ou aux enterrements, et qui est bien effectivement un signe "de loin", car le mort est déjà parti très loin. Enfin ce texte se termine sur l'espoir d'un au-delà, espoir qui apparaît même comme une certitude, puisque "le port commun Est l'Eternité". La métaphore liant les vaisseaux aux hommes est donc filée du début à la fin du texte, tandis que l'auteur répète que la mort est le destin promis à tous. Cependant ce destin n'est nullement tragique: le port évoque aussi le repos après l'activité

nullité ; », « homme médiocre » ou encore « Quand on mesure l’homme et qu’on le trouve si petit ». Ainsi, par des poésies de « critique », les poètes fortifient les hommes dans leurs pensées et ce procédé leur permet d’être rassuré ou réconforté. Pour finir, la poésie a l’aptitude de transformer le « pire », de le déguiser, lui donner une autre apparence. Dans La nuit surtout de Cadou, le poète se charge d’énoncer que la mort n’est qu’une petite épreuve comparativement à celle de l’éternité. Ainsi, il

cet homme et se mit à table. 37 Il y avait dans cette ville une femme de mauvaise réputation. Lorsqu’elle apprit que Jésus était à table chez le Pharisien, elle apporta un flacon d’albâtre plein de parfum 38 et se tint derrière Jésus, à ses pieds. Elle pleurait et se mit à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus ; puis elle les essuya avec ses cheveux, les embrassa et répandit le parfum sur eux. 39 Quand le Pharisien qui avait invité Jésus vit cela, il se dit en lui–même : Si cet homme était

regardant que j'ai compris que tu étais tout. [ Inconnu ] C'est en regardant le ciel que j'ai compris que je n'étais rien, et c'est en te regardant que j'ai compris que tu étais tout. [ Inconnu ] Cela peut prendre l'éternité avant de trouver l'amour, mais depuis que le notre est né, l'éternité ne fait que commencer... [ Inconnu ] Chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. [ Rosemonde Gérard ] Chaque parole qui sort de ta bouche est comme sorcellerie qui m'envoute