Triérarchie

militaire obligatoire. Défendre sa cité, participer a toute les cérémonies religieuses et aller au théatre pour s'instruire. Les citoyens riches assurent un certain nombre de dépenses publiques, les liturgies, comme l’équipement des navires (la triérarchie) ou l’entretien d’un choeur (la chorégie)pour les représentations théâtrales. Ils peuvent aussi organiser des banquets.Les citoyens riches sont chevaliers ou triérarques ; les citoyens aisés sont hoplites Les citoyens pauvres sont rameurs dans

citoyen sengager a prendre pour un an en charge les frais dune depense civique. il prenait une LITURGIE. il y avait une centaines de LITURGIES par an, la plus couteuse c celle de la flotte pour occuper une TRIERE = bateau de guerre et sa sapelle une TRIERARCHIE. - les obligations spartiates: les spartiates sont soumis pour étre egaux. premiere obligation: léducationest obligatoire pour garçon et fille= AGOGE. c'est leducation qui va permettre de creer legalité des spartiates. leducation est au coeur

famille. Les riches sont chevalier ou triérarques, les citoyens aisés sont hoplites, les pauvres sont rameurs ou fantassins. Les citoyens riches assurent un certains nombre de dépenses publiques, les liturgies, comme l’équipement des navires (la triérarchie) ou l’entretien d’un chœur (la chorégie) pour les représentations théâtrales. Ils peuvent aussi organiser des banquets. 3) les exclus de la citoyenneté ( p 36-37 Q°1 à 3) Les esclaves n’ont aucun droit ni aucune liberté. Hommes, femmes ou

citoyens athéniens ne le sont pas face à la richesse. Une majorité doit travailler pour vivre (paysans). Malgré les misthophories données aux plus pauvres et les liturgies imposées aux plus riches (prise en charge de certains frais : par exemple triérarchie : équiper une galère de combat, chorégie : payer les artistes du chœur lors des représentations théâtrales), les écarts restent importants et même s’accroissent au cours du temps. Seuls, quelques milliers d’individus ont le temps, l’éducation et

guerre, il existe aussi un impôt levé sur le capital des plus riches. Levé pour la première fois en 428, il est réorganisé en 378 ce qui forme les symmories. Les liturgies sont une sorte d'impôt volontaire fournit par les citoyens les plus riches. Triérarchie, chorégie, gymnasiarchie ou hestiasis en sont ainsi quelques exemples.

effet, donne un poids social et politique considérable. Les riches citoyens peuvent sans difficulté participer aux réunions de l'ecclésia ou assurer les liturgies les plus prestigieuses. Leur nombre est étroit : la liturgie la plus onéreuse, la triérarchie (équipement d'une trière) était réservée à trois cents citoyens à Athènes. Ces riches Athéniens sont souvent issus des vieilles familles aristocratiques, les génê, et c'est contre leurs privilèges que s'exerce le pouvoir du peuple. Dans celui-ci

  les 
  plus 
  riches). 
  Les 
  plus 
  riches 
  citoyens 
  ont 
   le 
  devoir 
  moral 
  de 
   financer 
   les 
   liturgies 
   (pièces 
   de 
   théâtre, 
   triérarchie 
   car 
   Athènes 
   est 
   une 
   puissance 
   maritime 
  : 
   une 
   thalassocratie). 
   Enfin, 
   il 
   y 
   a 
   le 
   devoir 
   religieux, 
   la 
   participation

dans toutes les cités. On transfert, selon certaines modalités, la responsabilité de certaines charges de la cité à des citoyens, en prenant garde que les noms tournent. Les liturgies peuvent être très variées; la plus coûteuse est bien sûr la triérarchie; il y en a qui relèvent du religieux, du théâtre aussi... Il y aurait à Athènes près d'une centaine de liturgies possibles. On demande un minimum, mais le maximum est attendu. III. Un statut contrôlé et jalousement protégé. 1) Vérifications

exécute des citoyens romains sans leur droit d'appel, l’auteur …. décrit le dernier champs de bataille de Catilina , comme une abomination ou les vainqueurs pleurait en voyant les vaincus . Partant en Exil , Cicéron ne reviendras qu'en …lors de la triérarchie ou il ne seras plus que l'ombre de sa gloire d’antan et ou il devra s'allier au dirigeant qui mettrons un termes a la République qu'il défendait . Cicéron, Les Catilinaires, I, 1, 1-5 (traduction Henri Bornecque et Edouard Bailly, Belles Lettres)

riches tandis que les plus pauvres servent dans la flotte athénienne comme rameurs. • Les citoyens les plus riches doivent aussi honorer la cité en exerçant une liturgie annuelle: il peut s’agir de financer l’équipement d’un navire de guerre (triérarchie) ou les représentations théâtrales (chorégle) données lors des grandes fêtes religieuses. Participer aux dépenses de la cité est un honneur recherché. C’est aussi un moyen d’obtenir les faveurs du peuple dans la perspective d’une carrière politique