Un homme pour l'éternité

Joachim du Bellay Le poème de Joachim du Bellay : « Les antiquités de Rome » évoque le thème de la fuite du temps à travers différents éléments du texte. En effet, dans le premier quatrain, le poète parle d'un homme visitant Rome et qui ne peut observait que des ruines, il ne perçoit rien de Rome. Ensuite, dans le deuxième quatrain le poète fait allusion à sa puissance c'est-à-dire que Rome était la ville la plus puissante du Monde et qu'elle dominer toute la Terre. De plus, dans le vers

de lui, le rendre heureux, lui transmettre son savoir, l'aider dans sa vie future et le suivre jusqu'à se que la mort vous sépare de lui et qu'il devienne un véritable homme pouvant à nouveau transmettre ces valeurs. De plus, je pense, j'en ai même la certitude que se marier et procréer est un engagement que l'on prend pour l’éternité. Personnellement, c'est une chose de sacrée sur lequel aucune plaisanterie n'est possible.. En définitive, être parent c'est pouvoir s'occuper et gérer la subsistance

années 1760, comme un affront démentant radicalement, et avec un réalisme aussi cru que cynique, un affront démentant radicalement la toute puissance rationnelle esthétique et spirituelle que l'honnête homme du classicisme croyait posséder pour se façonner lui-même et façonner le monde pour l'éternité. Le démenti est cinglant : l'homme est mû par des passions qu'il ne comprend pas et qu'il ne maîtrise pas, et son destin est avant tout dans les mains des forces de destruction de la nature et du temps

vieillissement, le contourne et l’évite. L’ambiguïté inhérente à la venue de l’enfant est patente. La journaliste Claire Brisset évoque dans son livre, un monde qui dévore ses enfants, les dieux de la mythologie aux prises avec l’enfant dans le combat pour l’éternité. L’enfant est source de fierté, il projette l’adulte dans l’avenir, dans la continuité de l’histoire humaine, dans le registre de la transcendance. Le père, en acceptant de reconnaître l’enfant, de lui donner son nom, l’inscrit dans son histoire

vieillissement, le contourne et l'évite_ L'ambiguïté inhérente à la venue de l'enfant est patente. La journaliste Claire Brisset évoque dans son livre, un monde qui dévore ses enfants, les dieux de la mythologie aux prises avec l'enfant dans le combat pour l'éternité. L'enfant est source de fierté, il projette l'adulte dans l'avenir, dans la continuité de l'histoire humaine, dans le registre de la transcendance. Le père, en acceptant de reconnaître l'enfant, de lui donner son nom, l'inscrit dans son histoire

mission; une mission de sept jours. En choisissant leur deux meilleurs agents nommes et Lucas. Un de ces deux remportera la victoire pour que le bien ou le mal gouvernera l'homme pour l'éternité. En organisant ce pari dieu et Lucifer avaient tous prévu sauf la seule chose ; la rencontre des deux êtres Lucas le bel homme en costume noir qui vivait à New York, se préparait pour partir à San Francisco, pour commencer son nouveau travail. En ce joli endroit, Lucas commença à créer des problèmes partout

afin de projeter son ombre (image) sur un mur (écran). On retrouve ainsi les bases de l’art photographique. Mais à cette époque, la création d’une photographie n’était pas encore une idée naissante dans les esprits, la projection de l’ombre de cet homme fut utilisée dans un but illustratif et comme modèle pour un dessin, une plastique. Résumé texte n°2, « Le voile de Véronique » Ce texte est écrit par Jacques de Voragine et extrait du livre « La Légende dorée, vers 1260-1264 » publié en 1961

morte, le tableau dans le tableau. L'amoncellement d'objets sur la table est à mettre en lien avec la vie de l'artiste. Bailly se peint jeune homme et se représente en médaillon à l'âge auquel il a peint ce tableau. Ce jeu sur le passé-présent exprime la fuite du temps, à laquelle l'artiste échappe grâce à la pérennité de son art qui lui donne accès à l'éternité. On peut voir dans le verre à demi-plein le signe de la tempérance nécessaire pour résister aux vanités du monde. Réfléchir : 1. Certains

-Simplicité et forme d'équilibre entre les espaces -Verne reprend l'idée de HAUSEMAN qui a fait le plan de paris pour la cité modèle -Organisation ouverte vers l'avenir → Montrer une ville prometteuse -On voit une ville dynamique -Jardin aérée → homme ayant sa place -Tout le monde a sa place (école bibliothèques...) -Beaux avec les oeuvres d'arts -Commerces libres axe2 : La propreté et son insistance -Les égouts de la ville -Les blanchisseries faite de machine a vapeur et de séchoirs artificielles

il est donc attiré par le tempérament sulfureux qui semble se dégager de la femme. ○ le regard qu’elle jette sur lui le fait “renaître” ○ lorsqu’il la voit partir, il s’adresse à elle par une question rhétorique “Ne te verrais-je plus que dans l’éternité ?” qui traduit son désespoir. ○ (dernière strophe) réflexion de l’auteur, sur sa rencontre qui appartient maintenant au passé, sers de réponse a sa précédente question : -”jamais” renforce l’impression de désespoir tandis que “peut-être” nous montre