Un Dieu Chasseur

qui se meurt, des vallées du tiers monde, du salaud de chasseur qui descend la colombe ,et des rives arrachées, des années sans sommeil, 100 millions d'affamés". A la fin de chaque couplet, la conclusion est qu'il faut sourire, et donc privilégier les rires aux pleurs. Quant au troisième couplet, le pacifisme se fait fort "A ce qu'on a aimé, à ce qu'on a perdu, allez vidons nos bières pour les voleurs des rues ! Finir tous dans la terre, mon dieu! Quelle déconvenue. Et regarde ces squelettes qui nous

-Mode de vie : Ce sont des chasseurs, ceuilleurs nomade. Se deplacent en quete de gibiers, de fruits, racines, cereales, etc. -Structure sociale : Ils vivent en petit groupe(autour de 10 a 20 individus) partage des tache, tache non specialise, notion de survie de l’espece humaine.. Cooperation entre les individus car la survie des uns passent par la survie des autres. « Tous pour un, un pour tous ». Il y a souvent un chef sous different forme(pretre, meilleur chasseur, guerisseur). -Vie spirituelle

en avant les qualités d'un animal discret mais essentiel à notre quotidien ... Le dernier poème étudié est A un homme partant pour la chasse. Il se démarque totalement des autres car c'est un poème engagé. Victor Hugo critique vivement les chasseurs. Il décrit avec beaucoup de détails les horreurs que subissent les animaux. Les Hommes sont donc présentés tels des tyrans sans cœur. L'auteur, à travers ce texte, défend clairement la cause des animaux et critique avec beaucoup d'agressivité l'être

des grandes invasions» Hongrois= «Personne qui est née ou qui habite en Hongrie» Slaves= «Peuple d’Europe centrale et orientale duquel proviennent la plupart des peuples de ces régions.» Termes inconnus La Providence= «Suprême sagesse de Dieu par laquelle il gouverne la création» Pagus= «Dans l’Empire romain, circonscription rurale.» Lieux historiques Sulza= «Est le nom donné à une île qui fut renommée ou oubliée» Les marais Méotiques= « le nom donné à des marais qui furent renommés»

la capturer, car la licorne venait se blottir entre ses jambes et s'endormait. Alors, un chasseur pouvait la tuer. La licorne médiévale symbolise donc la force, la puissance, traduites par la corne, mais elle est également le symbole d'une grande pureté. Elle prend part à l'application de la justice en frappant les coupables avec sa corne. Pour certains contemporains, elle incarne même la figuration de Dieu. La licorne a été la source d'inspiration de nombreux types d'art. Des écrivains se sont

egalement un héros. Un être de papier, créé à l'aide de mots et de phrases. Il est le moteur et le centre du récit , les evenements peuvent prendre des tournants differents selon ces choix et ses actions. Souvent idéalisé, d'ou son titre de «  demi-dieu », le héros n'est pas toujours parfait. La plupart des héros représentent les mutations de la société et offrent une réflexion sur l'homme, sur ses réussites et ses erreurs. L'héros romanesque doit-il donc, necessairement véhiculer des valeurs positives

lexical de la chasse : « pièges », « attraper » ( Dom Juan est un chasseur et les femmes sont du gibier. Il n'est pas intéressé par le gibier mais par la chasse en elle-même. ( Le mariage est une stratégie et n'a aucune importance. D.J. = séducteur conquérant. - Libre en religion : - mariage : sacrement - en brisant le mariage, il brise Dieu - « hérétique » : il ne suit pas les règles - comparé à un « diable » = ennemi de Dieu - comparé à un « turc » = pas catholique (drame à l’époque)

sourit. « Il est plutôt banal, pour le Charivari », songea Clary. Ses cheveux teints en bleu électrique se dressaient sur sa tête comme les tentacules d’un poulpe effarouché, mais son visage n’arborait aucun tatouage ni piercing sophistiqué. — En chasseur de vampires. Il tordit le pieu comme un brin d’herbe dans sa main : — C’est du caoutchouc. Vous voyez ? Il avait de grands yeux d’un vert trop limpide : ils étaient de la couleur de l’antigel et de l’herbe au printemps. « Des verres de contact

images de la vie sous toutes ses formes, biologique, mystérieuse, active, réfléchie, passionnée ou détachée et de la mort, sous plusieurs aspects aussi : « crucifix« , « fantômes« , « sommeil » sont en quelque sorte déposées en offrande aux pieds de Dieu. Les trois derniers quatrains sont une pure merveille, étrangement sonores après l‘exposé d‘œuvres picturales, comme si toute expression artistique se résumait à un même cri. Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes Ces extases

dehors des périodes de rut tout au long du temps. Le désir d’un ordre se fait jour chez les hominidés et les religions apparaissent avec des rectifications possibles de la loi naturelle animale. On assiste à deux versions du récit de la Création : « Dieu crée un être homme et femme à la fois » (L’Androgyne) ou dans la deuxième version « il fait un homme et une femme différenciés… » Débat : Dans le titre « masculin Féminin : antagonisme ou complémentarité » le problème est posé de l’égalité de l’homme