Turcs

de l'Ukraine. En 1453, le sultan Mehmet II s'empare de Constantinople (Byzance) et absorbe l'Empire romain d'Orient, également appelé Empire byzantin. Dès lors, les Ottomans ont la mainmise sur la partie chrétienne de la Méditerranée orientale. Les Turcs appellent les populations chrétiennes "Roumis", mot dérivé de Romain, en référence à l'Empire romain d'Orient. Les Ottomans étendront leur domination à l'ensemble des territoires musulmans de la Méditerranée. Au 16e siècle, les sultans ottomans prennent

en français par François Georgeon en 1980 sous l’intitulé de : « Aux origines du nationalisme turc : un manifeste du panturquisme ». L’auteur Yusuf Akçura est un russe d’origine tatar né en 1876. Militant turc, il participa aux révolutions Jeunes-Turcs face au despotisme du calife Abdülhamid II, il contribua également à l’élaboration de la République Turque lors de la révolte kémaliste. Il décéda en 1935. L’article fut produit durant le règne du calife Abdülhamid II, qui alors détient les pleins

arméniens qui sont chrétiens ne le pouvaient donc pas. Les enfants des Arméniens étaient souvent enlevés à leur famille pour leurs donner un enseignement islamiste. Les taxes fiscales étaient beaucoup plus importantes pour les Arméniens que pour les Turcs. Lors de l’hiver, les arméniens devaient appliquer le kishlak, loi qui obligeait à loger les Kurdes nomades pendant cette période. Et à ces lois s’ajoutent l’interdiction du port d’armes ainsi que l’exemption au service militaire des non musulmans

vivaient sur le territoire actuel de la Turquie ont été exterminés au cours des déportations et massacres de grande ampleur3. Il fut planifié et exécuté par le parti au pouvoir à l’époque, le comité Union et Progrès, plus connu sous le nom de « Jeunes-Turcs », dirigeant l'Empire ottoman et engagé dans la Première Guerre mondiale aux côtés des Empires centraux. Considéré comme l'un des tout premiers génocides du xxe siècle, il a coûté la vie à un million deux cent mille Arméniens d'Anatolie et du haut-plateau

Arméniens: -Entré en guerre depuis 1914, aux côtés des Empires Centraux, l'Empire Ottoman subit de lourdes pertes et défaites, et accuse la minorité arménienne de leurs trahir au profit de l'ennemi russes. Le gouvernement, dominé par les Jeunes-Turcs, décide leurs élimination(=Génocide=déstruction planifiée et systématique d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux.)entre Avril 1915 et Juillet 1916, faisant plus d’un million de victimes. Avec le Génocide Arméniens nous voyons que la

1944 (le mot est introduit au chapitre IX intitulé « Génocide ») pour tenter de définir les crimes perpétrés par les nazis à l'encontre des peuples juif, slaves et tzigane durant la Seconde Guerre mondiale, ceux commis par le gouvernement des Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman à l'encontre des Arméniens pendant la Première Guerre mondiale, et ceux dont furent victimes les Assyriens en Irak en 19332. Définissant ce mot hybride dans une étude publiée par la Fondation Carnegie pour la Paix Internationale

le XIXème siècle sous diverses modalités, financières, économiques, culturelles et politiques. Dans le même temps, des mouvements rejetant cette relation de domination-dépendance s'imposent dans le pays. Ainsi, le mouvement nationaliste des jeunes turcs s'impose à la tête du pouvoir. Nous pouvons alors nous demander comment l’action conjuguée des politiques des puissances européennes et des divers nationalismes minoritaires amène à la dislocation de l'empire ottoman après la première guerre mondiale

l’humanité, en assassinant plus d’un million d’arméniens. On va essayer de vous parler de cet épisode historique le plus neutralement possible, car il y a beaucoup de malentendus sur les faits qui n’ont pas été archivés, et ceux qui l’ont été, les turcs ne veulent pas les divulguer. On essaiera de comprendre pourquoi cet acharnement sur les arméniens et comment l’empire ottoman a réussi à agir avec autant de discrétion. Situation géopolitique de la population arménienne Pour mieux comprendre

particulier à Constantinople, où le patriarche était le représentant de la nation devant les autorités. Avant le début du processus d’extermination (1894), il y avait sur le territoire de la Turquie actuelle trois millions d’Arméniens et autant de Turcs ; l’autre moitié était composée d’une véritable mosaïque de peuples (Kurdes, Grecs, Assyro-Chaldéens, Lazes, Tcherkesses, etc.). En 1914, les Arméniens n’étaient plus que 2 250 000 (suite aux massacres, conversions forcées à l’islam et à l’exil)

lyrique : Bylina, Djangar, ozon kyuy, kubair. Lamentations : Chant court à danser : takmak Chant diphonique : uzlyau, xoomij. Il y a aussi la Musique de la VolgaLes Kalmouks (descendants de Mongols ) et les Tatars (nom donné aux peuples turcs ) jouent une musique pentatonique ( une échelle musicale) qui partagent ses caractéristiques avec la musique kazakhe et mongole, c'est une musique rural et folklorique. Chant satirique : takmak Chant diphonique : uzlyau, xoomij. Instruments